Nicolas Sarkozy a déclaré que l'ambition du plan pour les banlieues présenté aujourd’hui à l'Elysée était de "réinventer la ville".
"Nous allons réinventer la ville", a-t-il lancé, évoquant un "enjeu de civilisation".
"Nous avons tous appris au moins une chose au cours de ces vingt dernières années, c'est qu'il ne suffisait pas de créer un ministère de la Ville, ni de débloquer des crédits, ni de repeindre les immeubles, pour que dans certains quartiers, de plus en plus d'habitants ne se sentent pas laissés pour compte abandonnés de tous, mis à l'écart de la République de ses solidarités et de ses lois", a ajouté le président de la République.
Nicolas Sarkozy a annoncé le déblocage d'une enveloppe de 500 millions d'euros, prélevés sur les financements du Grenelle de l'environnement, pour développer les transports en commun dans les quartiers sensibles. Il a annoncé le déploiement de 4.000 policiers supplémentaires en trois ans dans les quartiers sensibles pour y maintenir l'ordre et lutter contre les violences urbaines.
Il dévoilait son très attendu plan pour les banlieues, une de ses principales promesses de campagne. Il s'exprimait aux côtés de plusieurs ministres, au premier rang desquels celles en charge du dossier Christine Boutin et Fadela Amara.
"Nous allons réinventer la ville", a-t-il lancé, évoquant un "enjeu de civilisation".
"Nous avons tous appris au moins une chose au cours de ces vingt dernières années, c'est qu'il ne suffisait pas de créer un ministère de la Ville, ni de débloquer des crédits, ni de repeindre les immeubles, pour que dans certains quartiers, de plus en plus d'habitants ne se sentent pas laissés pour compte abandonnés de tous, mis à l'écart de la République de ses solidarités et de ses lois", a ajouté le président de la République.
Nicolas Sarkozy a annoncé le déblocage d'une enveloppe de 500 millions d'euros, prélevés sur les financements du Grenelle de l'environnement, pour développer les transports en commun dans les quartiers sensibles. Il a annoncé le déploiement de 4.000 policiers supplémentaires en trois ans dans les quartiers sensibles pour y maintenir l'ordre et lutter contre les violences urbaines.
Il dévoilait son très attendu plan pour les banlieues, une de ses principales promesses de campagne. Il s'exprimait aux côtés de plusieurs ministres, au premier rang desquels celles en charge du dossier Christine Boutin et Fadela Amara.