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Anti-guerre : la mobilisation se poursuit au nom de la solidarité palestino-libanaise
salam,
Etant présente, je peux témoigner de la forte mobilisation, de la solidarité, de la fraternité qui a réussi à bloquer l a circulation avec des grandes banderoles et des personnes portant drapeaux palestiniens et libanais, criant : " Etat d'israël, état criminel"- en espérant encore plus de mobilisation pour ce samedi! l'union fait la force. Plus nombreux, nombreuses...!!!! mouss
salam,
c bizarre mai comme par hasard le mouvement pro israélien sos racisme n est pas présent dans cette maifestation pour les peuples libané et palestinien qui se font massacré par l etat terroriste israélien!!!! sos racisme est un mouvement sioniste et qui ne sert a rien a par tester les boites de nuit!! sos racisme devré prendre exemple sur mouloud aounit et le mrap qui ne cesse de défendre les vrais discrimination et les peuples qui souffrent!! vive la palstine,le liban et les forces de résistance du hamas et du hesbollah!! palestine vivra - Liban vaincra
salam,
AFP, Reuters . Publié le 21 juillet 2006Actualisé le 21 juillet 2006 : (AP) ISRAËL commence à douter de l'efficacité de son offensive au Liban. Les stratèges de Tsahal ont manifestement sous-estimé les capacités militaires du Hezbollah. Au neuvième jour des combats, l'armée israélienne n'est parvenue ni à neutraliser les tirs de roquettes sur son sol, ni à décapiter la direction de la formation chiite libanaise, pas plus qu'à repousser ses combattants loin de la frontière. A londres, demain , des milliers de personnes vont manifesté contre l'invasion israélienne en Palestine et au Liban. Soyons plus nombreux à Paris! prévoir drapeaux, banderoles ! où sont les Musulmans, les dirigeants d' associations , les intelleos qui brillent zar leur absence....! Pour les esprits endormits
Merci pour les initiateurs de cette manifestation nous souhaitons qu'il y soit encore beaucoup plus de monde samedi. Effectivement la résistance pour le droit à l'existence est un devoir de chacun.
On constate aujourd'hui que faire le bien est devenu un mal et faire le mal est un bien, ce que je me demande à nous occidentaux c’est : ou sont les esprits des siècles des lumières ou est la raison humaine, ou est le sentiment de justice dont nos belles constitutions et les murs de nos institutions sont gravés. Pour rappel, il ne faut pas oublier que notre résistance française était qualifié de terroriste durant la seconde guerre mondiale par les nazis. Mr Chirac avec tout le respect que je vous doit, comment pouvez vous dire à un peuple sans armée, agressé, emprisonné, torturé violé de rendre le peux d’armes en sa possession, ci cela ne relève pas de l'inconscience alors ceci est un appuis et un soutient au crimes commis par les israéliens. Comment deux militaires qui ont violés la frontière libanaise donc en tord peuvent être prix pour des innocents par la presse française mais dans quel monde on vit, es ce la vie de deux personnes vaut plus que la vie de toute un peuple, haaah oui c'est vrai c'est le peuple élu. Palestine vivra - Liban vaincra
salam,
AFP, Reuters . Publié le 21 juillet 2006Actualisé le 21 juillet 2006 (AP) ISRAËL commence à douter de l'efficacité de son offensive au Liban. Les stratèges de Tsahal ont manifestement sous-estimé les capacités militaires du Hezbollah. Au neuvième jour des combats, l'armée israélienne n'est parvenue ni à neutraliser les tirs de roquettes sur son sol, ni à décapiter la direction de la formation chiite libanaise, pas plus qu'à repousser ses combattants loin de la frontière Plusieurs milliers de personnes vont manifesté demain à Londres contre l'invasion israélienne en Palestine et au Liban. Soyons plus nombreux à Paris avec drapeaux, banderoles . mais où sont les Musulmans : les responsables d'associations, de mosquées et surtout nos chers intellos qui brillent par leur absence... si prompts à tenir conférence ! mowglii
