Médine au Bataclan, ce ne sera pas pour cette année. Le rappeur, qui avait prévu deux jours de concerts consécutifs dans ce lieu parisien, a annoncé, vendredi 21 septembre, sa décision de ne pas qu'il produire, reportant ses concerts pour 2019 au Zénith de Paris.
Cette décision, que Médine qualifie de « douloureuse, » survient trois mois après le début d'une polémique concernant sa présence au Bataclan, qui a été la cible d'un attentat en novembre 2015.
Plusieurs familles de victimes mais aussi des élus de droite et d'extrême droite principalement ont appelé à la déprogrammation du rappeur.
L'avocat de plusieurs familles Philippe De Veulle, a d'ailleurs annoncé vendredi matin avoir saisi, selon RTL, la justice pour demander l'ouverture d'une enquête préliminaire pour les propos du chanteur qui inciteraient, selon lui, à la haine, la discrimination et la violence.
« Certains groupes d’extrême droite ont prévu d’organiser des manifestations dont le but est de diviser, n’hésitant pas à manipuler et à raviver la douleur des familles des victimes », indique l'artiste dans un communiqué.
« Par respect pour ces mêmes familles et pour garantir la sécurité de mon public, les concerts ne seront pas maintenus », explique-t-il, avant de conclure, en référence à l'une de ses chansons : « Tout ce que je voulais faire c’était le Bataclan. »
Une autre date est programmée le 9 février 2019 au Zénith de Paris.
Lire aussi :
Attentat déjoué contre les musulmans : l'assassinat de Médine était en projet
Médine au Bataclan : la réponse du rappeur face à la polémique
Cette décision, que Médine qualifie de « douloureuse, » survient trois mois après le début d'une polémique concernant sa présence au Bataclan, qui a été la cible d'un attentat en novembre 2015.
Plusieurs familles de victimes mais aussi des élus de droite et d'extrême droite principalement ont appelé à la déprogrammation du rappeur.
L'avocat de plusieurs familles Philippe De Veulle, a d'ailleurs annoncé vendredi matin avoir saisi, selon RTL, la justice pour demander l'ouverture d'une enquête préliminaire pour les propos du chanteur qui inciteraient, selon lui, à la haine, la discrimination et la violence.
« Certains groupes d’extrême droite ont prévu d’organiser des manifestations dont le but est de diviser, n’hésitant pas à manipuler et à raviver la douleur des familles des victimes », indique l'artiste dans un communiqué.
« Par respect pour ces mêmes familles et pour garantir la sécurité de mon public, les concerts ne seront pas maintenus », explique-t-il, avant de conclure, en référence à l'une de ses chansons : « Tout ce que je voulais faire c’était le Bataclan. »
Une autre date est programmée le 9 février 2019 au Zénith de Paris.
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