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Caricatures du Prophète : la presse et les politiques français pour la liberté d'expression elbialy shaima
et bien voilà, nous y sommes, il n'en fallait pas plus aux islamophobes pour sortir de leur terrier crasseux!! mais que font le CFCM et l'UOIF??? je me demande à koi ils servent s'ils ne sont meme pas capables de défendre nos interets!! il est tps de saisir la justice et de porter cette grave affaire devant les tribunaux!! Nous avons des droits à faire valoir et les lois contre le racisme existe bel et bien!!!
pkoi parle-ton de liberté d'expression à chak fois ke l'islam est baffoué? Il s'agit de caricatures avilissantes qui font passer le Prophéte saws pour un homme violent et un terroriste!! tous ceux qui y voient de la liberté d'expression sont soit aveugles soit ils se réjouissent de ces amalgames!! Si le CFCM ne bouge pas ses miches, il va falloir engager nous memes tous les muslims une action concréte devant les tribunaux puiske c ckils veulent ces politciens démago-hypocrites!! j'en appelle à tous les musulmans à porter plainte et à se constituer partie civile afin que l'offense faite à l'islam soit reconnue et condamnée!! c'est de notre dignité dont il s'agit!!! Puisqu'ils le souhaitent, utilisons les mêmes armes que nos détracteurs et ne soyons pas maladroits car bcp d'entre nous n'ont rien trouvé de mieux que d'employer la violence!! Soyons plus dignes et prions ALlah pour que justice soit faite!! je vous invite à contacter d'urgence le CFCM au 01 45 58 05 73 afin de les obliger à enfin faire leur travail au lieu de rester bien assis dans leur bureau à faire de la démagogie!! Sara
salam Alaykoum, Shaîma
Du calme, de la vigilance! ne pas tomber dans le piège qui est tendu ! Pousser les Musulmans à la violence et les jeter à la vindicte populaire comme étant des barbares pour mettre en application tout l'arsenal des lois ant-terroristes votéees récemment de par le monde et plus précisemment en Europe! il y a anguille sous roche et panique des médias: toutes les tentatives de manipulation, de désinformation, d'intox sur le 11 septembre, l'Irak( les armes de destruction massive ?) la Palestine, La Tchétchénie, le voile, le rôle positif de la colonisation, ect... bref - sont en train de tomber. Le temps leur est compté. Comment faire si ce n'est nous en éloigner, nous enfermer dans une spirale loin des vrais questions à leur poser sur la La DEMOCRATIE OCCIDENTALE dont ils se targuent "! Il serait plus intéressant d'envoyer à tous les médias, hommes politiques cest 2 articles trés percutants sur la "Liberté d'expression SELECTIVE" : les médias occidentaux sont sévères à l’encontre de la judéophobie, notamment lorsqu’il s’agit de négationnisme ou même de révisionnisme, et à quel point ils sont laxistes à l’encontre de l’islamophobie. Le secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa, a jugé que la presse européenne « observe deux poids et deux mesures » car elle « craint d'être accusée d'antisémitisme, mais invoque la liberté d'expression lorsqu'elle caricature l'islam ». QUOI ? LES FRANCAIS AUSSI ? A la veille de la signature à Berlin de l'Armistice du 8 mai 1945, mettant fin à la Seconde Guerre Mondiale, avait eu lieu à Reims, ville française qui venait d'être libérée par les armées alliées, la signature du fameux « Act of Military Surrender » ou Acte de reddition sans conditions des armées allemandes. En voyant parmi les délégations des vainqueurs - Russes, Américains et Anglais – une délégation française, le représentant allemand, le Maréchal Keitel, ne put s'empêcher de s'exclamer: « Quoi ! Les français aussi ? Il ne manquait plus que çà ! » Cet épisode historique, nous ramène au sujet d'aujourd'hui, puisque, le quotidien France Soir vient de décider « lui aussi », d'ajouter son grain de sel – j'allais dire son grain de zèle typiquement franchouillard et opportuniste qui consiste à ne prendre que des trains en marche. Et c'est donc dans la foulée de la polémique d'ampleur internationale qui secoue actuellement le monde médiatique à propos des caricatures injurieuses à