reveillez vous les mecs voici ce que pensent la plupart des gens en france, c'est à dire que personne n'aimerait se trouver à la place d'israel qui doit faire face à plusieurs pays dont l' iran, dont les regimes veulent sa destruction et qui ne fait malheureusement que se defendre, bien qu'elle le fasse ferocement ;
comment reagirait la france si Mme merkel avait été elue sur un programme d'atomisation de la france ?.... in le figaro : "Seule bonne nouvelle dans le drame que subit le Liban, après Gaza : l’Occident ose enfin nommer les agresseurs. Ils s’appellent Hezbollah et Hamas, et ces organisations nazislamistes ont mis Israël en état de légitime défense. Même le G 8 a admis que les « forces extrémistes » étaient à l’origine des violences. Néanmoins, les dirigeants des grandes puissances n’ont pas osé démasquer l’Iran et la Syrie. Piètre délicatesse. Jusqu’alors, l’Occident bonhomme jugeait que le djihad lancé contre lui s’expliquait par les injustices nées de sa propre hégémonie et singulièrement de l’alliance américano-sioniste. C’est avec cette contrition que le 11 septembre 2001 fut compris par ceux qui refusèrent de voir dans ces attentats l’acte I de la troisième guerre mondiale, soutenue par des mollahs illuminés. Aussi est-il heureux que l’Europe pacifiste ouvre les yeux et cesse ses sous-entendus sur la responsabilité centrale de l’État hébreu dans le désordre mondial. L’obsession antijuive et anticroisés des fanatiques enturbannés n’autorise plus les excuses de leurs victimes. À l’instar d’Hitler, il faut prendre à la lettre l’Iranien Ahmadinejad, puisant dans le Coran pour appeler à « éliminer » Israël. Si l’on admet que les ripostes occidentales, en Afghanistan puis en Irak, furent les actes II et III de cette tragédie, c’est l’acte IV qui vient d’être ouvert, sur le dos d’un Liban traumatisé et impuissant, par les ayatollahs poursuivant leur course à l’enrichissement de l’uranium. Faut-il faire un dessin de ce que risquerait d’être le Ve acte ? Une attaque nucléaire sur Tel-Aviv. L’apocalypse. C’est dans ce contexte qu’il faut juger Tsahal, a priori blâmable de s’en prendre avec une telle virulence au pays du Cèdre, tout en épargnant les vrais soutiens du Hezbollah que sont la Syrie et l’Iran. L’objectif israélien vise à briser et à désarmer un mouvement terroriste ayant pris le Liban en otage et sa population comme bouclier humain. Cette stratégie de libération est légitime. Aussi, l’accusation de Jacques Chirac, lors de son intervention du 14 juillet, est-elle injuste. « On peut se demander, a-t-il dit, s’il n’y a pas une volonté de détruire le Liban, ses routes, sa communication, son énergie, son aérodrome, et pourquoi ? » La France ferait mieux de s’alarmer de la montée en puissance de la barbarie islamiste et de sa volonté d’en découdre avec l’Occident. Affronter le totalitarisme Une chose est de nommer les agresseurs. Une autre est de ne pas se tromper d’adversaire. Israël n’est pas en guerre contre le Liban, comme a semblé le dire la France et comme l’assure le premier ministre libanais, Fouad Siniora, qui a reçu, lundi, Dominique de Villepin à Beyrouth. Ce sont la Syrie et l’Iran qui ont déclaré l’assaut et qui se jouent d’un Liban sans armes. Qu’attend la France pour dire cette autre évidence ? Paris a eu raison d’apporter son soutien aux Libanais qui souffrent et meurent des coups portés au Hezbollah et à son arsenal disséminé. Israël prend d’ailleurs le risque, à poursuivre trop longtemps ses frappes ciblées et à pousser à l’exode des populations, de se couper d’une opinion internationale plutôt compréhensive. Cependant, personne ne s’émeut des civils israéliens de Haïfa, Tibériade, Safed, etc., touchés par les roquettes et missiles made in