Selon les premiers éléments, Nidal Malik Hasan, le psychiatre de l'armée de terre qui avait tué treize personnes et fait vingt-huit blessés à la base de Fort Hood au Texas, jeudi dernier, aurait agi sous le coup de la folie, dépassé par son travail.
Selon ses proches, Hasan se plaignait d'être victime de harcèlement au sein de l'armée, du fait de sa confession musulmane, et redoutait d'être prochainement envoyé en Afghanistan. « Il avait embauché un avocat pour se décharger de ses responsabilités », témoigne un de ses frères. Il cherchait également à quitter l'armée et tentait de négocier le remboursement de ses frais d'études. Qu'est-ce qui a poussé ce « citoyen sans histoire, calme et posé » à commettre cette tuerie ? Nidal, toujours hospitalisé, aurait commencé à parler ce lundi, à l'équipe médicale.
Une autre fusillade a éclaté lundi, dans une installation militaire en Caroline du Nord, faisant état d'un mort. L'identité du meurtrier présumé et les mobiles n'ont pas encore été dévoilés.
Selon ses proches, Hasan se plaignait d'être victime de harcèlement au sein de l'armée, du fait de sa confession musulmane, et redoutait d'être prochainement envoyé en Afghanistan. « Il avait embauché un avocat pour se décharger de ses responsabilités », témoigne un de ses frères. Il cherchait également à quitter l'armée et tentait de négocier le remboursement de ses frais d'études. Qu'est-ce qui a poussé ce « citoyen sans histoire, calme et posé » à commettre cette tuerie ? Nidal, toujours hospitalisé, aurait commencé à parler ce lundi, à l'équipe médicale.
Une autre fusillade a éclaté lundi, dans une installation militaire en Caroline du Nord, faisant état d'un mort. L'identité du meurtrier présumé et les mobiles n'ont pas encore été dévoilés.