Depuis son sketch contre Dieudonné le 11 janvier, Nicolas Bedos n’était pas réapparu dans l’émission « On n’est pas couché ». Pour sa 8e chronique diffusée samedi 8 février, l’humoriste a souhaité revenir sur ce sketch qui avait été tant applaudi que décrié, notamment pour avoir véhiculé des clichés sur les jeunes de banlieues, relevés sur Saphirnews.
A l’issue de sa charge anti-Dieudonné, Nicolas Bedos avait indiqué dans une interview avoir « dû aller vivre chez un ami suite à des centaines de menaces, parfois de mort ».
« Je remercie solennellement l’Etat israélien qui a bien voulu me cacher quelques semaines. J’ai eu la chance de visiter Jérusalem, Tel Aviv, Deauville, le 17e arrondissement de Paris », a-t-il signifié samedi avec ironie en présence de trois gardes du corps habillés de tenues traditionnelles juives. « La Palestine, c’était coquet » avec des habitants « qui vivent en toute liberté sur 14 m² », ajoute-t-il. C’est une fois les gardes du corps partis qu’il se lâche : « Je demande à tous les juifs de France de me lâcher la grappe ! »
Après une série de vannes sur l’affaire Hollande/Gayet, Nicolas Bedos conclut sur sa chronique de janvier et déclare sur un ton sérieux : « C’était un sketch, je n’imite pas les Arabes, j’imite un abruti. Il y en a aussi chez les Blancs qui défilent tous les dimanches dans la Manif pour Tous. Bref, tous les fans de Dieudonné ne sont pas des racailles antisémites, tous les jeunes de banlieues ne sont pas des fans de Dieudonné, de même que tous les juifs et les rabbins ne souhaitent pas la mort des Palestiniens. »
« En revanche, dans ce pays de merde, tous les types de mon genre sont obligés de finir leur putain de chronique en se justifiant sur tout. (...) N'oubliez jamais que ça, ce n'est que pour s'amuser », précise-il. Nicolas Bedos a fait amende honorable en clarifiant ses positions sur le cliché véhiculé lors de son précédent sketch et tourne ainsi la page sur cette histoire.
A l’issue de sa charge anti-Dieudonné, Nicolas Bedos avait indiqué dans une interview avoir « dû aller vivre chez un ami suite à des centaines de menaces, parfois de mort ».
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