« Marchons pour la Liberté, l’égalité, la fraternité. » C’est derrière ce mot d’ordre que les opposants à la loi immigration, adoptée en décembre 2023 par l’Assemblée nationale, appellent à une grande marche dimanche 21 janvier pour protester contre un vote qu’ils considèrent comme « un tournant dangereux dans l’histoire de notre République ».
« Cette loi ne répond pas aux causes de l’exil forcé d’hommes, de femmes, d’enfants fuyant les guerres ou le réchauffement climatique, ni aux défis de l’accueil dans la dignité, ni au défi de la définition d’une politique digne et humaine d’intégration », font part 201 personnalités dans une tribune parue dimanche 7 janvier dans Mediapart et L’Humanité.
Aux côtés de responsables politiques, associatifs et syndicaux comme Sophie Binet et Marylise Léon, secrétaires générales de la CGT et de la CFDT, Manuel Bompard, coordinateur national des Insoumis (LFI), Fabien Roussel, Marine Tondelier et Olivier Faure, respectivement chefs de file des communistes (PCF), des écologistes (EELV) et des socialistes (PS), on y trouve des personnalités du monde artistique comme Josiane Balasko, Pierre Arditi et Rachida Brakni, ou encore Jacques Toubon, ancien Défenseur des droits, et Thierry Beaudet, président du Conseil économique social et environnemental (CESE).
En outre, dénoncent-t-elles, « elle a été rédigée sous la dictée des marchands de haine qui rêvent d’imposer à la France leur projet de "préférence nationale" » et « torpille les piliers porteurs de notre pacte républicain, hérité du Conseil national de la Résistance ». « Ce faisant, tous et toutes, Français autant qu’étrangers, nous nous trouvons menacés », soulignent les signataires, qui demandent au président de la République de ne pas promulguer la loi. Le Conseil constitutionnel est appelé, pour sa part, à se prononcer sur le texte d’ici la fin du mois de janvier.
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Ce qu'il faut retenir de la controversée loi immigration après son adoption au Parlement
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Aux côtés de responsables politiques, associatifs et syndicaux comme Sophie Binet et Marylise Léon, secrétaires générales de la CGT et de la CFDT, Manuel Bompard, coordinateur national des Insoumis (LFI), Fabien Roussel, Marine Tondelier et Olivier Faure, respectivement chefs de file des communistes (PCF), des écologistes (EELV) et des socialistes (PS), on y trouve des personnalités du monde artistique comme Josiane Balasko, Pierre Arditi et Rachida Brakni, ou encore Jacques Toubon, ancien Défenseur des droits, et Thierry Beaudet, président du Conseil économique social et environnemental (CESE).
En outre, dénoncent-t-elles, « elle a été rédigée sous la dictée des marchands de haine qui rêvent d’imposer à la France leur projet de "préférence nationale" » et « torpille les piliers porteurs de notre pacte républicain, hérité du Conseil national de la Résistance ». « Ce faisant, tous et toutes, Français autant qu’étrangers, nous nous trouvons menacés », soulignent les signataires, qui demandent au président de la République de ne pas promulguer la loi. Le Conseil constitutionnel est appelé, pour sa part, à se prononcer sur le texte d’ici la fin du mois de janvier.
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