Mardi, le parti du Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a proposé la tenue d'élections législatives anticipées le 24 juin, seule issue à la crise politique qui frappe le pays, au lendemain de l'annulation par la cour constitutionnelle du premier tour de la présidentielle.
M. Erdogan, chef du Parti de la Justice et du Développement (AKP) dont le bras droit était seul candidat en lice, s'en est vivement pris mercredi devant ses députés au verdict des juges constitutionnels, estimant qu'il s'agissait d'"une balle tirée contre la démocratie", mais a assuré le respecter.
Tout en déposant une proposition de loi pour avancer les législatives prévues le 4 novembre au 24 juin, le parti au pouvoir a annoncé son intention de convoquer un nouveau scrutin présidentiel, dont le premier tour pourrait avoir lieu dès jeudi et pour lequel le ministre des Affaires étrangères Abdullah Gül a maintenu sa candidature.
M. Erdogan, chef du Parti de la Justice et du Développement (AKP) dont le bras droit était seul candidat en lice, s'en est vivement pris mercredi devant ses députés au verdict des juges constitutionnels, estimant qu'il s'agissait d'"une balle tirée contre la démocratie", mais a assuré le respecter.
Tout en déposant une proposition de loi pour avancer les législatives prévues le 4 novembre au 24 juin, le parti au pouvoir a annoncé son intention de convoquer un nouveau scrutin présidentiel, dont le premier tour pourrait avoir lieu dès jeudi et pour lequel le ministre des Affaires étrangères Abdullah Gül a maintenu sa candidature.