Une réplique exacte du mur de l’apartheid israélien – appelée aussi mur de « séparation » ou de « sécurité » - qui entoure notamment la ville de Bethléem (Cisjordanie) a été érigée depuis Noël 2013 en plein centre de Londres.
Le mur, destiné à sensibiliser les habitants de la capitale britannique contre l’occupation subie par les Palestiniens, a été monté tout autour de la paroisse Saint James, partenaire du projet qui se tient dans le cadre du festival « Bethlehem Unwrapped ».
Depuis le 23 décembre 2013 et jusqu’au 5 janvier 2014, veille de la fête de l’Epiphanie, les fidèles de cette église d’obédience anglicane sont amenés, pour se rendre dans l’enceinte de leur lieu de culte, à traverser ce mur sur lequel ils étaient invités à inscrire des messages de solidarité au peuple palestinien.
Il a fallu huit mois pour concrétiser le projet et huit jours pour le monter. Pour le Révérend Lucy Winkett, recteur de l'église, ce mur représente « les murs dans le monde entier qui divisent et enferment les peuples, restreignant la libre circulation et contrôlant l'imagination de ceux qui y vivent derrière (les murs). Nous croyons que les ponts et non les murs sont le seul fondement durable de la paix ».
Le mur, destiné à sensibiliser les habitants de la capitale britannique contre l’occupation subie par les Palestiniens, a été monté tout autour de la paroisse Saint James, partenaire du projet qui se tient dans le cadre du festival « Bethlehem Unwrapped ».
Depuis le 23 décembre 2013 et jusqu’au 5 janvier 2014, veille de la fête de l’Epiphanie, les fidèles de cette église d’obédience anglicane sont amenés, pour se rendre dans l’enceinte de leur lieu de culte, à traverser ce mur sur lequel ils étaient invités à inscrire des messages de solidarité au peuple palestinien.
Il a fallu huit mois pour concrétiser le projet et huit jours pour le monter. Pour le Révérend Lucy Winkett, recteur de l'église, ce mur représente « les murs dans le monde entier qui divisent et enferment les peuples, restreignant la libre circulation et contrôlant l'imagination de ceux qui y vivent derrière (les murs). Nous croyons que les ponts et non les murs sont le seul fondement durable de la paix ».
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