L'Iran s'est prononcé, mardi 16 juillet, en faveur d'une « trêve complète » des rebelles syriens pendant le Ramadan. « Nous conseillons (aux rebelles) de mettre en place une trêve complète, de ranger leurs armes et de s'engager dans des négociations avec le gouvernement syrien. Il n'y a pas de solution militaire et la seule voie est le dialogue national entre le gouvernement et la vraie opposition », a indiqué le porte-parole de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi, ajoutant faire la différence « entre les vrais rebelles et les groupes terroristes ».
En revanche, l’Iran, allié indéfectible de Bachar al-Assad depuis le début de la contestation en Syrie, ne demande rien au régime syrien. Il y a une semaine, le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon avait invité les deux camps à observer une trêve pour le mois du Ramadan, qui a débuté mercredi 10 juillet.
Le chef de la Coalition nationale des forces de l'opposition syrienne a également appelé la communauté internationale à faire pression sur le régime et ses alliés afin qu'ils acceptent une trêve à Homs.
Dans cette ville du centre du pays, l'armée syrienne, appuyée par le Hezbollah libanais, a entamé une offensive pour déloger les rebelles. L'ONU estime que plus de 2 500 civils sont bloqués dans les quartiers assiégés de Homs, tandis que des organisations de défense des droits de l'Homme ont averti que la nourriture et les médicaments commençaient à manquer, entraînant la mort de personnes blessées par les bombardements et les combats.
D'après les chiffres de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) plus de 100 000 personnes, dont plus de 10 000 enfants, ont perdu la vie depuis le début de ce conflit en mars 2011.
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En revanche, l’Iran, allié indéfectible de Bachar al-Assad depuis le début de la contestation en Syrie, ne demande rien au régime syrien. Il y a une semaine, le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon avait invité les deux camps à observer une trêve pour le mois du Ramadan, qui a débuté mercredi 10 juillet.
Le chef de la Coalition nationale des forces de l'opposition syrienne a également appelé la communauté internationale à faire pression sur le régime et ses alliés afin qu'ils acceptent une trêve à Homs.
Dans cette ville du centre du pays, l'armée syrienne, appuyée par le Hezbollah libanais, a entamé une offensive pour déloger les rebelles. L'ONU estime que plus de 2 500 civils sont bloqués dans les quartiers assiégés de Homs, tandis que des organisations de défense des droits de l'Homme ont averti que la nourriture et les médicaments commençaient à manquer, entraînant la mort de personnes blessées par les bombardements et les combats.
D'après les chiffres de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) plus de 100 000 personnes, dont plus de 10 000 enfants, ont perdu la vie depuis le début de ce conflit en mars 2011.
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