Le monde judiciaire londonien a littéralement arrêté de tourner jeudi à cause du "Da Vinci Code". Avocats, notaires, greffiers et secrétaires ont passé la journée à tenter de déchiffrer un code: pas celui contenu dans le best-seller de Dan Brown, mais celui intégré dans son ordonnance de jugement par le juge chargé du procès pour plagiat intenté à l'écrivain américain. "La rumeur veut qu'aucune heure facturable n'ait été travaillée aujourd'hui", expliquait Mark Stephen, avocat londonien.
Le mystère a débuté lorsque le juge Peter Smith de la Haute cour de Londres a rendu au début du mois son ordonnance statuant que Dan Brown n'avait pas copié "L'Enigme sacrée" ("Holy Blood, Holy Grail"), publié en 1982.
En l'examinant plusieurs avocats ont remarqué que plusieurs lettres avaient été écrites en italique tout au long des 71 pages du document. Mises bout à bout dans les sept premiers paragraphes de l'ordonnance, ces lettres ont fait apparaître les mots "Smithy Code" (Le Code de Smith, NDLR).
Ce code semble être un mélange de ceux figurant dans "L'Enigme sacrée" et le "Da Vinci Code". Au 52e paragraphe de son ordonnance, le juge Peter Smith y fait d'ailleurs référence. "La clé pour résoudre l'énigme posée par ce jugement se trouve dans la lecture de 'L'Enigme sacrée' et du 'Da Vinci Code'", écrit-il.
Depuis la découverte de ce mystérieux code, avocats, cryptographes et fans du "Da Vinci Code" s'arrachent les cheveux pour le déchiffrer. Selon le "New York Times", Peter Smith a donné un indice dans un courrier électronique envoyé à un de ses journalistes. Le "Smithy Code" se référerait à l'article consacré au juge dans l'édition 2006 du "Who's Who".
Pour la cryptographe américaine Elonka Dunin, la clé aurait déjà été trouvée si l'ordonnance de jugement avait été plus longue. Le code ne devrait toutefois plus résister longtemps, assurait-elle jeudi. "Avec toute l'attention de la communauté des cryptographes tournée vers lui, le code sera déchiffré d'ici 24 heures", déclarait-elle.
Le mystère a débuté lorsque le juge Peter Smith de la Haute cour de Londres a rendu au début du mois son ordonnance statuant que Dan Brown n'avait pas copié "L'Enigme sacrée" ("Holy Blood, Holy Grail"), publié en 1982.
En l'examinant plusieurs avocats ont remarqué que plusieurs lettres avaient été écrites en italique tout au long des 71 pages du document. Mises bout à bout dans les sept premiers paragraphes de l'ordonnance, ces lettres ont fait apparaître les mots "Smithy Code" (Le Code de Smith, NDLR).
Ce code semble être un mélange de ceux figurant dans "L'Enigme sacrée" et le "Da Vinci Code". Au 52e paragraphe de son ordonnance, le juge Peter Smith y fait d'ailleurs référence. "La clé pour résoudre l'énigme posée par ce jugement se trouve dans la lecture de 'L'Enigme sacrée' et du 'Da Vinci Code'", écrit-il.
Depuis la découverte de ce mystérieux code, avocats, cryptographes et fans du "Da Vinci Code" s'arrachent les cheveux pour le déchiffrer. Selon le "New York Times", Peter Smith a donné un indice dans un courrier électronique envoyé à un de ses journalistes. Le "Smithy Code" se référerait à l'article consacré au juge dans l'édition 2006 du "Who's Who".
Pour la cryptographe américaine Elonka Dunin, la clé aurait déjà été trouvée si l'ordonnance de jugement avait été plus longue. Le code ne devrait toutefois plus résister longtemps, assurait-elle jeudi. "Avec toute l'attention de la communauté des cryptographes tournée vers lui, le code sera déchiffré d'ici 24 heures", déclarait-elle.