Sur le vif
Trente ans se sont écoulés depuis les massacres de Sabra et Chatila, deux camps de réfugiés palestiniens de Beyrouth, au Liban. Du 16 au 18 septembre 1982, des centaines de personnes – 3 500 selon des sources - sans distinction d’âge ont été tués par des milices d’extrême droite chrétiennes libanaises sous couvert de l'armée israélienne.
Pour commémorer ce triste évènement, la ville de Bagnolet, en Seine-Saint-Denis, a inauguré, jeudi 13 septembre avec l’Association des villes françaises pour le jumelage avec les camps palestiniens (AJPF), une œuvre d’art monumentale dédiée aux victimes de Sabra et Chatila. Etaient présents le maire Marc Everbecq, l'ambassadeur de Palestine en France Hael Al Fahoum et le président de l’AJPF Fernand Thuil.
« Réalisée par trois femmes artistes – Nathalie Benoist d'Etiveaud, Rana Bischara et Cathy Laurent, cette mosaïque sphérique de deux tonnes et demi est illustrée de scènes inspirées du massacre de Sabra et Chatila. Les motifs sont en mosaïque, un art séculaire qui utilise la pierre, symbole de résistance en Palestine », explique-t-on sur le site de la mairie.
Pour commémorer ce triste évènement, la ville de Bagnolet, en Seine-Saint-Denis, a inauguré, jeudi 13 septembre avec l’Association des villes françaises pour le jumelage avec les camps palestiniens (AJPF), une œuvre d’art monumentale dédiée aux victimes de Sabra et Chatila. Etaient présents le maire Marc Everbecq, l'ambassadeur de Palestine en France Hael Al Fahoum et le président de l’AJPF Fernand Thuil.
« Réalisée par trois femmes artistes – Nathalie Benoist d'Etiveaud, Rana Bischara et Cathy Laurent, cette mosaïque sphérique de deux tonnes et demi est illustrée de scènes inspirées du massacre de Sabra et Chatila. Les motifs sont en mosaïque, un art séculaire qui utilise la pierre, symbole de résistance en Palestine », explique-t-on sur le site de la mairie.
Cette œuvre fait partie d'un projet en deux parties puisqu’une sphère jumelle va être réalisée dans le cimetière de Chatila. « Les tensions actuelles au Liban ont obligé les artistes à reporter sa réalisation », nous fait-on savoir.
L’œuvre d’art « symbolise la pérennité de l'engagement de Bagnolet dans la cause palestinienne ». Un engagement qui s’est notamment concrétisé par la mise en place d’un jumelage avec Chatila voici dix ans.
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