Les deux cygnes retrouvés morts dimanche soir sur l'étang de la Grande-Creusière à Diane-Capelle (Moselle) ont bien succombé au virus hautement pathogène H5N1 de la grippe aviaire, a-t-on appris mardi matin auprès de la direction départementale des services vétérinaires.
"Les résultats du laboratoire spécialisé de Ploufragan sont clairs et nets: c'est bien la grippe aviaire", a confirmé mardi matin un porte-parole de la préfecture de la Moselle à l'Associated Press.
Conformément au dispositif de gestion des cas de grippe aviaire dans la faune sauvage, la préfecture de la Moselle a reconduit les mesures de prévention qui avaient été déjà établies lors de la découverte de trois cygnes atteints de la forme hautement pathogène du virus H5N1 sur l'étang de Villers à Assenoncourt le 3 juillet dernier, avec la délimitation d'une zone de contrôle et d'une zone d'observation, souligne le ministère de l'Agriculture mardi dans un communiqué.
Assenoncourt se trouve à une quinzaine de kilomètres seulement de Diane-Capelle. Un dispositif de contrôle d'un kilomètre de rayon autour du lieu de la découverte avait alors été mis en place par les autorités sanitaires avant d'être levé vendredi dernier. Il a immédiatement été réactivé dimanche soir dès la découverte des deux cygnes suspects.
Les mesures prévoient notamment le confinement des volailles à l'intérieur des exploitations agricoles, ainsi que l'interdiction de la chasse aux oiseaux pour éviter toute transmission et propagation du virus.
Comme le rappellent les services du ministre Michel Barnier, le dispositif de prévention et de lutte contre la grippe aviaire repose sur une "surveillance continue de la faune sauvage et des élevages, et sur la mise en place de mesures proportionnées au niveau de risque".
"Les résultats du laboratoire spécialisé de Ploufragan sont clairs et nets: c'est bien la grippe aviaire", a confirmé mardi matin un porte-parole de la préfecture de la Moselle à l'Associated Press.
Conformément au dispositif de gestion des cas de grippe aviaire dans la faune sauvage, la préfecture de la Moselle a reconduit les mesures de prévention qui avaient été déjà établies lors de la découverte de trois cygnes atteints de la forme hautement pathogène du virus H5N1 sur l'étang de Villers à Assenoncourt le 3 juillet dernier, avec la délimitation d'une zone de contrôle et d'une zone d'observation, souligne le ministère de l'Agriculture mardi dans un communiqué.
Assenoncourt se trouve à une quinzaine de kilomètres seulement de Diane-Capelle. Un dispositif de contrôle d'un kilomètre de rayon autour du lieu de la découverte avait alors été mis en place par les autorités sanitaires avant d'être levé vendredi dernier. Il a immédiatement été réactivé dimanche soir dès la découverte des deux cygnes suspects.
Les mesures prévoient notamment le confinement des volailles à l'intérieur des exploitations agricoles, ainsi que l'interdiction de la chasse aux oiseaux pour éviter toute transmission et propagation du virus.
Comme le rappellent les services du ministre Michel Barnier, le dispositif de prévention et de lutte contre la grippe aviaire repose sur une "surveillance continue de la faune sauvage et des élevages, et sur la mise en place de mesures proportionnées au niveau de risque".