A l’occasion de la Journée internationale des Roms, Amnesty International a dénoncé, mardi 8 avril, dans un rapport l’augmentation des violences à leur égard en Europe. La France est particulièrement pointée du doigt.
L’organisation accuse les gouvernements européens de manquer à leur devoir envers les Roms de multiples façons. Discriminations, expulsions forcées et accès à une éducation de moindre qualité sont la norme dans de nombreux pays. Pire encore, « les Etats européens ne s’opposent pas aux violences envers les Roms, et parfois même les favorisent », affirme Amnesty.
En France, l’organisation dénonce le harcèlement policier dont sont victimes les Roms. Contrôles d’identité tard dans la nuit, destruction de biens, tentes déchirées, utilisation de gaz lacrymogène se sont banalisés, lors des démantèlements de bidonvilles… Des pratiques contraires aux normes internationales relatives à l’usage proportionné de la force et la non-discrimination. La France « devrait rougir de la manière dont elle traite les Roms » a déclaré Geneviève Garrigos, présidente d’Amnesty International.
L’organisation accuse les gouvernements européens de manquer à leur devoir envers les Roms de multiples façons. Discriminations, expulsions forcées et accès à une éducation de moindre qualité sont la norme dans de nombreux pays. Pire encore, « les Etats européens ne s’opposent pas aux violences envers les Roms, et parfois même les favorisent », affirme Amnesty.
En France, l’organisation dénonce le harcèlement policier dont sont victimes les Roms. Contrôles d’identité tard dans la nuit, destruction de biens, tentes déchirées, utilisation de gaz lacrymogène se sont banalisés, lors des démantèlements de bidonvilles… Des pratiques contraires aux normes internationales relatives à l’usage proportionné de la force et la non-discrimination. La France « devrait rougir de la manière dont elle traite les Roms » a déclaré Geneviève Garrigos, présidente d’Amnesty International.