Sur le vif
Thierry Breton, ministre français de l'Economie, des Finances et de l'Industrie est à Alger depuis dimanche soir pour une visite de travail de deux jours à l'invitation de son homologue algérien, Mourad Medelci.
Avant de rencontrer le chef du gouvernement Abdelaziz Belkhadem, M. Breton a été reçu lundi matin par le président Abdelaziz Bouteflika. Il aura également des entretiens avec son homologue Mourad Medelci et le ministre algérien de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil.
Selon l'ambassade de France à Alger, l'objectif de cette visite est de "renforcer le partenariat économique et financier entre les deux pays". Elle se tient à l'occasion de la première réunion du comité pour le partenariat et le développement, dont le principe avait été décidé par les deux ministres des Finances.
Ce comité devrait aider à la montée en puissance des investissements français en Algérie. Sur le total d'investissements directs étrangers entrant dans le pays, la France tient déjà une place non négligeable avec près de 14% des flux pour 2005. Le stock d'investissements français atteint 1,4 milliard d'euros.
Selon une étude réalisée par la mission économique de l'ambassade de France, les perspectives pour les trois prochaines années font état de 800 millions d'euros d'investissements supplémentaires et de 1,5 milliard d'euros dans le secteur des hydrocarbures.
Avant de rencontrer le chef du gouvernement Abdelaziz Belkhadem, M. Breton a été reçu lundi matin par le président Abdelaziz Bouteflika. Il aura également des entretiens avec son homologue Mourad Medelci et le ministre algérien de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil.
Selon l'ambassade de France à Alger, l'objectif de cette visite est de "renforcer le partenariat économique et financier entre les deux pays". Elle se tient à l'occasion de la première réunion du comité pour le partenariat et le développement, dont le principe avait été décidé par les deux ministres des Finances.
Ce comité devrait aider à la montée en puissance des investissements français en Algérie. Sur le total d'investissements directs étrangers entrant dans le pays, la France tient déjà une place non négligeable avec près de 14% des flux pour 2005. Le stock d'investissements français atteint 1,4 milliard d'euros.
Selon une étude réalisée par la mission économique de l'ambassade de France, les perspectives pour les trois prochaines années font état de 800 millions d'euros d'investissements supplémentaires et de 1,5 milliard d'euros dans le secteur des hydrocarbures.
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