Le Festival Printemps Palestine espère bien réitérer son succès de l’an dernier. La deuxième édition démarre sous les chapeaux de roue, dès ce lundi 22 mars.
L’objectif visé par les organisateurs – organisatrices pour la plupart – se veut clair : sensibiliser la communauté universitaire autour de la question palestinienne, toujours aussi brûlante à l’heure où la bande de Gaza reste un amas de ruines un an après l’offensive israélienne et où les tensions entre Palestiniens et les autorités israéliennes sont au plus fort à Jérusalem depuis quelques semaines.
Ces questions, éminemment politiques, seront principalement abordées à travers l’angle de la culture, dont les Palestiniens n’ont rien à envier aux autres peuples tant elle est riche mais qui est sans cesse menacée par la judaïsation continue des Territoires occupés palestiniens. L'initiative étudiante ambitionne de faire découvrir la résistance de ce peuple à travers la culture.
L’objectif visé par les organisateurs – organisatrices pour la plupart – se veut clair : sensibiliser la communauté universitaire autour de la question palestinienne, toujours aussi brûlante à l’heure où la bande de Gaza reste un amas de ruines un an après l’offensive israélienne et où les tensions entre Palestiniens et les autorités israéliennes sont au plus fort à Jérusalem depuis quelques semaines.
Ces questions, éminemment politiques, seront principalement abordées à travers l’angle de la culture, dont les Palestiniens n’ont rien à envier aux autres peuples tant elle est riche mais qui est sans cesse menacée par la judaïsation continue des Territoires occupés palestiniens. L'initiative étudiante ambitionne de faire découvrir la résistance de ce peuple à travers la culture.
La résistance par la culture
Porté à l’origine par un groupe d’étudiants de Paris-8 (Seine-Saint-Denis), le Festival est aujourd’hui présent sur quatre autres universités : Pierre-et-Marie-Curie (Paris-6), Paris-Diderot (Paris-7), Villetaneuse-Paris-13 (Seine-Saint-Denis) et l’université du Maine, au Mans (Sarthe).
Quels que soient leurs départements d’étude et les associations auxquelles les étudiants appartiennent, tous sont unis par un même engagement : celui d’une paix juste et durable entre Israéliens et Palestiniens sur la base du droit international.
Au menu du programme : des conférences, des lectures musicales de poèmes, une initiation à la dabkeh, la danse palestinienne, des projections de films suivies de débats… Deux semaines d’un Festival chargé en événements, qui se terminera le 3 avril par un concert à la Ligne 13, à Saint-Denis (93) avec le rappeur Médine, le groupe Gaza Team et bien d’autres artistes. Des Palestiniens de Naplouse viendront par ailleurs spécialement en France pour participer au Festival.
Quels que soient leurs départements d’étude et les associations auxquelles les étudiants appartiennent, tous sont unis par un même engagement : celui d’une paix juste et durable entre Israéliens et Palestiniens sur la base du droit international.
Au menu du programme : des conférences, des lectures musicales de poèmes, une initiation à la dabkeh, la danse palestinienne, des projections de films suivies de débats… Deux semaines d’un Festival chargé en événements, qui se terminera le 3 avril par un concert à la Ligne 13, à Saint-Denis (93) avec le rappeur Médine, le groupe Gaza Team et bien d’autres artistes. Des Palestiniens de Naplouse viendront par ailleurs spécialement en France pour participer au Festival.
L’information, le premier pas vers la sensibilisation
Les organisateurs ont à cœur de ne pas présenter le Festival comme un simple événement culturel et ponctuel. « Pérenniser cette action tout au long de l’année », à travers la création et le renforcement de collectifs pro-palestiniens dans les facs, est essentiel pour trouver un sens à leur engagement.
Pour clôturer le Festival, un tableau produit par des grapheurs sera ainsi érigé à Paris-8, afin de matérialiser l’engagement des étudiants et des professeurs comme ce fut le cas l’an passé lors de la plantation de l’olivier.
Cette initiative vient se succéder à la Israël Apartheid Week (IAW), organisée pour la sixième année consécutive du 1er au 14 mars et devenue un rendez-vous incontournable dans le calendrier de la solidarité envers la Palestine.
Outre les universités palestiniennes, plus de 40 facultés à travers le monde se sont engagées pour réaffirmer leur opposition à la politique israélienne d’apartheid et promouvoir la campagne BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions), principalement au Canada, aux États-Unis et en Grande-Bretagne, mais aussi au Liban, en Afrique du Sud, au Venezuela, en Italie et en Norvège. Un formidable élan de solidarité qui ne cesse de se renforcer d’année en année.
Pour en savoir plus sur le programme du Festival
Pour clôturer le Festival, un tableau produit par des grapheurs sera ainsi érigé à Paris-8, afin de matérialiser l’engagement des étudiants et des professeurs comme ce fut le cas l’an passé lors de la plantation de l’olivier.
Cette initiative vient se succéder à la Israël Apartheid Week (IAW), organisée pour la sixième année consécutive du 1er au 14 mars et devenue un rendez-vous incontournable dans le calendrier de la solidarité envers la Palestine.
Outre les universités palestiniennes, plus de 40 facultés à travers le monde se sont engagées pour réaffirmer leur opposition à la politique israélienne d’apartheid et promouvoir la campagne BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions), principalement au Canada, aux États-Unis et en Grande-Bretagne, mais aussi au Liban, en Afrique du Sud, au Venezuela, en Italie et en Norvège. Un formidable élan de solidarité qui ne cesse de se renforcer d’année en année.
Pour en savoir plus sur le programme du Festival
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