l'endroit du Prophète Mohammad (SLS) publiées par au Danemark et en Norvège que le quotidien France Soir a décidé en ce mercredi 1er février 2006, de republier les caricatures incriminées poussant l'outrecuidance jusqu'à « dénoncer l'intolérance » de la Conférence islamique et des ministres de l'Intérieurs arabes, entre autres institutions du monde musulman ayant fermement réagi à cette agression contre l'Islam. En prenant la lourde responsabilité de re-publier ces caricatures injurieuses au mépris de la vague de protestations et de condamnations exprimées aussi bien dans le monde musulman qu'en Occident même, France Soir vient de signer là une véritable forfaiture professionnelle et morale doublée d'un acte de défi, à l'endroit de plus d'un milliard de musulmans, dont plus de six millions vivent en France et sont Français pour plus de la moitié d'entre eux. Cette faillite morale venant s'ajouter à la faillite matérielle dans laquelle ce débat déjà ce misérable quotidien en plein naufrage et placé depuis plus de 5 mois comme chacun sait, en redressement judiciaire par le Tribunal de Paris. Rien d'étonnant donc à ce que ce vilain canard en mal de sensationnel, tente désespérément de racoler ses propres lecteurs qui l'ont déserté, fatigués et dégoûtés sans doute par tant de voyeurisme, d'immoralité et de perversion. Mais laissons plutôt la parole à son propre rédacteur en chef, M. Serge Faubert, au micro de Radio France. « On essaye d'aérer, on fait sur quatre pages et on aère les photos. » Jeudi matin à la rédaction de France Soir, dernières recommandations de Serge Faubert. « La rédaction planche sur le traitement de l'hospitalisation d'Ariel Sharon. On manque de tout. On a très peu de moyens, notre système informatique est obsolète, on fait encore des maquettes avec des règles et des crayons. Un quotidien fait avec des bouts de ficelles », déplore le rédacteur en chef dans une interview à Radio France, lundi 9 janvier 2006. Et dire que c'est ce même Monsieur pleurnichard qui, vient nous parler aujourd'hui de « principes » en écrivant dans son éditorial d'aujourd'hui : « Puisque ces docteurs auto proclamés de la foi, en font une question de principe, il faut être ferme. Clamons le autant qu'il le sera nécessaire, on a le droit de caricaturer Mahomet, Jésus, Boudha, Yahvé et toutes les déclinaisons du théisme. Cela s'appelle liberté d'expression dans un pays laïque. » Juste une parenthèse au passage: l'éditorialiste de France Soir se garde bien – par réflexe devenu presque inné – de citer le Prophète Moïse (SLS) de peur d'être pris pour un antijuif. Ce qui nous conduit à faire remarquer que dans sa quasi totalité, la presse occidentale est aujourd'hui absolument incapable d'exprimer la moindre dénonciation des exactions de l'armée sioniste en Palestine, sous peine d'être poursuivie pour crime de « Néga-sionisme ». Abdelkader Dehbi 1er février 2006 A propos des « Visages de Mahomet » Qui aurait pensé qu’on arriverait un jour à fédérer, d’une part, la conférence des ministres arabes de l’Intérieur, gestionnaires de l’industrie de la torture – de leur propre initiative ou sous mandat –, et, d’autre part, les masses des citoyens arabes victimes des régimes policiers ? Eh bien c’est fait ! Grâce au recueil des douze caricatures satiriques, « Les visages de Mahomet », paru le 30 septembre 2005 dans le quotidien danois Jyllands-Posten et reproduit depuis dans d’autres médias comme le journal norvégien Magazinet, le tabloïd français France Soir et les quotidiens Die Welt en Allemagne, La Stampa en Italie et El Periodico en Espagne. Alors qu’à l’issue de leur réunion du 31 janvier à Tunis, les Premiers policiers arabes ont demandé au gouvernement danois de « sanctionner fermement » les auteurs des caricatures jugées blasphématoires contre le prophète, les manifestations se multiplient dans les capitales arabes et musulmanes brûlant drapeaux danois et photos du Premier ministre Anders Fogh Rasmussen. La campagne de boycottage des produits danois s’élargit et se renforce dans le monde musulman. Elle est suivie scrupuleusement aussi bien par le religieux qui