Dimanche 31 juillet, vers 18 h à Aulnay-sous-Bois (93), une femme portant le niqab a été violemment arrêtée par des policiers. Elle affirme qu’elle était disposée à décliner son identité mais que les policiers ne l’a lui aurait pas demandée.
Dans la circulaire du 31 mars 2011 relative à l’application de la loi contre la dissimulation du visage dans l’espace public, appelée « loi contre la burqa », il est spécifié que le contrevenant doit être conduit dans les locaux de police « aux fins de procéder à une vérification de son identité », c'est-à-dire si cette vérification n’était pas possible sur place.
Dans cette histoire, la jeune femme s’est retrouvée menottée et embarquée alors même qu’elle affirme avoir été disposée à donner toute les preuves de son identité aux policiers. Une arrestation vécue comme une provocation islamophobe par la communauté, à la veille du début du mois de Ramadan.
Dans la circulaire du 31 mars 2011 relative à l’application de la loi contre la dissimulation du visage dans l’espace public, appelée « loi contre la burqa », il est spécifié que le contrevenant doit être conduit dans les locaux de police « aux fins de procéder à une vérification de son identité », c'est-à-dire si cette vérification n’était pas possible sur place.
Dans cette histoire, la jeune femme s’est retrouvée menottée et embarquée alors même qu’elle affirme avoir été disposée à donner toute les preuves de son identité aux policiers. Une arrestation vécue comme une provocation islamophobe par la communauté, à la veille du début du mois de Ramadan.