Monsieur le président, il y a trois ans, j’avoue
J’avais le cœur joyeux quand j’ai voté pour vous.
La finance ennemie et vous aimiez les gens.
Je croyais en demain avec « vous, président »
Monsieur le président, je ne suis pas sectaire
Et oui, quelques réformes, il fallait bien les faire
Gouverner au présent, c’est faire des concessions
Je pouvais accepter tous ces chèques aux patrons
Pour peu qu’ils jouent le jeu, mais où sont les emplois ?
Social libéralisme, non moi je n’aime pas
Mais c’est sur les principes, ce sont sur nos valeurs
Que je me sens trahi et que j’ai mal au cœur.
Vos postures martiales, vraiment je n’aime pas
Car la loi du talion amène chaque fois
Des borgnes édentés, des électeurs déçus
Monsieur le président, vraiment je suis déchu.
J’avais le cœur joyeux quand j’ai voté pour vous.
La finance ennemie et vous aimiez les gens.
Je croyais en demain avec « vous, président »
Monsieur le président, je ne suis pas sectaire
Et oui, quelques réformes, il fallait bien les faire
Gouverner au présent, c’est faire des concessions
Je pouvais accepter tous ces chèques aux patrons
Pour peu qu’ils jouent le jeu, mais où sont les emplois ?
Social libéralisme, non moi je n’aime pas
Mais c’est sur les principes, ce sont sur nos valeurs
Que je me sens trahi et que j’ai mal au cœur.
Vos postures martiales, vraiment je n’aime pas
Car la loi du talion amène chaque fois
Des borgnes édentés, des électeurs déçus
Monsieur le président, vraiment je suis déchu.