renonce à son lait Arla que par le profane qui abandonne sa bière Carlsberg. Nestlé, qui s’est trouvé mêlé à cette affaire, a dû publier un encart publicitaire en première page du quotidien Asharq al-Awsat, concernant le lait en poudre Nido, précisant que « ce n'est ni produit au Danemark, ni importé du Danemark. » Quel est donc ce pouvoir fédérateur qui a pu unir dans le monde musulman haut responsable et simple citoyen, shiite, salafi et Frère musulman, Turc, Persan et Arabe, Organisation intergouvernementale et ONG ? C’est que l’on a touché à la personne du prophète, qu’un musulman est censé chérir plus que sa propre personne. On a touché à ce symbole non pas parce que sa représentation est illicite – cette interdiction ne peut être applicable aux non musulmans – mais à cause du contenu des caricatures, qui ramasse en quelques croquis, comme celui du prophète coiffé d'un turban en forme de bombe, l’ensemble des clichés véhiculés à l’encontre de la religion islamique : terrorisme, misogynie, obscurantisme, fanatisme, etc., en Occident et notamment « dans un royaume [du Danemark] où la religion musulmane est qualifiée de ‘religion terroriste’ ou ‘religion du Moyen Age’ par certains hommes politiques au parlement », comme le soulignait La Libre Belgique du 31 janvier dernier. Les autorités danoises ont refusé d’entrer en matière dans cette affaire en évoquant la sacro-sainte liberté d’expression. Les millions d’Arabes et de musulmans, en déficit chronique de liberté, ne peuvent être insensibles à cet argument. Seulement ils constatent que ce principe, brandi à chaque fois que l’on publie des propos ou représentations qu’ils jugent blasphématoires envers leur religion, est occulté en d’autres occasions. Les Algériens, par exemple, se souviennent comment en 1995 au même moment où les plus hautes autorités de l’Etat français recevaient en grandes pompes Salman Rushdie, l’honorant pour ses « Versets sataniques », le ministre de l’Intérieur français de l’époque interdisait un recueil de témoignages de tortures pratiquées par le régime militaire algérien, sous prétexte qu’ « en raison de l’appel à la haine qu’il contient, sa diffusion est susceptible d’avoir des incidences sur l’ordre public. » Par ailleurs, les citoyens du monde musulman observent à quel point la loi et les médias occidentaux sont sévères à l’encontre de la judéophobie, notamment lorsqu’il s’agit de négationnisme ou même de révisionnisme, et à quel point ils sont laxistes à l’encontre de l’islamophobie. Le secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa, a jugé que la presse européenne « observe deux poids et deux mesures » car elle « craint d'être accusée d'antisémitisme, mais invoque la liberté d'expression lorsqu'elle caricature l'islam ». A une époque caractérisée par l’exacerbation des tensions entre communautés, où des millions de musulmans se sentent humiliés à la vue des images d’Abu Ghraib et de Guantanamo, une publication comme « Les visages de Mahomet » vient accroître la violence symbolique ressentie dans le monde musulman et risquerait de jeter des pans entiers des sociétés musulmanes dans la contre violence anti-occidentale. On se demande s’il est opportun de publier ce genre de produit dans le simple but de « tester l’autocensure et la limite de la liberté d’expression », comme l’ont avancé certains pour justifier la publication de Jyllands-Posten, au risque de susciter encore plus de haine et d’inciter à encore plus de violence dans un monde que d’aucuns, de tous bords, voudraient plonger dans l’Apocalypse. Il est peut-être temps de réfléchir sérieusement au principe de liberté d’expression, à son caractère absolu ou relatif, à son application universelle ou sélective, éventuellement à ses limites, et surtout de s’interroger sur le rôle et la responsabilité du journalisme dans promotion de la paix dans le monde. Article paru dans Le Temps du 3 février 2006 http://www.letemps.ch/template/opinions.asp?page=6&article=173359 et sur Oumma.com http://www.oumma.com/article.php3?id_article=1893 damess mouhammad
Assalamou alaykoum wa rahmatou allahi wa barakatouhou.
