Avec l’irruption du terrorisme commis par des mouvements islamistes radicaux ces dernières décennies, le « jihad » est entré dans le langage courant en étant souvent traduit, à tort, par l’expression « guerre sainte », et associé par certains esprits à la violence aux entreprises mortifères commises par Daesh et ses avatars.
La faute à une méconnaissance de l'islam qui alimente, dans nos sociétés, des préjugés, eux-mêmes nés en partie du dévoiement de ce concept par des groupuscules qui ont détourné les textes sacrés pour servir une cause qui n’a rien d'islamique.
La faute à une méconnaissance de l'islam qui alimente, dans nos sociétés, des préjugés, eux-mêmes nés en partie du dévoiement de ce concept par des groupuscules qui ont détourné les textes sacrés pour servir une cause qui n’a rien d'islamique.
Alors faut-il continuer à associer systématiquement le jihad à la guerre ? D'autant que, en islam, « il n’y a pas de guerre sainte : il y a simplement une guerre juste ou une guerre injuste », martèle Tareq Oubrou.
C'est avec le recteur de la mosquée de Bordeaux que « La Casa del Hikma » revient sur les sens du terme arabe « jihad » et ce qu’il faut en comprendre aujourd'hui, à la lumière des enseignements et des valeurs islamiques.
C'est avec le recteur de la mosquée de Bordeaux que « La Casa del Hikma » revient sur les sens du terme arabe « jihad » et ce qu’il faut en comprendre aujourd'hui, à la lumière des enseignements et des valeurs islamiques.
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