Iran. L’heure est trop grave pour renouer avec les ambiguïtés, révélées en 2003 par l’opposition de la France à la destitution de Saddam Hussein. L’actuel chaos irakien, entretenu par ces mêmes sectes mortifères, donne certes raison à la sagesse prônée alors par Jacques Chirac. Mais l’image qu’il donna, d’un pays systématiquement antiaméricain et proarabe, a pu faire douter de la volonté d’affronter le totalitarisme coranique. C’est pour éviter l’ultime acteV - la guerre généralisée - que l’Occident, soutenu par les pays musulmans modérés, se doit de resserrer les rangs pour ramener à la raison les maîtres chanteurs iraniens et syriens. Et donner tort, ainsi, à ceux qui estiment déjà inévitable la destruction par la force des sites nucléaires iraniens (lire L’Iran dans la 3e guerre mondiale, de Laurent Artur du Plessis, Jean-Cyrille Godefroy). Conséquences électorales ? La pression internationale brouillera-t-elle l’ordonnancement de la campagne présidentielle ? Le souffle de la guerre dévoile la légèreté de Ségolène Royal, qui n’a pas même osé, samedi en Corse, se prononcer sur la violence insulaire. Sa prudence, proche du désarroi, rehausse les statures d’hommes d’état de Lionel Jospin, qui sut qualifier le Hezbollah de terroriste, ou de Laurent Fabius, par exemple. Une tension persistante pourrait être, surtout, une aubaine pour Jacques Chirac ou Dominique de Villepin, qui ne furent jamais tant populaires que lorsqu’ils prirent la tête du camp de la paix lors de la crise irakienne. En déclarant, le 14 juillet : « Il faut faire très attention, toutes les initiatives comptent, tous les mots comptent (...) on est au bord du gouffre », le chef de l’État ne s’est-il suggéré en homme bouclier ? Les positions courageuses de Nicolas Sarkozy, ami déclaré d’Israël et des États-Unis - ami critique, précise-t-il dans Témoignage (XO Éditions) - ne sont en revanche pas de celles qui, en 2003, auraient rassuré le sentiment munichois répandu dans les médias et l’opinion. Ce défaitisme a-t-il disparu ? Rien n’est moins sûr. mowglii
.......... et ce qui se dit dans LE MONDE :
Jusqu'à présent, chacun des conflits du Moyen-Orient avait ses causes particulières et sa logique propre. Aujourd'hui, on assiste à une articulation de tous ces conflits, où l'élément-clé est l'émergence de l'Iran comme grande puissance régionale à potentialité nucléaire. Ce glissement entraîne des réajustements, voire des renversements d'alliances, fort complexes. La crise entre le Hamas et Israël reste en fait bilatérale. Le Hamas subit une mutation difficile pour passer d'une logique militaire à une logique politique : se mêlent le pas en avant (envisager une reconnaissance d'Israël) et la provocation militaire (enlèvement d'un soldat), sans que l'on sache trop ce qui relève des luttes internes, d'un mauvais calcul politique ou d'incohérence. La réponse israélienne reste dans la logique de l'Etat hébreu envers toute autorité palestinienne : ne lui laisser le choix qu'entre la totale coopération avec Israël ou la disparition, toujours au profit de plus radicaux. L'attaque du Hezbollah contre Israël, elle, est un tournant. Ici, il ne peut y avoir d'erreur de calcul : vu la réaction israélienne contre la bande de Gaza, le Hezbollah et ses deux parrains (l'Iran et la Syrie) savaient parfaitement que l'attaque serait suivie d'une nouvelle guerre du Liban. C'est donc ce qu'ils souhaitaient. Le calcul de la Syrie est simple. Damas n'a jamais accepté son expulsion du Liban et cherche à y revenir. Dans le fond, un retour aux années 1980 arrange Damas : un gouvernement central libanais affaibli, un Hezbollah en première ligne contre Israël, et Damas redevient seul arbitre possible dans le pays du Cèdre. Il y a un risque : que les Israéliens décident une fois pour toutes de s'attaquer à la Syrie, qui est la véritable base arrière du Hezbollah. Reste