Wa lhamdou lilahi wa ssalatou wa ssalamou 'ala man la nabiyya ba'dahou. En toute humilité je dis au sujet de cette affaire de caricature analysons, réfléchissons et agissons en toute légalité et qu ' allah nous assiste. Assalamou ‘alaykoum wa rahmatou allahi wa barakatouhou . Wa lhamdou lilahi rabbi l’alamine. Damess. Z.D
Législation et Islam
Maintenant que le mal est fait, il faut tirer des conséquences pour empêcher la reproduction de telle indignation à l’égard de l’Islam. Il faut dire, que les représentants de l’Islam ont du boulot très sérieux à faire et c’est l’occasion ou jamais de laisser tomber les sujets tels que : le brossage des dents est-il licite ou bien illicite ? Les gouvernements musulmans doivent condamner sans précédent le Danemark, qui est à l’origine de cette insulte, que même, les ennemis du prophète (SAW), dans leur temps, n’ont pu oser, un seul instant, à faire pareil, pour le déstabiliser dans son projet. La nature de cette punition ou sanction doit être un message à tous ceux qui hésitent ou veulent tenter l’aventure dans un proche avenir. Leur montrer l’exemple de celui qui agresse toute une communauté. Ils doivent réfléchir pour interpeller la Commission de Bruxelles et l’ONU pour un texte législatif qui protège l’Islam contre dérive. C’est aussi, une occasion pour que ces dictateurs détracteurs sortent de leur mutisme ou bien de leur bulle : servir toujours les intérêts occidentaux au détriment de leur peuple, il y en a marre. Nous dire qu’on peut rien faire, y en a assez ! L’OCI doit interpeller le secrétaire général de l’ONU pour des textes enrichissants et répressifs, à la fois, contre toute manipulation, déclaration, insulte ou bien injure, de la même manière de ce qu’ils ont adopté, il y a quelques années, en matière de protection des animaux menacés de disparition. Car, aujourd’hui, tous les musulmans, responsables et fidèles n’ont guère le choix : ou bien ils ont la foi que l’Islam est une religion vraie et ils adorent leur créateur, contre toutes propagandes, ou bien ils démissionnent de leurs postes et ils laissent la place à ceux qui s’engagent. La ridiculisation de notre religion ne date d’hier, mais bien avant. Rappelez-vous les massacres de civils, de familles toujours avec une mise en demeure de l’Islam et de ses fidèles, partout sur la planète. On a même ridiculisé le droit de résistance des peuples contre l’ennemi ou occupant. On a même ridiculisé le père de la résistance palestinienne, Cheikh Ahmed Yacine et tant d’autres compatriotes. On a ridiculisé le peuple irakien est le calvaire qu’il subit chaque jour, l’Afghanistan, les musulmans en Thaïlande, en Australie, en Inde, en Chine, en Russie, en Italie, en Espagne, au Canada, à Guantanamo, aux Pays-bas, en Bosnie, au Kosovo. La femme musulmane et son voile. La femme enceinte et l’accouchement dans une clinique. Le mois sacré du Ramadan. La fête du sacrifice. La prière du Vendredi. Le Pèlerinage à la Mecque. etc. etc. Les menaces de l’Islam, la peur de l’Islam, les cassettes et DVD pour Al-Jazeera. Le mensonge du 11/09/01. Le tout, pour pouvoir prendre des décisions contre soit les musulmans soit leurs pays. Bizarre quand même ! Car à chaque fois, et toujours, ce sont les musulmans qui ramassent dans cette vieille Europe. De leur côté, les représentants de l’Islam en France et dans chaque pays européen ou occidental, doivent se poser des questions plus sérieuses : il faut légiférer de toute urgence pour que cesse ces types de profanations à caractère islamophobique. Aller aux tribunaux même en partie civile comme le fait d'autres. On ne va rester les bras croisés à compter les étoiles et dire : ça ne me regarde pas et je ne veux m'investir ! Il ne faut pas non plus s’attendre que François ou Jacques nous fassent la leçon de ce que c’est l’Islam, encore moins de la part de Georges ou de Vladimir. Ca suffit ! Aujourd’hui, toute la classe politique avait affirmé sa totale détermination de ne rien condamner, ni regretter, face à cette énième injure. Le droit de porter plainte est fondamental à toute association même les francs-maçons ont le droit de porter plainte ! Alors pourquoi pas les musulmans. La classe politique s’obstine au nom de la