Il est plus que regrettable et attristant, les mensonges et les contradictions tant des jeunes que des policiers et de leur hiérarchie que l’attitude des gardiens de la paix à l’égard de ces jeunes, de ce racisme, de ces humiliations, de ces contrôles d’identités à répétition.
Il est plus que regrettable et attristant, cette violence gratuite contre des pères, mères et personnes âgées dans ce département littéralement occultés par les médias.
Il est plus que regrettable et attristant, cette violence gratuite contre des pères, mères et personnes âgées dans ce département littéralement occultés par les médias.
On ne construit pas une maison avec du bois pourri !!!
A ces jeunes, quelles perspectives d’avenir leur offrent-on, lorsque sur le terrain, le constat est sans appel : précarité, chômage, échecs scolaire, laissés-pour-compte, intolérance et racisme…. Faut-il stigmatiser toute une partie de nos concitoyens qui se sentent à raison dédaignés et méprisés par la république ? Serions-nous en capacité de pouvoir proposer et réussir un « nouveau pacte social ?»
De nos jours, sans être pessimiste, oserions-nous parier sur l’avenir, alors qu’en même temps, les possédants ne veulent surtout pas amoindrir leur privilège afin de partager avec le plus grand nombre ?
Plus de 30 ans de politique de la ville conçue par la gauche, n’a permis que d’acheter la paix sociale et d’arroser largement les associations et leurs servants... solutions provisoires face à l’urgence de la situation de ses populations défavorisées - et souvent recluses dans leurs ghettos ethniques, sociaux et territoriaux.
Assurer la sécurité dans ces quartiers est d’une grande nécessité : ce ne sont que des mots ! J’ose croire que non, mais dans ma vision d’élue de terrain, souvent mes prédictions se sont révélées justes, car lors des approches des élections, les débats politiciens sur ces questions non suivi d’actes sont légion.
Dans un pays comme la France, croyez-moi, le racisme est un fléau moralement inacceptable et politiquement insoutenable, voire indéfendable. Est-il possible que dans notre département du 93, le plus jeune département de France, et où se développe un indéniable dynamisme économique, tant de jeunes, qui ont sincèrement cru à l’école de la République, aux valeurs de la République, qui sont surdiplômés et sous employés ? Est-il normal qu’ils en soient réduits, la rage au cœur, à végéter dans une économie synonyme de dirigisme qui ne dirige rien et de libéralisme qui ne libère personne ?
Le danger est imminent…Stoppons les dégâts, les dès sont jetés : il y a urgence à redonner de le sourire aux hommes et femmes d’aujourd’hui et de demain, ces jeunes compatriotes dans les quartiers populaires de façon équitable ne demandent qu’à être compris, être considérés et respectés.
Promouvoir un véritable universalisme républicain, une société meilleure et ouverte où tout le monde aura sa chance et où les talents seront, enfin, mis en valeur - loin des conservatismes mesquins et des déclarations rhétoriques et envolées lyriques….
Au moment où Dominique de VILLEPIN, Chef du gouvernement, décrète l’emploi en droit de réhabilitation active comme l’urgence absolue, comment n’y a t’il pas suffisamment d’incitation à créer des emplois au sein des quartiers difficiles et des populations issues des minorités et sans communautarisme?
De nos jours, sans être pessimiste, oserions-nous parier sur l’avenir, alors qu’en même temps, les possédants ne veulent surtout pas amoindrir leur privilège afin de partager avec le plus grand nombre ?
Plus de 30 ans de politique de la ville conçue par la gauche, n’a permis que d’acheter la paix sociale et d’arroser largement les associations et leurs servants... solutions provisoires face à l’urgence de la situation de ses populations défavorisées - et souvent recluses dans leurs ghettos ethniques, sociaux et territoriaux.
Assurer la sécurité dans ces quartiers est d’une grande nécessité : ce ne sont que des mots ! J’ose croire que non, mais dans ma vision d’élue de terrain, souvent mes prédictions se sont révélées justes, car lors des approches des élections, les débats politiciens sur ces questions non suivi d’actes sont légion.
Dans un pays comme la France, croyez-moi, le racisme est un fléau moralement inacceptable et politiquement insoutenable, voire indéfendable. Est-il possible que dans notre département du 93, le plus jeune département de France, et où se développe un indéniable dynamisme économique, tant de jeunes, qui ont sincèrement cru à l’école de la République, aux valeurs de la République, qui sont surdiplômés et sous employés ? Est-il normal qu’ils en soient réduits, la rage au cœur, à végéter dans une économie synonyme de dirigisme qui ne dirige rien et de libéralisme qui ne libère personne ?
Le danger est imminent…Stoppons les dégâts, les dès sont jetés : il y a urgence à redonner de le sourire aux hommes et femmes d’aujourd’hui et de demain, ces jeunes compatriotes dans les quartiers populaires de façon équitable ne demandent qu’à être compris, être considérés et respectés.
Promouvoir un véritable universalisme républicain, une société meilleure et ouverte où tout le monde aura sa chance et où les talents seront, enfin, mis en valeur - loin des conservatismes mesquins et des déclarations rhétoriques et envolées lyriques….
Au moment où Dominique de VILLEPIN, Chef du gouvernement, décrète l’emploi en droit de réhabilitation active comme l’urgence absolue, comment n’y a t’il pas suffisamment d’incitation à créer des emplois au sein des quartiers difficiles et des populations issues des minorités et sans communautarisme?