Les deux journalistes de Reuters, condamnés à sept ans de prison pour une enquête portant sur un massacre de Rohingyas,, ont obtenu une grâce présidentielle au nom de « l'intérêt national », a fait savoir le gouvernement. Wa Lone et Kyaw Soe Oo ont été libérés mardi 7 mai après 500 jours de détention.
I[« Les deux journalistes de Reuters ont été libérés après que les dirigeants ont pris en considération l'intérêt national sur le long terme »]i, a indiqué à l'AFP Zaw Htay, porte-parole du gouvernement.
Cette décision a été prise quelques jours après la Journée mondiale de la liberté de la presse le 3 mai, après des mois de pression internationale contre la Birmanie, accusée de longue date d'un nettoyage ethnique contre les Rohingyas.
Les révélations des deux journalistes concernant un massacre perpétré dans un village du nord de l'Etat Rakhine (Arakan) leur a valu la prison mais aussi le prestigieux prix Pullitzer. Ils se sont également vus décernés le prix mondial de la liberté de la presse 2019 par l'Unesco.
Lire aussi :
Propagation de la haine contre les Rohingyas : Facebook reconnait sa responsabilité
I[« Les deux journalistes de Reuters ont été libérés après que les dirigeants ont pris en considération l'intérêt national sur le long terme »]i, a indiqué à l'AFP Zaw Htay, porte-parole du gouvernement.
Cette décision a été prise quelques jours après la Journée mondiale de la liberté de la presse le 3 mai, après des mois de pression internationale contre la Birmanie, accusée de longue date d'un nettoyage ethnique contre les Rohingyas.
Les révélations des deux journalistes concernant un massacre perpétré dans un village du nord de l'Etat Rakhine (Arakan) leur a valu la prison mais aussi le prestigieux prix Pullitzer. Ils se sont également vus décernés le prix mondial de la liberté de la presse 2019 par l'Unesco.
Lire aussi :
Propagation de la haine contre les Rohingyas : Facebook reconnait sa responsabilité