Les Etats-Unis ont pris jeudi de nouvelles mesures coercitives à l'égard de la chaîne de télévision Al-Manar, dont les avoirs sont désormais gelés et qui est interdite de toute activité financière sur le sol américain.
Ces décisions, annoncées par le Trésor américain, visent aussi la radio Al-Nour et la maison mère des deux médias, le Lebanese Media Group. L'interdiction de toute activité financière a pour conséquence d'empêcher toute transaction entre des Américains et ces groupes de médias, a précisé le Trésor dans un communiqué.
"Al-Manar et Al-Nour sont les branches médias du réseau Hezbollah" et "ont facilité" ses activités, a-t-il souligné.
"Toutes les entités soutenues par un groupe terroriste - qu'elles se fassent passer pour des sociétés caritatives, commerciales ou de médias - sont aussi coupables que le groupe terroriste lui-même", a estimé le sous-secrétaire américain au Trésor chargé du terrorisme et des crimes financiers, Stuart Levey, cité dans le communiqué.
Selon le Trésor, Al-Manar a employé "de nombreux membres du Hezbollah" et a soutenu, avec la radio Al-Nour, les efforts du Hezbollah pour recruter et lever des fonds, notamment "à travers la diffusion de publicités et un site internet appelant à des dons pour l'organisation terroriste".
Al-Manar a aussi apporté son soutien "à d'autres organisations palestiniennes, dont le Jihad islamique palestinien et les Brigades des Martyrs d'al-Aqsa, transférant notamment des dizaines de milliers de dollars vers une société caritative contrôlée par le Jihad islamique palestinien", a encore précisé le Trésor.
Ces décisions, annoncées par le Trésor américain, visent aussi la radio Al-Nour et la maison mère des deux médias, le Lebanese Media Group. L'interdiction de toute activité financière a pour conséquence d'empêcher toute transaction entre des Américains et ces groupes de médias, a précisé le Trésor dans un communiqué.
"Al-Manar et Al-Nour sont les branches médias du réseau Hezbollah" et "ont facilité" ses activités, a-t-il souligné.
"Toutes les entités soutenues par un groupe terroriste - qu'elles se fassent passer pour des sociétés caritatives, commerciales ou de médias - sont aussi coupables que le groupe terroriste lui-même", a estimé le sous-secrétaire américain au Trésor chargé du terrorisme et des crimes financiers, Stuart Levey, cité dans le communiqué.
Selon le Trésor, Al-Manar a employé "de nombreux membres du Hezbollah" et a soutenu, avec la radio Al-Nour, les efforts du Hezbollah pour recruter et lever des fonds, notamment "à travers la diffusion de publicités et un site internet appelant à des dons pour l'organisation terroriste".
Al-Manar a aussi apporté son soutien "à d'autres organisations palestiniennes, dont le Jihad islamique palestinien et les Brigades des Martyrs d'al-Aqsa, transférant notamment des dizaines de milliers de dollars vers une société caritative contrôlée par le Jihad islamique palestinien", a encore précisé le Trésor.