qu'un renversement du régime de Bachar Al-Assad risque d'amener les Frères musulmans syriens au pouvoir. Or, même si ceux-ci sont aujourd'hui plus proches de l'islam politique turc au pouvoir à Ankara (le Parti de la justice et du développement-AKP) que du Hamas palestinien, les Israéliens ne veulent pas courir le risque de se retrouver entourés de régimes islamistes. Paradoxalement, c'est donc sa propre faiblesse qui est le meilleur rempart de la Syrie. Se sentant ainsi sanctuarisé, le régime de Damas peut continuer à entretenir la guerre au Liban, seule condition de son retour possible dans ce pays. La clé de la situation actuelle est en Iran. Il est le seul acteur à avoir une stratégie cohérente où les considérations de court terme s'articulent sur une stratégie de long terme. Sur le court terme, il s'agit d'empêcher toute frappe aérienne contre ses installations nucléaires. Sur le long terme, l'Iran veut devenir la grande puissance régionale. Dans le premier cas, les adversaires sont avant tout les Américains et éventuellement les Européens ; dans le deuxième cas, ce sont ses voisins arabes. La dénonciation d'Israël est ici un moyen plus qu'une fin : elle permet de court-circuiter et d'embarrasser les régimes arabes tout en "externalisant" la crise dans les pays du Proche-Orient. Lorsque, en 2004, les Européens se sont placés en première ligne pour bloquer le programme nucléaire iranien, ils n'ont agi que dans une perspective étroitement bilatérale : la communauté internationale contre l'Iran. Ils ont mis au point un programme graduel de sanctions et d'incitations pour contraindre les Iraniens à céder, mais sans tenir compte de la situation régionale. Or la réponse iranienne fut à la fois d'internationaliser et d'accélérer la crise. Très habilement, l'Iran a mis en avant les conflits "secondaires" (Israël-Palestine ; Israël-Hezbollah) pour éviter tout choc frontal. Le régime iranien a donc délibérément choisi l'escalade, notamment avec les déclarations anti-israéliennes d'Ahmadinejad à l'automne 2005. Il a aussi choisi lui-même le terrain d'affrontement en profitant des tensions entre Israël et le Hamas, tout en gardant un profil beaucoup plus bas sur ses frontières proches (Irak, Afghanistan), où de toute façon le temps joue pour lui. Personne à Téhéran ne pense sérieusement que l'Etat d'Israël soit menacé par une attaque en tenaille du Hamas et du Hezbollah. L'idée est plutôt de délibérément faire monter les enchères pour faire sentir aux Occidentaux ce qu'une extension de la crise à l'Iran pourrait leur coûter (crise de l'énergie, enlisement en Irak et en Afghanistan), sans se trouver eux-mêmes en première ligne. C'est une façon de sanctuariser le pays. Téhéran rejoue donc le "front du refus" : celui des pays et mouvements arabes opposés à toute reconnaissance d'Israël, de la Syrie au Hezbollah en passant par la "rue arabe". Le discours officiel est donc panislamiste et joue sur la corde de l'anti-impérialisme, du nationalisme arabe et de l'antisionisme. Mais, derrière cette habile manipulation de conflits extérieurs, Téhéran a évidemment une stratégie de long terme : devenir la grande puissance régionale au détriment de ses voisins arabes. La carte que l'Iran joue ici, outre bien sûr celle de sa capacité nucléaire, est l'arc chiite, de l'Irak au Hezbollah, en passant par le régime syrien. La montée en puissance du chiisme se fait à l'encontre de l'alliance des deux forces qui avaient soutenu l'Irak de Saddam Hussein dans sa guerre contre l'Iran (1980-1988) : l'islamisme sunnite et le nationalisme arabe. Dans le fond, la génération des anciens combattants iraniens, dont Ahmadinejad est représentatif, refait la guerre qu'elle a perdue. De plus, cette alliance de fait entre islam sunnite et nationalisme arabe constitue le coeur de l'opposition des Irakiens sunnites à la montée en puissance des