Le groupe scolaire musulman Al-Kindi, situé près de Lyon, fait savoir, à l'issue de la commission de concertation académique qui s'est réunie jeudi 12 décembre, qu'elle procède « à des mesures correctrices importantes », ceci pour être « dans une démarche pro-active » qui sert « l'intérêt des 617 élèves qu'il accompagne » du CP à la Terminale.
Le groupe privé, menacé du retrait de ses contrats d'association avec l'Etat,, avait déjà procédé à une modification du règlement intérieur jugé « discriminatoire » envers les filles ou encore au retrait de livres « problématiques » du CDI. Ses responsables estiment aujourd'hui avoir répondu « à l'ensemble des griefs formulés » au cours des cinq heures de réunion avec la préfète de Région, Fabienne Buccio.
« Les échanges se sont très bien déroulés. L'association et ses conseils ont pu largement répondre aux préoccupations de l'administration et se sont attachés à apporter des précisions sur tous les griefs soulevés initialement », indique dans un communiqué Al-Kindi.
Ce dernier « a tenu à réaffirmer son intention de maintenir ses contrats d'association avec l'État », un point de vue « partagé » avec « la majorité des représentants des collectivités territoriales présentes à la commission ». « La Préfète de Région a indiqué prendre un temps nécessaire à la réflexion avant de rendre sa décision sur ce dossier au regard des nombreuses pièces apportées par le groupe scolaire à la défense de ses intérêts », ajoute Al-Kindi.
Saluant « la pleine mesure prise par la préfète quant à l'enjeu dont il est question », le groupe scolaire espère ainsi que « la décision de résiliation ne sera pas prise ».
Lire aussi :
D'anciens élèves d'Al-Kindi dénoncent un « traitement discriminatoire » envers les écoles musulmanes
Un millier de personnes manifestent en soutien au lycée musulman Al-Kindi
Deux députés du Rhône en soutien au groupe scolaire musulman Al-Kindi
Le lycée musulman Al-Kindi menacé d'une résiliation de son contrat d'association avec l'Etat
Le groupe privé, menacé du retrait de ses contrats d'association avec l'Etat,, avait déjà procédé à une modification du règlement intérieur jugé « discriminatoire » envers les filles ou encore au retrait de livres « problématiques » du CDI. Ses responsables estiment aujourd'hui avoir répondu « à l'ensemble des griefs formulés » au cours des cinq heures de réunion avec la préfète de Région, Fabienne Buccio.
« Les échanges se sont très bien déroulés. L'association et ses conseils ont pu largement répondre aux préoccupations de l'administration et se sont attachés à apporter des précisions sur tous les griefs soulevés initialement », indique dans un communiqué Al-Kindi.
Ce dernier « a tenu à réaffirmer son intention de maintenir ses contrats d'association avec l'État », un point de vue « partagé » avec « la majorité des représentants des collectivités territoriales présentes à la commission ». « La Préfète de Région a indiqué prendre un temps nécessaire à la réflexion avant de rendre sa décision sur ce dossier au regard des nombreuses pièces apportées par le groupe scolaire à la défense de ses intérêts », ajoute Al-Kindi.
Saluant « la pleine mesure prise par la préfète quant à l'enjeu dont il est question », le groupe scolaire espère ainsi que « la décision de résiliation ne sera pas prise ».
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