La prière, l’alcool, les viandes illicites, l’impudence des collègues ou des propos, autant d’éléments qui peuvent gêner dans une vie professionnelle. À part être son propre patron ou s’expatrier dans un pays où l’Islam est la religion majoritaire (quoique parfois…), il peut arriver que certain(e)s trouvent une alternative à ces désagréments.
Prenons un cas bien précis, celui d’une personne qui travaillerait dans la restauration ou l’hôtellerie. En effet, elle peut être amenée à avoir un contact avec des produits de consommation illicites (viandes, alcool…), un contact à la fois tactile et visuel. Mon but n’est pas de donner un avis juridique sur la question, parce que ce n’est pas le propos, et surtout parce qu’il ne s’agit pas de juger mais bien de comprendre et, pourquoi pas, proposer quelques adéquations.
Le choix de changer de milieu professionnel peut être une solution certes, mais ce n’est pas si facile et puis, en temps de crise, les boulots ne courent pas les rues ! Il est certes important d’éviter d’entrer en contact avec ces produits, aussi tout est une question de subtilité et de dialogue. En effet, si d’emblée la relation avec le supérieur hiérarchique et les collègues est saine et respectueuse, l’on peut facilement arriver à des compromis. Et cela peut aussi bien s’appliquer à ceux et celles qui souhaitent avoir un petit coin prière ou un temps de pause bien à eux afin de rompre le jeûne.
Prenons un cas bien précis, celui d’une personne qui travaillerait dans la restauration ou l’hôtellerie. En effet, elle peut être amenée à avoir un contact avec des produits de consommation illicites (viandes, alcool…), un contact à la fois tactile et visuel. Mon but n’est pas de donner un avis juridique sur la question, parce que ce n’est pas le propos, et surtout parce qu’il ne s’agit pas de juger mais bien de comprendre et, pourquoi pas, proposer quelques adéquations.
Le choix de changer de milieu professionnel peut être une solution certes, mais ce n’est pas si facile et puis, en temps de crise, les boulots ne courent pas les rues ! Il est certes important d’éviter d’entrer en contact avec ces produits, aussi tout est une question de subtilité et de dialogue. En effet, si d’emblée la relation avec le supérieur hiérarchique et les collègues est saine et respectueuse, l’on peut facilement arriver à des compromis. Et cela peut aussi bien s’appliquer à ceux et celles qui souhaitent avoir un petit coin prière ou un temps de pause bien à eux afin de rompre le jeûne.
Par ailleurs, il y a aussi des situations où les propos fusent et la vulgarité avec ! Là il ne s’agit plus de religiosité mais bien de savoir-vivre ; mais il est vrai que l’humour à la française est bien souvent trivial et cru. Quand on quitte l’espace détente alors que tous les collègues y sont, on passe bien souvent pour un rabat-joie, un rétrograde qui ne sait pas plaisanter, pire un intégriste, ouh ! Eh bien, non !
Faites travailler vos méninges et éluder les propos aberrants en rebondissant aussitôt sur un sujet ou mieux en glissant un petit « attention, tu risques d’offenser mes oreilles ! », avec un ton affable, à la manière d’une maman qui fait une petite remontrance à son enfant. Tout est dans la façon de le dire. Si ça ne marche pas, tant pis !
Bien évidemment, tout n’est pas rose et il arrive d’avoir des collègues pas du tout faciles à vivre et donc aucunement prédisposés à faire preuve de souplesse et de compréhension. Dans pareil contexte, la sagesse est requise et la patience également. Pour les plus nerveux, pensez à vous défouler, ça peut vous faire du bien.
Ainsi, au-delà des difficultés rencontrées, il faut se rappeler que si l’on doit vivre pareilles épreuves, c’est bien pour les affronter et arriver à les résoudre à sa façon. Il est vrai que ce n’est pas si facile mais il est important de persévérer et de ne pas se décourager.
Vous l’aurez compris, il n’y a pas de solution miracle. L’idéal bien sûr est que tout aille comme sur des roulettes, mais la vie ne vaut d’être vécue que si elle est semée d’embuches et d’embrouilles : autrement, à quoi bon aspirer à une vie meilleure après la mort ?
Faites travailler vos méninges et éluder les propos aberrants en rebondissant aussitôt sur un sujet ou mieux en glissant un petit « attention, tu risques d’offenser mes oreilles ! », avec un ton affable, à la manière d’une maman qui fait une petite remontrance à son enfant. Tout est dans la façon de le dire. Si ça ne marche pas, tant pis !
Bien évidemment, tout n’est pas rose et il arrive d’avoir des collègues pas du tout faciles à vivre et donc aucunement prédisposés à faire preuve de souplesse et de compréhension. Dans pareil contexte, la sagesse est requise et la patience également. Pour les plus nerveux, pensez à vous défouler, ça peut vous faire du bien.
Ainsi, au-delà des difficultés rencontrées, il faut se rappeler que si l’on doit vivre pareilles épreuves, c’est bien pour les affronter et arriver à les résoudre à sa façon. Il est vrai que ce n’est pas si facile mais il est important de persévérer et de ne pas se décourager.
Vous l’aurez compris, il n’y a pas de solution miracle. L’idéal bien sûr est que tout aille comme sur des roulettes, mais la vie ne vaut d’être vécue que si elle est semée d’embuches et d’embrouilles : autrement, à quoi bon aspirer à une vie meilleure après la mort ?