François Bayrou veut sortir du lot. Le président du MoDem a déclaré lundi 20 février sur TF1 qu'il créerait un ministère de l'Egalité pour lutter contre toutes les discriminations.
« Je vais créer un ministère de l'Egalité, qui sera chargé de la lutte contre les discriminations pas seulement celles liées à l'immigration, mais celles dues au sexe, les discriminations contre les femmes, à l'emploi qui frappe souvent des jeunes issus de quartiers, qui n'ont pas la bonne adresse », a affirmé le candidat à la présidentielle. Une proposition qui répondait alors à une question d'un Sénégalais de 34 ans, qui regrettait le climat de « stigmatisation » des étrangers ou des Français d'origine étrangère en France.
Pour M. Bayrou, « c'est une lutte générale qui ne touche pas que les Français issus de l'immigration ». « Il y a beaucoup, beaucoup de Français qui se sentent mal reçus, mal vus, mal intégrés et ils méritent d'être pris en charge », a insisté le candidat centriste, estimant que « ce ministère » était « une grande, grande attente ».
En outre, il préconise une diminution de 30 % du nombre de députés à l’Assemblée nationale et souhaite également l'instauration d'au moins 25 % de sièges élus à la proportionnelle lors des élections législatives afin d'éviter une bipolarisation de la vie politique.
« Je vais créer un ministère de l'Egalité, qui sera chargé de la lutte contre les discriminations pas seulement celles liées à l'immigration, mais celles dues au sexe, les discriminations contre les femmes, à l'emploi qui frappe souvent des jeunes issus de quartiers, qui n'ont pas la bonne adresse », a affirmé le candidat à la présidentielle. Une proposition qui répondait alors à une question d'un Sénégalais de 34 ans, qui regrettait le climat de « stigmatisation » des étrangers ou des Français d'origine étrangère en France.
Pour M. Bayrou, « c'est une lutte générale qui ne touche pas que les Français issus de l'immigration ». « Il y a beaucoup, beaucoup de Français qui se sentent mal reçus, mal vus, mal intégrés et ils méritent d'être pris en charge », a insisté le candidat centriste, estimant que « ce ministère » était « une grande, grande attente ».
En outre, il préconise une diminution de 30 % du nombre de députés à l’Assemblée nationale et souhaite également l'instauration d'au moins 25 % de sièges élus à la proportionnelle lors des élections législatives afin d'éviter une bipolarisation de la vie politique.