La station ISS
Plusieurs scientifiques et religieux malaisiens se sont alors demandés comment les musulmans vont-ils pratiquer dans l’espace. Un séminaire a été organisé pour débattre de cette question. Plus de 150 délégués ont cherché la solution pour prier en apesanteur.
Pas facile étant donné que la Station Spatiale internationale ISS se déplace à la vitesse de 27 000 km/h. Sa position par rapport à La Mecque varie donc continuellement, d’où la difficulté de se placer correctement durant la prière.
D’autres questions ont été posées, comme celle de la nourriture halal ou celle des ablutions.
Afin de faciliter la pratique religieuse du cosmonaute musulman, un logiciel baptisé «Musulmans dans l’espace», a été programmé par L’Université technique nationale de Malaisie.
Mustafa Din bin Subari, directeur adjoint de l’Agence Saptiale malaise (Angkasa) assure que toutes ces considérations sur la pratique de la foi «sont aussi importantes que la préparation du cosmonaute.» Par cette démarche, il souhaite montrer «qu’être musulman n’empêche pas de faire quoi que ce soit.»
Cette information a été traitée par Sebastien Berger dans The Daily Telegraph puis par Claire Maupas dans le hors série Spécial insolites de Courrier International.
Pas facile étant donné que la Station Spatiale internationale ISS se déplace à la vitesse de 27 000 km/h. Sa position par rapport à La Mecque varie donc continuellement, d’où la difficulté de se placer correctement durant la prière.
D’autres questions ont été posées, comme celle de la nourriture halal ou celle des ablutions.
Afin de faciliter la pratique religieuse du cosmonaute musulman, un logiciel baptisé «Musulmans dans l’espace», a été programmé par L’Université technique nationale de Malaisie.
Mustafa Din bin Subari, directeur adjoint de l’Agence Saptiale malaise (Angkasa) assure que toutes ces considérations sur la pratique de la foi «sont aussi importantes que la préparation du cosmonaute.» Par cette démarche, il souhaite montrer «qu’être musulman n’empêche pas de faire quoi que ce soit.»
Cette information a été traitée par Sebastien Berger dans The Daily Telegraph puis par Claire Maupas dans le hors série Spécial insolites de Courrier International.