J'ai toujours crû à la politique par la preuve
Ségolène Royal
Ségolène Royal, qui s'exprimait lors du journal de 20h sur France 2, a invité Nicolas Sarkozy à tenir ses promesses électorales. "Je crois qu'il y a des décisions qui devraient être prises très rapidement", a-t-elle souligné, rappelant notamment les besoins dans les hôpitaux, dans l'éducation nationale, ou les promesses non respectées sur le logement.
"Je veux qu'avant le premier tour des législatives des décisions concrètes soient prises, pour que les engagements pris soient rapidement tenus et qu'on voit que ces engagements soient traduits dans l'action".
"J'ai toujours crû à la politique par la preuve donc je jugerai et nous jugerons sur les actes". Si les engagements ne sont pas respectés alors que Nicolas Sarkozy "peut le faire, voilà une raison de plus de faire en sorte que l'opposition soit forte à l'Assemblée", afin de "protéger les Français" a poursuivi la présidente de la région Poitou-Charentes.
Elle a dénoncé la "dangerosité" de "certaines réformes engagées" par le gouvernement comme le "bouclier fiscal", la "remise en cause qui se prépare sur le contrat de travail", ou les franchises médicales.
"Je veux qu'avant le premier tour des législatives des décisions concrètes soient prises, pour que les engagements pris soient rapidement tenus et qu'on voit que ces engagements soient traduits dans l'action".
"J'ai toujours crû à la politique par la preuve donc je jugerai et nous jugerons sur les actes". Si les engagements ne sont pas respectés alors que Nicolas Sarkozy "peut le faire, voilà une raison de plus de faire en sorte que l'opposition soit forte à l'Assemblée", afin de "protéger les Français" a poursuivi la présidente de la région Poitou-Charentes.
Elle a dénoncé la "dangerosité" de "certaines réformes engagées" par le gouvernement comme le "bouclier fiscal", la "remise en cause qui se prépare sur le contrat de travail", ou les franchises médicales.
Mettre en place des contre-pouvoirs
Alors que certains membres du Parti socialiste s'inquiètent du faible nombre de circonscriptions gagnables, Ségolène Royal a tenté de rassurer les électeurs les invitant à "mettre en place des contre-pouvoirs, de mettre en place une opposition nouvelle sans esprit de revanche mais aussi sans fatalisme, avec une très forte mobilisation".
Elle a réitéré son appel "aux 17 millions d'électeurs" qui "se sont portés sur (s)on nom pour que cette opposition soit la plus large possible".
Dans une volonté de rassemblement et d'unité, Ségolène Royal a souhaité "un parti uni, où les gens se serrent les coudes, où on n'entend pas de petites phrases, où il n'y a pas de trahisons", dénonçant "un certain nombre d'attaques dirigées contre" le patron du PS. Elles ne "grandissent pas leurs auteurs".
"Je n'exclus rien, je ne m'interdis rien", a-t-elle répondu alors qu'on l'interrogeait sur son avenir personnel, alors que François Hollande a, lui, indiqué qu'il quitterait son poste de Premier secrétaire du Parti socialiste après les législatives.
A moins de quinze jours du premier tour des élections législatives, le Parti socialiste marque sa "véritable entrée en campagne" avec un grand meeting ce soir au Zénith à Paris.
Elle a réitéré son appel "aux 17 millions d'électeurs" qui "se sont portés sur (s)on nom pour que cette opposition soit la plus large possible".
Dans une volonté de rassemblement et d'unité, Ségolène Royal a souhaité "un parti uni, où les gens se serrent les coudes, où on n'entend pas de petites phrases, où il n'y a pas de trahisons", dénonçant "un certain nombre d'attaques dirigées contre" le patron du PS. Elles ne "grandissent pas leurs auteurs".
"Je n'exclus rien, je ne m'interdis rien", a-t-elle répondu alors qu'on l'interrogeait sur son avenir personnel, alors que François Hollande a, lui, indiqué qu'il quitterait son poste de Premier secrétaire du Parti socialiste après les législatives.
A moins de quinze jours du premier tour des élections législatives, le Parti socialiste marque sa "véritable entrée en campagne" avec un grand meeting ce soir au Zénith à Paris.