Salam


Grand merci à Amara Bamba, mais on veut plus de détails.
Je ne crois pas qu'Amara Bamba aurait pu faire plus !

Mais c'est encore une information qui laisse les lecteurs dans le flou

total.
On a l'impression d'écouter le téléjournal d'El Jamahiriyyah
ou de n'importe quelle radio des pays arabes !

Ce qu'il faut dire de prime abord c'est que c'est l'internationale de

FRERES MUSULMANS ou du moins sa composante européenne qui s'est réunie

renforcée par quelques non européens.
Bien sur le poisson a été noyé par la présence de quelques observateurs

indépendants mais qui ne changent pas grand chose au cours des choses.
Par ailleurs on ne nous dit pas si Issam El Attar leader musulman en

Allemagne (branche dissidente des frères musulmans en europe nommée Et

Talai' ) était présent lors de ce rassemblement !

Ajoutez à cela que la réalité actuelle de ce mouvement et surtout en

europe fait qu'on ne peut pas espérer de grands changement ni même

prendre de grande décisions.

En effet, mettre un Tariq Ramadan avec un Fouad Alaoui et Lhaj Thami

Breze autour de la même table... Je ne sais pas ce qui peut en sortir de

leurs débats (si débat il y a). Ils sont tellement différents!
Tarik Ramadan a été mis à la porte de l'UOIF depuis belle lurette.

Voila ce que dit F. Alaoui de T. Ramadan :

"Nous avons un estime à notre frère Tareq, mais ma déontologie m'empêche

de dire du mal d'une personne ou d'un groupe de personnes"
CF: http://www.saphirnews.com/CFCM-le-bilan-de-l-UOIF_a1711.html
Quel mal a t il a dire de Tarik Ramadan? et que sa déontologie l'empèche

de le dire? ce sont la des insinuations malsaines.

De même Cheikh Zakariyya (que personne ne remet en question ses

compétences) quel rôle est il entrain de jouer dans les instances de

l'UOIF? Pourquoi Z. Mahmood (un des fondateur de l'UOIF) actuel gérant

de l'Institut européen de sciences humaines de Bouteloin.. pourquoi a t

il chassé cheikh Zakariyya alors qu'il était un des piliers de

l'institut? lequel s'est transformé depuis le départ du cheikh en ce

qu'on appelle communément un "KOUTTAB" Ce qui d'aillers a conduit cheikh

zakariyya à faire bande à part et créer l'IMED.

Que reste t il de la filiation de l'UOIF au mouvement des frères

musulmans?
Eux même (à l'UOIF) ils nient officiellement toute relation avec les

frères musulmans
Qui veulent ils tromper?
Quel secret de polichinelle veulent ils cacher?
et ils jouent double jeux :
car dans la réalité les actuels responsables ont tout à perdre de couper

définitivement les ponts avec l'organisation mère...
celle ci leur sert en effet de vache à lait quand il s'agit de de

collecter des fonds et d'idéologie de vitrine quand il s'agit de

recruter du man-power.


Le mélange des personnalités réunies et tellement hétérogène que l'on

peut dire que ce ressemblement sera le Un plus Nième rassemblement

stérile auquels nous sommes habitués depuis longtemps

Les personnes réunies ont quand même un point en commun :
La plupart d'entr'eux (les européens surtout) sont issus de la première

génération et ont échoué à établir des ponts avec la nouvelle génération

à 100% européenne laquelle nous surprendra un jour ou l'autre par une

nouvelle organisation de l'islam d'europe en balayant la médiocrité de

ses prédécesseurs.


On nous dit enfin que :
Dans le texte final publié à l'issu de la rencontre, la conférence

affirme son opposition à toute violence et à tout acte de terrorisme au

nom de l'islam.
Je ne pense pas que de pareilles declarations changera l'idée que se

fait le commun des mortels européen des musulmans et de l'islam
Bien au contraire : Qui s'excuse s'accuse ...

Alors qu'ont ils vraiment décidé de concret lors de ce rassemblement?
Que peut on attendre comme changement par rapport à la situation

actuelle de division entre les chefs musulmans d'europe?

That is the question!

