Mardi, Israéliens et Palestiniens se sont engagés aux Etats-Unis à entamer des négociations immédiates pour résoudre leur conflit afin de parvenir à un accord de paix avant la fin 2008.
Cet engagement a été arraché par le président américain George W. Bush, quelques minutes à peine avant le début d'une conférence internationale à Annapolis (est) destinée à relancer un processus de paix moribond.
Il s'agit de l'implication la plus forte de M. Bush, accusé d'avoir négligé la question au profit de l'Irak, à bientôt un an de la fin de sa présidence.
Les deux parties sont convenues de lancer "immédiatement des négociations bilatérales en toute bonne foi pour conclure un traité de paix résolvant toutes les questions pendantes", a dit le président américain, lisant une déclaration commune du Premier ministre israélien Ehud Olmert et du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas.
Israéliens et Palestiniens se sont engagés à faire "tous les efforts possibles pour parvenir à un accord avant la fin de 2008".
Un comité de pilotage, créé par ce document et dirigé par la ministre israélienne des Affaires étrangères Tzipi Livni et le chef des négociateurs palestinien Ahmad Qorei, se réunira pour la première fois le 12 décembre.
De plus, deux conférences internationales de suivi se dérouleront à Paris le 17 décembre et à Moscou début 2008, selon la France.
M. Abbas a souligné qu'Annapolis représentait une opportunité pour faire la paix qui "ne se répètera pas". Et M. Olmert a affirmé qu'Israël était prêt à un "compromis douloureux" pour la paix. Il a évoqué la possibilité d'un retrait israélien des territoires occupés depuis 1967, sans en préciser l'ampleur.
Plusieurs sujets essentiels restent conflictuels: le statut de Jérusalem, le sort de plus de quatre millions de réfugiés palestiniens, des colonies juives dont les Palestiniens réclament le démantèlement, le partage des ressources en eau et la délimitation des frontières.
Cet engagement a été arraché par le président américain George W. Bush, quelques minutes à peine avant le début d'une conférence internationale à Annapolis (est) destinée à relancer un processus de paix moribond.
Il s'agit de l'implication la plus forte de M. Bush, accusé d'avoir négligé la question au profit de l'Irak, à bientôt un an de la fin de sa présidence.
Les deux parties sont convenues de lancer "immédiatement des négociations bilatérales en toute bonne foi pour conclure un traité de paix résolvant toutes les questions pendantes", a dit le président américain, lisant une déclaration commune du Premier ministre israélien Ehud Olmert et du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas.
Israéliens et Palestiniens se sont engagés à faire "tous les efforts possibles pour parvenir à un accord avant la fin de 2008".
Un comité de pilotage, créé par ce document et dirigé par la ministre israélienne des Affaires étrangères Tzipi Livni et le chef des négociateurs palestinien Ahmad Qorei, se réunira pour la première fois le 12 décembre.
De plus, deux conférences internationales de suivi se dérouleront à Paris le 17 décembre et à Moscou début 2008, selon la France.
M. Abbas a souligné qu'Annapolis représentait une opportunité pour faire la paix qui "ne se répètera pas". Et M. Olmert a affirmé qu'Israël était prêt à un "compromis douloureux" pour la paix. Il a évoqué la possibilité d'un retrait israélien des territoires occupés depuis 1967, sans en préciser l'ampleur.
Plusieurs sujets essentiels restent conflictuels: le statut de Jérusalem, le sort de plus de quatre millions de réfugiés palestiniens, des colonies juives dont les Palestiniens réclament le démantèlement, le partage des ressources en eau et la délimitation des frontières.