Véronique Genest se lance en politique. Cette perspective peu réjouissante est pourtant une réalité car l’interprète de Julie Lescaut est candidate suppléante pour une élection législative partielle dans la 8e circonscription des Français de l’Etranger suite à l'invalidation de l’élection en juin 2012 de la députée PS Daphna Poznanski-Benhamou pour violation des règles sur le financement des campagnes électorales.
La nouvelle élection de cette circonscription, qui englobe l’Europe du Sud (Italie, Saint-Marin, Saint-Siège, Grèce, Turquie, Chypre, Malte et Israël), se tiendra dans deux mois.
Véronique Genest se dit heureuse de s’engager « pour l’Italie avec laquelle j’ai des attaches affectives fortes, la Grèce que j’adore, Israël, un pays formidable que j’ai découvert cet hiver », rapporte le site israélien francophone JSSNews.
La comédienne est d’ailleurs suppléante de Jonathan-Simon Sellem, le fondateur et directeur de la rédaction de ce site, qui se présente sans étiquette politique. « Évidemment, si on devait se positionner, on serait entre l'UDI et l'UMP », précise Véronique Genest.
C’est aussi à ce média, que l’islamophobe décomplexée, qui se dit proche du « centre-droit » avait accordée une interview, en janvier, dans laquelle elle déclarait qu’il fallait donner Jérusalem aux Israéliens. Elle s'est dernièrement montrée dans un rassemblement en mémoire de Ilan Halimi organisé par la Ligue de défense juive (LDJ), une milice ultra-nationaliste israélienne.
« Ça fait un bon moment que je suis intéressée par la politique, ça me titille. Donc, c'était une manière de rentrer, de mettre un pied dedans », a-t-elle indiqué au sujet de son entrée en politique. Une ambition qui ne réjouit absolument pas les citoyens français de confession musulmane, agacés par le mépris que leur a adressé la comédienne lors de ses dernières apparitions publiques.
Lire aussi :
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La comédienne est d’ailleurs suppléante de Jonathan-Simon Sellem, le fondateur et directeur de la rédaction de ce site, qui se présente sans étiquette politique. « Évidemment, si on devait se positionner, on serait entre l'UDI et l'UMP », précise Véronique Genest.
C’est aussi à ce média, que l’islamophobe décomplexée, qui se dit proche du « centre-droit » avait accordée une interview, en janvier, dans laquelle elle déclarait qu’il fallait donner Jérusalem aux Israéliens. Elle s'est dernièrement montrée dans un rassemblement en mémoire de Ilan Halimi organisé par la Ligue de défense juive (LDJ), une milice ultra-nationaliste israélienne.
« Ça fait un bon moment que je suis intéressée par la politique, ça me titille. Donc, c'était une manière de rentrer, de mettre un pied dedans », a-t-elle indiqué au sujet de son entrée en politique. Une ambition qui ne réjouit absolument pas les citoyens français de confession musulmane, agacés par le mépris que leur a adressé la comédienne lors de ses dernières apparitions publiques.
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