
Une attaque au couteau a été perpétrée, samedi 22 février, à Mulhouse (Haut-Rhin) en marge d’une manifestation de soutien au Congo. Le premier bilan fait état d'un mort et de cinq blessés parmi lesquels des policiers municipaux.
L'assaillant, qui aurait crié « Allah Akbar » en voulant s'attaquer aux agents municipaux, a été interpellé et placé en garde à vue. Selon les premiers éléments fournis à l'AFP par Nicolas Heitz, procureur de la République de Mulhouse, le suspect est un trentenaire fiché au Fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT). Déjà condamné pour apologie du terrorisme, il faisait l'objet d'une assignation à résidence.
« L’horreur vient de saisir notre ville », s'est émue via Facebook la maire de la ville, Michèle Lutz. Alors que le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, est attendu sur place dans la soirée, il ne fait « aucun doute » pour le chef de l'Etat Emmanuel Macron qu'il s'agit d'une attaque terroriste commise par un individu se réclamant de l'islam.
« Je veux dire (...) la détermination du gouvernement et la mienne de continuer le travail qui est le nôtre depuis huit ans pour tout faire afin d'éradiquer le terrorisme sur notre sol », a indiqué le président de la République en marge d'une visite au Salon de l'agriculture à Paris. Les réactions d'indignation face à cette tragédie pleuvent. « Le fanatisme a encore frappé et nous sommes en deuil », a écrit sur X le Premier ministre François Bayrou, empêtré en plein scandale de Notre-Dame de Bétharram.
Le Parquet national antiterroriste (Pnat) s'est saisi de l'affaire et a ouvert une enquête de flagrance pour « assassinat en relation avec une entreprise terroriste » et « tentative d’assassinats en relation avec une entreprise terroriste, sur personnes dépositaires de l’autorité publique ».
Mise à jour : De nationalité algérienne, l'individu, atteint de troubles psychiatriques, était visé par une obligation de quitter le territoire (OQTF) mais l'Algérie a refusé à dix reprises son expulsion, selon le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau. Une situation qui intervient alors que les relations diplomatiques entre Paris et Alger sont sous tension.
L'assaillant, qui aurait crié « Allah Akbar » en voulant s'attaquer aux agents municipaux, a été interpellé et placé en garde à vue. Selon les premiers éléments fournis à l'AFP par Nicolas Heitz, procureur de la République de Mulhouse, le suspect est un trentenaire fiché au Fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT). Déjà condamné pour apologie du terrorisme, il faisait l'objet d'une assignation à résidence.
« L’horreur vient de saisir notre ville », s'est émue via Facebook la maire de la ville, Michèle Lutz. Alors que le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, est attendu sur place dans la soirée, il ne fait « aucun doute » pour le chef de l'Etat Emmanuel Macron qu'il s'agit d'une attaque terroriste commise par un individu se réclamant de l'islam.
« Je veux dire (...) la détermination du gouvernement et la mienne de continuer le travail qui est le nôtre depuis huit ans pour tout faire afin d'éradiquer le terrorisme sur notre sol », a indiqué le président de la République en marge d'une visite au Salon de l'agriculture à Paris. Les réactions d'indignation face à cette tragédie pleuvent. « Le fanatisme a encore frappé et nous sommes en deuil », a écrit sur X le Premier ministre François Bayrou, empêtré en plein scandale de Notre-Dame de Bétharram.
Le Parquet national antiterroriste (Pnat) s'est saisi de l'affaire et a ouvert une enquête de flagrance pour « assassinat en relation avec une entreprise terroriste » et « tentative d’assassinats en relation avec une entreprise terroriste, sur personnes dépositaires de l’autorité publique ».
Mise à jour : De nationalité algérienne, l'individu, atteint de troubles psychiatriques, était visé par une obligation de quitter le territoire (OQTF) mais l'Algérie a refusé à dix reprises son expulsion, selon le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau. Une situation qui intervient alors que les relations diplomatiques entre Paris et Alger sont sous tension.