Au non au cinquième mandat, c'est un non au quatrième mandat prolongé annoncé par Abdelaziz Bouteflika autour duquel se sont ralliés, vendredi 15 mars, des centaines de milliers de personnes en Algérie.
Le décompte des manifestants est impossible dans le pays mais il ne fait aucun doute que les mobilisations populaires visant à instaurer un nouveau régime en Algérie ne faiblissent pas.
Depuis un mois, les Algériens maintiennent ainsi la pression contre le pouvoir, que les promesses d'un gouvernement ouvert et jeune faisant suite la nomination, cette semaine, de Noureddine Bedoui au poste de Premier ministre n'ont pas convaincu.
Ils exigent notamment la tenue d'élections présidentielles. Ces dernières, prévues initialement le 18 avril, ont été annulées par décret paru jeudi 14 mars.
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Algérie : Abdelaziz Bouteflika renonce au cinquième mandat
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Depuis un mois, les Algériens maintiennent ainsi la pression contre le pouvoir, que les promesses d'un gouvernement ouvert et jeune faisant suite la nomination, cette semaine, de Noureddine Bedoui au poste de Premier ministre n'ont pas convaincu.
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