Salam

Bla bla bla et enfin un hypocrite nous donne une léçon sur l'hypocrisie

Il faut dénoncer :


Les menteurs, les mensongers, les faux, les trompeurs,
les tricheurs, les fourbes, les perfides, les félons,
les déloyaux, les imposteurs, les mythomanes,
les hypocrites, les escrocs, les falsificateurs,
les voleurs, les aigrefins, les hâbleurs, les vantards,
les fallacieux, les insidieux, les captieux,
les scélérats, les spécieux, les traitres, les sournois,
les malhonnêtes, les mauvais, les dupeurs,
les double jeu les double langage,
les infects, les horribles, les castrateurs,
les despotes, les castrateurs, les gourous,
les manipulateurs, les intéressés, les ruseurs,
les mauvais joueurs, les tyrans, les tourneurs de veste,
les dictateurs, les oppresseurs…

Pourquoi ?

Pour épargner leur mal à la communauté,
et éviter aux innocents de tomber dans leur pièges.

Si tu défends ces catégories de gens, c’est que de -deux choses l’une- :

soit tu les connais mal, auquel cas tu devrais montrer un peu plus de modestie,
et apporter tes arguments,

soit tu fais partie de ces gens là ou tu es leur complice.



A manuel Abdallah :
Ki ta di kon fé rien ?
Et kon apporte r1 a la comunoté ?
Ti parle di ce ki ti coni pas
Ti di k’ils veul changer li choz
Poukoi ti veux kon les laisse faire ?

NON i fo pas les laisser faire
Ils font n’importe koi
Ils font plus di mal kotchose.
Si on est les derniers ojourdui
C’est kon laisse faire les gens de la liste d’en haut,
Kon ne les combat pas
Traverse la mer mediterané et tu verras

TA KOMBRI ?

Salam

Pour ceux que cela interesse
voici le site de la conférence :

]url:http://www.muslimsofeurope.com/fr/index.php[

bonne lecture

Le Vatican affronte l'Islam

par Daniel Pipes
Jerusalem Post
5 juillet 2006
http://fr.danielpipes.org/article/3732

Version originale anglaise: The Vatican Confronts Islam
Adaptation française: Alain Jean-Mairet

«Si tendre l'autre joue signifie renoncer à être soi-même, il y a un danger! L'autodéfense est un devoir.» Ces paroles sont celles de Mgr Velasio De Paolis, secrétaire du Tribunal suprême de la signature apostolique, au Vatican, et font référence aux Musulmans. Pour expliquer ce rejet apparent de l'exhortation de Jésus à ses fidèles de «tendre l'autre joue», De Paolis souligna que «cela fait plus d'un demi-siècle que l'Occident a des relations avec les pays arabes, (…) et il n'a jamais été capable d'obtenir la moindre concession sur les droits humains».

De Paolis n'est pas seul à penser de la sorte. En effet, l'Église catholique effectue actuellement à cet égard un revirement spectaculaire, après plusieurs décennies de politique de protection des Catholiques vivant sous le règne musulman. Les anciennes méthodes empreintes de diplomatie feutrée et d'apaisement ont clairement échoué. Patrick Sookhdeo, du Barnabas Fund, observe que les quelque 40 millions de Chrétiens vivant dans le Dar al-Islam constituent de plus en plus une minorité en difficulté, confrontée au déclin économique, à la perte de ses droits et à des dangers physiques. La plupart d'entre eux, poursuit-il, sont des citoyens de deuxième classe, méprisés et dédaignés, subissant des discriminations dans l'éducation, au travail et devant les tribunaux.

Devant cette situation critique, les Chrétiens fuient leurs terres ancestrales pour l'Occident, qui leur offre une meilleure hospitalité. En conséquence, les populations chrétiennes du monde musulman sont en chute libre. Deux exemples, modestes par la taille mais très évocateurs: pour la première fois depuis près de deux millénaires, Nazareth et Bethlehem n'ont plus de populations majoritairement chrétiennes.

Cette oppression et ce déclin bien réels contrastent fortement avec l'essor de la minorité musulmane en Occident. Bien que constituée pour l'essentiel de moins de 20 millions d'immigrés et de leurs descendants, cette minorité est de mieux en mieux établie et représentée, bénéficie de nombreux droits et protections et acquiert régulièrement de nouvelles prérogatives légales, culturelles et politiques.

