Nicolas Sarkozy prendra ses fonctions de président de la République le 16 mai après quelques jours de repos "quelque part en France", a confirmé dimanche soir sur TF1 François Fillon, qui a été son conseiller durant la campagne.
M. Sarkozy avait indiqué au "Parisien" vendredi qu'il souhaitait se placer en retrait de la vie publique "une dizaine de jours pour habiter la fonction, prendre la mesure de la gravité des charges qui pèsent désormais sur ses épaules, se reposer après le fracas de la campagne".
"Les institutions de la République prévoient que Jacques Chirac est président jusqu'au 17 mai à zéro heure", indiquait aussi M. Sarkozy, ajoutant qu'un "républicain digne de ce nom doit respecter ces délais scrupuleusement".
La passation de pouvoirs peut intervenir à tout moment entre la proclamation des résultats définitifs de l'élection présidentielle par la Conseil constitutionnel et la fin du mandat du président sortant.
La pratique veut que la date de la passation de pouvoir soit décidée d'un commun accord entre le sortant et son successeur.
Elle consistera en un entretien formel entre Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy, la transmission du code nucléaire au nouvel élu et la remise à ce dernier des insignes de Grand Maître de l'Ordre de la Légion d'Honneur.
M. Sarkozy avait indiqué au "Parisien" vendredi qu'il souhaitait se placer en retrait de la vie publique "une dizaine de jours pour habiter la fonction, prendre la mesure de la gravité des charges qui pèsent désormais sur ses épaules, se reposer après le fracas de la campagne".
"Les institutions de la République prévoient que Jacques Chirac est président jusqu'au 17 mai à zéro heure", indiquait aussi M. Sarkozy, ajoutant qu'un "républicain digne de ce nom doit respecter ces délais scrupuleusement".
La passation de pouvoirs peut intervenir à tout moment entre la proclamation des résultats définitifs de l'élection présidentielle par la Conseil constitutionnel et la fin du mandat du président sortant.
La pratique veut que la date de la passation de pouvoir soit décidée d'un commun accord entre le sortant et son successeur.
Elle consistera en un entretien formel entre Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy, la transmission du code nucléaire au nouvel élu et la remise à ce dernier des insignes de Grand Maître de l'Ordre de la Légion d'Honneur.