Une jeune femme récemment convertie à l’islam a été condamnée, mercredi 16 octobre, par le tribunal correctionnel de Nantes à dix mois de prison ferme pour avoir poignardé son père à Rezé, en Loire-Atlantique.
Les faits se sont déroulés le 12 octobre dernier. Selon ses dires rapportés par Le Parisien, le père l’empêchait de « porter le voile ».
Lors de son procès, l'accusée âgée de 23 ans, sans antécédent judiciaire, a raconté avoir été « bannie » par sa famille qui n’accepte pas qu’elle « traîne avec des gens d’autres ethnies et d’autres couleurs ». Indiquant qu'elle dort à la rue, elle s'est dite convaincue que ses parents ne l'aiment pas, ce que ses derniers réfutent.
Avant de commettre son forfait avec un couteau, elle était revenue chez ses parents pour chercher des affaires. Elle a reconnu, sans exprimer de remords, avoir été « prête à tuer » son père s’il ne la laissait pas quitter la maison. Le conflit familial aurait donc pu finir encore plus mal. « Ils veulent que j'aille en prison, tout simplement, et ne veulent pas que je sois musulmane », a-t-elle clamé.
Pour le procureur de la République, l'accusée était « engoncée dans sa logique d’embrigadement », qui « justifie la mort de son propre père au nom de sa propre religion ». Outre la prison ferme, elle a écopé de 26 mois de prison avec sursis probatoire, avec obligation de soins et de travail.
Les faits se sont déroulés le 12 octobre dernier. Selon ses dires rapportés par Le Parisien, le père l’empêchait de « porter le voile ».
Lors de son procès, l'accusée âgée de 23 ans, sans antécédent judiciaire, a raconté avoir été « bannie » par sa famille qui n’accepte pas qu’elle « traîne avec des gens d’autres ethnies et d’autres couleurs ». Indiquant qu'elle dort à la rue, elle s'est dite convaincue que ses parents ne l'aiment pas, ce que ses derniers réfutent.
Avant de commettre son forfait avec un couteau, elle était revenue chez ses parents pour chercher des affaires. Elle a reconnu, sans exprimer de remords, avoir été « prête à tuer » son père s’il ne la laissait pas quitter la maison. Le conflit familial aurait donc pu finir encore plus mal. « Ils veulent que j'aille en prison, tout simplement, et ne veulent pas que je sois musulmane », a-t-elle clamé.
Pour le procureur de la République, l'accusée était « engoncée dans sa logique d’embrigadement », qui « justifie la mort de son propre père au nom de sa propre religion ». Outre la prison ferme, elle a écopé de 26 mois de prison avec sursis probatoire, avec obligation de soins et de travail.