Marine le Pen a été renvoyée devant le tribunal correctionnel de Lyon, mardi 22 septembre, pour avoir comparé, lors d'une réunion publique en décembre 2010, les prières de rue à l'Occupation nazie de la France pendant la Seconde Guerre mondiale.
« C'est une occupation de pans du territoire, des quartiers dans lesquels la loi religieuse s'applique, c'est une occupation. Certes, y a pas de blindés, y a pas de soldats, mais c'est une occupation tout de même et elle pèse sur les habitants », avait-elle lancé.
La présidente du Front national, qui ne regrette rien de ses propos, a été mise en examen en juillet 2014 pour « incitation à la haine raciale », une première pour Marine Le Pen. Cette procédure a été rendue possible après la levée de son immunité parlementaire en juillet 2013 par le Parlement européen. L'eurodéputée sera jugée le 20 octobre à Lyon.
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