Lundi, des milliers de Palestiniens ont formé une chaîne humaine à Gaza pour protester contre le blocus imposé par Israël.
Les manifestants se sont alignés sur l'axe Salahedine qui traverse la bande de Gaza de Rafah au sud jusqu'à Beit Hanoun au nord sur près de 40 kilomètres.
En fin de matinée, un groupe rassemblé à Beit Hanoun, avec des cadres du Hamas en première ligne, a commencé à marcher vers Erez, le principal point de passage entre la bande de Gaza et Israël. Des appareils israéliens survolaient le secteur.
"Il s'agit d'une activité pacifiste et civilisée qui permet aux gens d'exprimer leur rejet du siège et de la punition collective", a déclaré le député Jamal Al-Khoudari proche du Hamas à la presse.
Houzeifa Al-Masri, 14 ans, est venu manifester avec ses camarades de classe de Beit Hanoun. "On n'a pas assez de nourriture et les incursions israéliennes sont fréquentes. Nous voulons vivre en sécurité comme le reste du monde".
L'isolement de la bande de Gaza s'est intensifié après la prise de contrôle du territoire côtier par le Hamas. Le mois dernier, Israël a durci son blocus du territoire, où vivent 1,5 million de Palestiniens, en restreignant notamment son approvisionnement en carburant en réponse aux tirs de roquette sur son territoire.
L'armée et la police israéliennes se tenaient prêtes pour faire face à tout débordement à la frontière entre Israël et la bande de Gaza, laissant entendre qu'ils n'hésiteraient pas à tirer des balles réelles sur les manifestants en dernier recours.
Mathan Vilnaï, vice-ministre israélien de la Défense, a ainsi mis en garde lundi contre tout débordement à la frontière d'Israël.
"Le Hamas doit comprendre qu'il y a des lignes à ne pas franchir (...) Nous allons utiliser tous les moyens nécessaires pour empêcher des infiltrations sur notre territoire souverain", a-t-il déclarée.
Une porte-parole militaire affirmé que "l'armée était prête, quel que soit le scénario choisi par les Palestiniens".
Les manifestants se sont alignés sur l'axe Salahedine qui traverse la bande de Gaza de Rafah au sud jusqu'à Beit Hanoun au nord sur près de 40 kilomètres.
En fin de matinée, un groupe rassemblé à Beit Hanoun, avec des cadres du Hamas en première ligne, a commencé à marcher vers Erez, le principal point de passage entre la bande de Gaza et Israël. Des appareils israéliens survolaient le secteur.
"Il s'agit d'une activité pacifiste et civilisée qui permet aux gens d'exprimer leur rejet du siège et de la punition collective", a déclaré le député Jamal Al-Khoudari proche du Hamas à la presse.
Houzeifa Al-Masri, 14 ans, est venu manifester avec ses camarades de classe de Beit Hanoun. "On n'a pas assez de nourriture et les incursions israéliennes sont fréquentes. Nous voulons vivre en sécurité comme le reste du monde".
L'isolement de la bande de Gaza s'est intensifié après la prise de contrôle du territoire côtier par le Hamas. Le mois dernier, Israël a durci son blocus du territoire, où vivent 1,5 million de Palestiniens, en restreignant notamment son approvisionnement en carburant en réponse aux tirs de roquette sur son territoire.
L'armée et la police israéliennes se tenaient prêtes pour faire face à tout débordement à la frontière entre Israël et la bande de Gaza, laissant entendre qu'ils n'hésiteraient pas à tirer des balles réelles sur les manifestants en dernier recours.
Mathan Vilnaï, vice-ministre israélien de la Défense, a ainsi mis en garde lundi contre tout débordement à la frontière d'Israël.
"Le Hamas doit comprendre qu'il y a des lignes à ne pas franchir (...) Nous allons utiliser tous les moyens nécessaires pour empêcher des infiltrations sur notre territoire souverain", a-t-il déclarée.
Une porte-parole militaire affirmé que "l'armée était prête, quel que soit le scénario choisi par les Palestiniens".