Reporters Sans Frontières (RSF) a dénoncé les mauvais traitements de la police tunisienne à l'encontre du correspondant de Aljazeera Lotfi Hajji, dans un communiqué publié lundi.
Hajji "a été maltraité par des policiers en civil à quatre reprises entre le 20 et le 27 septembre", toujours dans le communiqué.
RSF a déclaré que Hajji "n'avait jamais pu travailler librement", et a ajouté qu'après avoir refusé de lui délivrer une carte de presse et lui avoir interdit d'ouvrir une antenne de Aljazeera à Tunis, "les autorités ont désormais fréquemment recours à la force pour censurer ce journaliste indépendant".
Ces quatre incidents se sont produits lorsque Hajji s'est rendu dans les locaux du Parti Démocratique Progressiste (PDP), un parti d'opposition, pour écrire un article sur la grève de la faim entamée par sa secrétaire générale, Maya Jribi, et par Néjib Chebbi, rédacteur en chef du quotidien du parti, Al Maoukif, a indiqué RSF.
Hajji a été cité affirmant : "De tels incidents sont malheureusement courants en Tunisie." Jribi et Chebbi ont entamé une grève de la faim le 20 septembre pour protester contre un dépôt de plainte émanant du propriétaire des locaux du siège du journal.
Hajji "a été maltraité par des policiers en civil à quatre reprises entre le 20 et le 27 septembre", toujours dans le communiqué.
RSF a déclaré que Hajji "n'avait jamais pu travailler librement", et a ajouté qu'après avoir refusé de lui délivrer une carte de presse et lui avoir interdit d'ouvrir une antenne de Aljazeera à Tunis, "les autorités ont désormais fréquemment recours à la force pour censurer ce journaliste indépendant".
Ces quatre incidents se sont produits lorsque Hajji s'est rendu dans les locaux du Parti Démocratique Progressiste (PDP), un parti d'opposition, pour écrire un article sur la grève de la faim entamée par sa secrétaire générale, Maya Jribi, et par Néjib Chebbi, rédacteur en chef du quotidien du parti, Al Maoukif, a indiqué RSF.
Hajji a été cité affirmant : "De tels incidents sont malheureusement courants en Tunisie." Jribi et Chebbi ont entamé une grève de la faim le 20 septembre pour protester contre un dépôt de plainte émanant du propriétaire des locaux du siège du journal.