De nombreux rassemblements sont initiés dans le monde en solidarité avec les Palestiniens de Gaza, qui comptent dans leurs rangs 23 victimes des bombardements israéliens depuis mercredi 14 novembre. En France, ce ne sont pas moins de 24 manifestations qui sont organisées tout au long du week-end du 17 au 19 novembre pour dénoncer les exactions de l’armée israélienne.
Face à l’urgence de la situation, l’Union générale des étudiants palestiniens (GUPS) et le Collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens (CNPJDPI) ont lancé un appel à se rassembler, samedi 17 novembre à la place de l’Opéra, à Paris.
A l’approche des élections législatives en Israël en janvier 2013, « Benyamin Netanyahou, qui a annoncé l’alliance de son parti avec celui du leader d’extrême droite Avigdor Lieberman, utilise à l'évidence cette attaque contre la bande de Gaza pour des considérations électorales », affirme le CNPJDPI, qui appelle « le gouvernement français à faire pression sur Israël afin que ce déferlement de violence meurtrière cesse. »
Pour le moment, François Hollande s'est déclaré, vendredi 16 novembre, « très préoccupé » par la situation, tandis que son Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a indiqué qu'il est « temps d’arrêter cette escalade dangereuse à la fois pour la sécurité d’Israël pour son peuple, mais aussi les Palestiniens. »
« Après le déclenchement des révolutions arabes, il nous incombe plus que jamais de nous mobiliser face à l'impunité d'Israël et au silence complice de la communauté internationale ; pour réaffirmer notre soutien à la résistance de notre peuple à Gaza pour sa liberté ; pour mettre fin à la normalisation avec l’ennemi sioniste », fait savoir de son côté la GUPS.
Le Parti communiste français (PCF) a réclamé vendredi « des sanctions contre Israël jusqu'à ce que cet État accepte de respecter les résolutions de l'ONU » et appelle l’opinion publique à se joindre aux rassemblements et aux initiatives de protestation en France, notamment celle de samedi à Paris, « contre cette nouvelle guerre contre le peuple palestinien. »
« Les Nations Unies et l'Union Européenne doivent exiger la fin des bombardements et des assassinats ciblés », a martelé Europe Ecologie-Les Verts, pour qui « il faut coûte que coûte éviter une nouvelle opération "plomb durci" comme en 2008/2009. »
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A l’approche des élections législatives en Israël en janvier 2013, « Benyamin Netanyahou, qui a annoncé l’alliance de son parti avec celui du leader d’extrême droite Avigdor Lieberman, utilise à l'évidence cette attaque contre la bande de Gaza pour des considérations électorales », affirme le CNPJDPI, qui appelle « le gouvernement français à faire pression sur Israël afin que ce déferlement de violence meurtrière cesse. »
Pour le moment, François Hollande s'est déclaré, vendredi 16 novembre, « très préoccupé » par la situation, tandis que son Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a indiqué qu'il est « temps d’arrêter cette escalade dangereuse à la fois pour la sécurité d’Israël pour son peuple, mais aussi les Palestiniens. »
« Après le déclenchement des révolutions arabes, il nous incombe plus que jamais de nous mobiliser face à l'impunité d'Israël et au silence complice de la communauté internationale ; pour réaffirmer notre soutien à la résistance de notre peuple à Gaza pour sa liberté ; pour mettre fin à la normalisation avec l’ennemi sioniste », fait savoir de son côté la GUPS.
Le Parti communiste français (PCF) a réclamé vendredi « des sanctions contre Israël jusqu'à ce que cet État accepte de respecter les résolutions de l'ONU » et appelle l’opinion publique à se joindre aux rassemblements et aux initiatives de protestation en France, notamment celle de samedi à Paris, « contre cette nouvelle guerre contre le peuple palestinien. »
« Les Nations Unies et l'Union Européenne doivent exiger la fin des bombardements et des assassinats ciblés », a martelé Europe Ecologie-Les Verts, pour qui « il faut coûte que coûte éviter une nouvelle opération "plomb durci" comme en 2008/2009. »
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