Le ministre algérien de l'Energie et actuel président de l'Opep Chakib Khelil a écarté lundi à Alger toute augmentation de la production de pétrole avant la réunion ordinaire du cartel le 9 septembre à Vienne. "Il n'y aura pas de changement dans la production de l'Opep avant la réunion de septembre", a-t-il dit lors d'une rencontre organisée par le quotidien gouvernemental El-Moudjahid.
M. Khelil a assuré que "toute décision relative au maintien ou à la hausse du plafond actuel de production (de l'Opep) sera prise au cours de cette réunion". Mais il a déclaré ne pas s'attendre à une augmentation de la production Opep, car, a-t-il dit, "les prix actuels du brut ne sont plus liés à la loi de l'offre et la demande".
M. Khelil a souligné que la disponibilité au sein des pays de l'Opep d'une "capacité de production substantielle non utilisée" permettrait de répondre à toute demande additionnelle du marché international.
Le ministre a par ailleurs réitéré la position de l'Algérie favorable à des contrats de commercialisation à court terme du gaz, car, a-t-il dit, "les prix du gaz appliqués sur les contrats à long terme demeurent actuellement en dessous de ceux du pétrole et ne reflètent pas la situation réelle du marché".
"La sécurité d'approvisionnement de gaz doit être payée soit par la renégociation pour une révision à la hausse des prix actuels du gaz soit par l'option pour des contrats à court terme", a-t-il souligné.
Le ministre algérien a indiqué que la prochaine réunion du Forum des exportateurs du gaz, en juin à Moscou, porterait sur les perspectives du marché gazier international. Le Forum doit être réorganisé et doté d'un secrétariat général à cette occasion, a-t-il indiqué.
M. Khelil a assuré que "toute décision relative au maintien ou à la hausse du plafond actuel de production (de l'Opep) sera prise au cours de cette réunion". Mais il a déclaré ne pas s'attendre à une augmentation de la production Opep, car, a-t-il dit, "les prix actuels du brut ne sont plus liés à la loi de l'offre et la demande".
M. Khelil a souligné que la disponibilité au sein des pays de l'Opep d'une "capacité de production substantielle non utilisée" permettrait de répondre à toute demande additionnelle du marché international.
Le ministre a par ailleurs réitéré la position de l'Algérie favorable à des contrats de commercialisation à court terme du gaz, car, a-t-il dit, "les prix du gaz appliqués sur les contrats à long terme demeurent actuellement en dessous de ceux du pétrole et ne reflètent pas la situation réelle du marché".
"La sécurité d'approvisionnement de gaz doit être payée soit par la renégociation pour une révision à la hausse des prix actuels du gaz soit par l'option pour des contrats à court terme", a-t-il souligné.
Le ministre algérien a indiqué que la prochaine réunion du Forum des exportateurs du gaz, en juin à Moscou, porterait sur les perspectives du marché gazier international. Le Forum doit être réorganisé et doté d'un secrétariat général à cette occasion, a-t-il indiqué.