Cent quarante-huit tombes musulmanes du cimetière militaire Notre-Dame-de-Lorette, près d'Arras, ont été profanées dans la nuit de samedi à dimanche.
Le « Rassemblement des Musulmans de France » (R.M.F) est choqué par ces actes lâches et ignobles qui visent une fois de plus les musulmans tombés sur le champ de l’honneur en défendant la dignité de leur nation la France et la liberté des Français.
Le « R.M.F » condamne fermement le non respect de la mémoire des défunts concernés par ces actes lâches et barbares et s’associe profondément à la douleur de leurs familles.
Cette profanation intervient au même endroit, presque un an jour pour jour, avec des faits similaires dans la nuit du 18 au 19 avril 2007, où cinquante deux tombes musulmanes avaient été couvertes d'inscriptions nazies. Deux jeunes âgés de 18 et 21 ans avaient été condamnés pour ces faits, à deux ans de prison, dont un avec sursis et un mineur de 16 ans à sept mois de prison dont cinq mois et demi avec sursis.
Cette fois, les faits sont encore plus graves et plus conséquents. Le « R.M.F » exhorte donc les pouvoirs publics à se doter des moyens nécessaires et suffisants permettant de lutter efficacement contre ces actes ignobles et de faire en sorte que les auteurs soient traduits rapidement devant la justice et punis comme ils le méritent.
Fait à Paris, le 06 avril 2008
Anouar KBIBECH
Président
(06.11.14.12.65)
Le « Rassemblement des Musulmans de France » (R.M.F) est choqué par ces actes lâches et ignobles qui visent une fois de plus les musulmans tombés sur le champ de l’honneur en défendant la dignité de leur nation la France et la liberté des Français.
Le « R.M.F » condamne fermement le non respect de la mémoire des défunts concernés par ces actes lâches et barbares et s’associe profondément à la douleur de leurs familles.
Cette profanation intervient au même endroit, presque un an jour pour jour, avec des faits similaires dans la nuit du 18 au 19 avril 2007, où cinquante deux tombes musulmanes avaient été couvertes d'inscriptions nazies. Deux jeunes âgés de 18 et 21 ans avaient été condamnés pour ces faits, à deux ans de prison, dont un avec sursis et un mineur de 16 ans à sept mois de prison dont cinq mois et demi avec sursis.
Cette fois, les faits sont encore plus graves et plus conséquents. Le « R.M.F » exhorte donc les pouvoirs publics à se doter des moyens nécessaires et suffisants permettant de lutter efficacement contre ces actes ignobles et de faire en sorte que les auteurs soient traduits rapidement devant la justice et punis comme ils le méritent.
Fait à Paris, le 06 avril 2008
Anouar KBIBECH
Président
(06.11.14.12.65)