Cette disparité croissante éveilla l'attention de l'Église, qui désigne pour la première fois l'Islam radical, plutôt que le comportement d'Israël, comme le principal problème des Chrétiens vivant avec des Musulmans.

De premiers présages en furent déjà perceptibles du temps de Jean-Paul II. Par exemple, le cardinal Jean-Louis Tauran, l'équivalent du ministre des affaires étrangères du Vatican, relevait à la fin 2003 que «trop de pays à majorité musulmane traitent leurs minorités chrétiennes comme des citoyens de seconde classe». Tauran demandait plus de réciprocité: «Les Musulmans peuvent bâtir leurs lieux de prière n'importe où dans le monde et les fidèles des autres religions devraient également en avoir la possibilité.»

Les exigences de réciprocité catholiques sont devenues plus pressantes notamment depuis l'intronisation, en avril 2005, du pape Benoît XVI, pour qui l'Islam est une question centrale. En février, le pape souligna la nécessité de respecter «les convictions et les pratiques religieuses d'autrui afin que, dans un esprit de réciprocité, le libre exercice d'une religion soit réellement assuré à tous». En mai, il insista à nouveau sur la nécessité de la réciprocité: les Chrétiens doivent aimer les immigrants et les Musulmans doivent traiter correctement les Chrétiens parmi eux.

Comme de juste, les ecclésiastiques de moindre rang sont plus explicites. «La radicalisation de l'Islam est la cause essentielle de l'exode chrétien», affirme Mgr Philippe Brizard, directeur général de l'Œuvre d'Orient, une institution française soutenant les Chrétiens orientaux. L'évêque Rino Fisichella, recteur de l'université pontificale du Latran, à Rome, recommande à l'Église de rompre son «silence diplomatique» et de «faire pression sur les organisations internationales pour mettre les sociétés et les États à majorité musulmane face à leurs responsabilités».

La crise des caricatures danoises offrit un exemple typique du désenchantement catholique. Les dirigeants ecclésiastiques critiquèrent la publication des dessins de Mahomet. Mais lorsque les Musulmans réagirent en assassinant des prêtres catholiques en Turquie et au Nigéria, sans parler des nombreux Chrétiens tués pendant les cinq jours d'émeute dans ce dernier pays, l'Église émit des avertissements. «Si nous disons à nos gens qu'ils n'ont pas le droit d'offenser, nous devons dire aux autres qu'ils n'ont pas le droit de nous détruire», déclara ainsi le cardinal Angelo Sodano, le secrétaire d'État du Vatican. «Nous devons rester fermes sur notre exigence de réciprocité dans les contacts politiques avec les autorités des pays islamiques, et davantage encore dans les contacts culturels», ajouta l'archevêque Giovanni Lajolo, son ministre des affaires étrangères.

L'obtention, pour les Chrétiens vivant en Islam, des mêmes droits que ceux dont jouissent les Musulmans installés dans la Chrétienté est devenue l'axe central de la diplomatie du Vatican envers les Musulmans. Cette nouvelle approche, sérieuse et équilibrée, reflète une compréhension sensiblement meilleure qui pourrait étendre son influence bien au-delà de l'Église, compte tenu du nombre de politiciens laïques qui s'alignent sur ses recommandations en matière de relations interreligieuses. Si les États occidentaux promouvaient à leur tour le principe de réciprocité, les résultats seraient sans doute intéressants.

Pour vous inscrire ou pour annuler votre inscription à cette liste, veuillez vous rendre sur http://fr.danielpipes.org/subscribe.php
(Daniel Pipes diffuse ainsi des extraits de ses écrits en moyenne une fois par semaine.)

il n'y a presque plus de chrétiens dans les pays musulmans

À Bethléem les chrétiens sont devenus minoritaires.

Ils partent pour ne pas voir leurs filles être OBLIGÉES d'épouser des musulmans

Les Coptes sont discriminés en Egypte

En Algérie ça commence, en Turquie également

En Arabie Séoudite il est interdit de pratiquer une autre religion. Il n'y a ni d'églises ni de temples.

Quant aux synagogues il vaut mieux ne pas en parler.

Nous demandons SIMPLEMENT avoir - dans les pays arabo-musulmans - les mêmes droits que

nous donnons aux musulmans chez nous.

Ni plus ni moins

Et je n'entrerai pas dans la polémique des Écritures Saintes falsifiées.