Le débat entre Bernard de la Villardière et les chroniqueurs de l’émission Touche pas à mon poste (TPMP) s’annonçait des plus houleux. Le travail et des prises de positions du présentateur d’Enquête exclusive sur M6 n’a eu,en effet, de cesse d’être critiqué ces dernières années sur le plateau de TPMP. Dernièrement, Bernard de la Villardière a même reproché publiquement à Cyril Hanouna d’avoir invité une jeune fille voilée face caméra, à ses côtés.
Invité de l’émission lundi 26 février, il s’est pris les foudres de plusieurs chroniqueurs, en particulier de Gilles Verdez et de Rokhaya Diallo, qui ont fait valoir qu’il stigmatise les musulmans « en permanence ».
Pour Bernard de la Villardière, « c’est une accusation gratuite », déclarant au passage avoir « plein d’amis musulmans » et qu’il pense être « un des journalistes (français) qui a été le plus au chevet des musulmans dans les camps (…) en Syrie, en Irak » ou encore en Birmanie pour les Rohingyas « car les premières victimes de l’islamisme, du terrorisme musulman, sont les musulmans eux-mêmes ». Ce qu’il entend par islamisme ? « Il y a, à l’intérieur de l’islam une doctrine néfaste qui est le salafisme, les Frères musulmans ou le wahhabisme », estime-t-il.
« Vous ne cessez de citer des musulmans qui sont étrangers. Nous, on vous parle des musulmans de France qui ont un gros problème avec la manière dont vous les dépeignez. Je veux être très honnête avec vous, et je suis désolée pour votre maman, mais je n'aime pas du tout ce que vous faites. Je trouve que vous abordez des sujets avec une fausse neutralité qui pour moi masque une idéologie que vous déversez dans des pseudos-reportages qui à mon avis sont des tribunes », fait part Rokhaya Diallo.
Mais rien n’y fait, le journaliste n’a pas cessé de faire des parallèles avec des situations étrangères aux musulmans de France. Quant au voile, « ce n'est pas un foulard comme les autres. C'est un hijab qui recouvre non seulement les cheveux, mais aussi le cou et les oreilles. Pour moi, c'est une doctrine que je dénonce et j'ai le droit de considérer qu'une femme qui porte le hijab, c'est une régression ». Ceci sans prêter aucun égard à la liberté de choix des femmes.
« Quand on me traite d'islamophobe, on peut aussi armer les assassins », a-t-il fini par exprimer, en référence à l'attentat qui a visé Charlie Hebdo en 2015. Des propos « scandaleux » pour Rokhaya Diallo et Gilles Verdez. Et pour cause, l'accusation lancée par Bernard de la Villardière est lourde puisqu'elle vise à faire taire violemment ses détracteurs face à des critiques qui lui sont adressées.
Invité de l’émission lundi 26 février, il s’est pris les foudres de plusieurs chroniqueurs, en particulier de Gilles Verdez et de Rokhaya Diallo, qui ont fait valoir qu’il stigmatise les musulmans « en permanence ».
Pour Bernard de la Villardière, « c’est une accusation gratuite », déclarant au passage avoir « plein d’amis musulmans » et qu’il pense être « un des journalistes (français) qui a été le plus au chevet des musulmans dans les camps (…) en Syrie, en Irak » ou encore en Birmanie pour les Rohingyas « car les premières victimes de l’islamisme, du terrorisme musulman, sont les musulmans eux-mêmes ». Ce qu’il entend par islamisme ? « Il y a, à l’intérieur de l’islam une doctrine néfaste qui est le salafisme, les Frères musulmans ou le wahhabisme », estime-t-il.
« Vous ne cessez de citer des musulmans qui sont étrangers. Nous, on vous parle des musulmans de France qui ont un gros problème avec la manière dont vous les dépeignez. Je veux être très honnête avec vous, et je suis désolée pour votre maman, mais je n'aime pas du tout ce que vous faites. Je trouve que vous abordez des sujets avec une fausse neutralité qui pour moi masque une idéologie que vous déversez dans des pseudos-reportages qui à mon avis sont des tribunes », fait part Rokhaya Diallo.
Mais rien n’y fait, le journaliste n’a pas cessé de faire des parallèles avec des situations étrangères aux musulmans de France. Quant au voile, « ce n'est pas un foulard comme les autres. C'est un hijab qui recouvre non seulement les cheveux, mais aussi le cou et les oreilles. Pour moi, c'est une doctrine que je dénonce et j'ai le droit de considérer qu'une femme qui porte le hijab, c'est une régression ». Ceci sans prêter aucun égard à la liberté de choix des femmes.
« Quand on me traite d'islamophobe, on peut aussi armer les assassins », a-t-il fini par exprimer, en référence à l'attentat qui a visé Charlie Hebdo en 2015. Des propos « scandaleux » pour Rokhaya Diallo et Gilles Verdez. Et pour cause, l'accusation lancée par Bernard de la Villardière est lourde puisqu'elle vise à faire taire violemment ses détracteurs face à des critiques qui lui sont adressées.