chiites. De fait, aujourd'hui, en Irak, les ennemis des sunnites apparaissent de moins en moins être les Américains et de plus en plus les chiites, comme le montre l'évolution des pertes et des attaques dans le pays. Les régimes sunnites arabes (Jordanie, Arabie saoudite, pays du Golfe) voient désormais dans cet arc chiite la plus importante des menaces et n'hésitent plus à se désolidariser ouvertement de la nouvelle aventure contre Israël. Dans ce contexte, le Hamas va vite se trouver au coeur de la contradiction : soit en rajouter dans l'escalade militaire et n'être plus alors qu'une courroie de transmission d'intérêts étrangers chiites, soit s'affirmer comme acteur politique nationaliste. Mais, dans ce dernier cas, encore faut-il qu'Israël accepte de négocier avec le Hamas, ce qui est peu probable. De même au Liban, il reste à savoir quelle logique va l'emporter chez les non-chiites : solidarité avec le Hezbollah ou au contraire opposition à une aventure qui n'a plus rien à voir avec les intérêts nationaux libanais. Partout les sunnites vont être amenés à faire des choix par rapport aux forces chiites qui mènent le jeu aujourd'hui. Encore faut-il que ces mouvements sunnites puissent justement entrer dans une logique politique de négociations. Ce qui suppose qu'Israël sélectionne soigneusement ses cibles au Liban et garde la porte ouverte avec la branche politique du Hamas. Mais il faut également que les régimes sunnites cessent leur rhétorique stérile qui les amène à soutenir en parole des mouvements dont ils souhaitent la défaite. Plus que jamais c'est la voie politique qui doit s'imposer : cette voie n'est pas forcément celle de la diplomatie, mais celle de l'ajustement de la force militaire à des fins politiques. Olivier Roy est directeur de recherche au CNRS. Arrêtez Arrêtez Arrêtez!!
Eh oh!! ARRETEZ VOS COPIER/COLLER... C'est ILLISIBLE. Donnez votre opinion et gardez vos lecture pour vous...
SaphirNews devrait supprimer ces posts qui polluent cet espace. MERCI Assalam j' accuse afin que la justice triomphe
J'ai raté cette manifestations avec un grands regrets!!!
Mais ou doit on aller pour connaitre les dates et les différentes mobilisations comme celle ci? C bien beau de critiquer ceux qui ne viennent pas mais ceux qui veulent venir et qui ne sont au courant de rien ou doivent ils être prévénu d'une éventuelle manifestations en faveur des opprimés!!! Boris-Isrhael agagné
Aucun doute
le Hezbollah a perdu Pierrot
Il est amusant d'entendre des gens qui vivent selon la loi absurde et inhumaine de la charia, et qui tentent de l'imposer aux autres, qualifier l'Etat d'Israel de "nazi"; il n'y a absolument aucun rapport. Bien qu'Israel semble incapable d'apporter seule une solution viable à ce conflit, il ne faut pas exagérer en comparant ce petit pays (certes impérialiste, mais ce comportement est dicté par les menaces alentour : Egypte, Syrie, Iran, Irak...dont les gouvernements ne sont ni raisonnables, ni tolérants) au régime nazi : les Israéliens auraient pu depuis longtemps exterminer les palestiniens mais ils ne l'ont pas fait; de plus quant au délire débile de certains sur l'Islam, je rappelle gentiment que 30% de la population israélienne est musulmanne...alors il faut arrêter de s'extasier devant le rôle de l'Islam sur ce conflit; l'Islam n'a rien à voir avec ça et ne résoudra pas les problèmes (citez moi un endroit dans le monde où la religion n'a pas crée plus de problème qu'elle n'en a résolut ? Surtout l'islam en ce moment). Les organisations comme le Hamas ou le Fatah souffrent des mêmes problèmes que l'état d'Israel : manque de modération, de dialogue, de compromis. Rappelons que les milices des organisations palestiniennes font elle aussi beaucoup de dégats...elles sont incapables de s'entendre entre elle, alors avec Israel!
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