liberté de la presse. Mais, elle oublie que l’article 1 de la loi Gayssot : LOI n° 90-615 du 13 juillet 1990, JO-14/07/90, se positionne pour infirmer leur position et leur haine, associée au racisme : Art. 1er. - Toute discrimination fondée sur l'appartenance ou la non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion est interdite. L'Etat assure le respect de ce principe dans le cadre des lois en vigueur. Art. 2. - Le 21 mars de chaque année, date retenue par l'Organisation des Nations Unies pour la Journée internationale pour l'élimination de toutes les formes de discrimination raciale, la Commission nationale consultative des droits de l'homme remet au Gouvernement un rapport sur la lutte contre le racisme. Ce rapport est immédiatement rendu public. Le CFCM et l’UOIF n’ont guère le choix, ils doivent exiger de nouveaux textes législatifs pour protéger 6 millions de musulmans vivant en France, et après, tous les journaux seront libres de caricaturer ceux qu’ils veulent même le Roi d’Arabie, de Jordanie ou bien du Koweït. A la rigueur, on s’en fiche totalement ! Il faut marquer les esprits des acteurs politiques et ceux de la presse, que le prophète (SAW) n’est pas le père Noël, ni un célèbre chanteur encore moins un témoin de Jéhovah. Il faut que le mensonge cesse, le commerce change d’activité et de registre. Personne ne comprend comment est-ce que 6 millions d’adeptes de l’Islam en France n’arrivent jamais à exiger des textes législatifs qui les protègent et leur donne plus de respect dans l’exercice de leur foi, un peu comme c’est le cas, pour les 30 millions d’amis. Pire encore, comment est-ce que 1 milliards de fidèles sur la planète ne dispose d’aucun texte ni à Bruxelles, ni à l’ONU, qui puisse les protéger contre nature d’injure satanique ou bien de discrimination fondée sur l’appartenance à l’Islam ? Puisse Allah, nous enseigner nous apprendre davantage et nous aider à s’unir pour libérer Al-Aqsa, in chaâ’Allah ! Amiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiine. http://www.jura.uni-sb.de/france/Law-France/l90-615.htm Journal officiel de la République française 14 juillet 1990 page 8333 LOI n° 90-615 du 13 juillet 1990 Tendant à réprimer tout acte raciste, antisémite ou xénophobe. (Loi GAYSSOT) L'Assemblée nationale et le Sénat ont délibéré, L'Assemblée nationale devra adopter, Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit. Art. 1er. - Toute discrimination fondée sur l'appartenance ou la non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion est interdite. L'Etat assure le respect de ce principe dans le cadre des lois en vigueur. Art. 2. - Le 21 mars de chaque année, date retenue par l'Organisation des Nations Unies pour la Journée internationale pour l'élimination de toutes les formes de discrimination raciale, la Commission nationale consultative des droits de l'homme remet au Gouvernement un rapport sur la lutte contre le racisme. Ce rapport est immédiatement rendu public. TITRE Ier MODIFICATIONS DU CODE PENAL Art. 3. - Il est inséré, après l'article 51 du code pénal un article 51-1 ainsi rédigé. "Art. 51-1. - Dans le cas prévus par la loi, le tribunal pourra ordonner, aux frais du condamné, soit la publication intégrale ou partielle de sa décision, soit l'insertion d'un communiqué informant le public des motifs et du dispositif de celle-ci dans le Journal officiel de la République française ou dans un ou plusieurs journaux ou écrits périodiques qu'il désignera. "Le tribunal déterminera, le cas échéant, les extraits de la décision qui devront être publiés ; il fixera les termes du communiqué à insérer." Art. 4. - Il est inséré, après l'article 187-2 du code pénal, un article 187-3 ainsi rédigé. "Art. 187-3. -En cas de condamnation prononcée en application des articles 187-1 ou 187-2, le tribunal pourra ordonner : "1° La privation des droits mentionnés aux 2° et 3° de l'article 42, pour une durée de cinq ans au plus ; "2° L'affichage de sa décision dans les conditions prévues par l'article 51 "3° La publication de celle-ci ou l'insertion d'un communiqué dans les conditions prévues par l'article 51-1, sans que les frais de publication ou d'insertion puissent excéder la maximum de l'amende encourue." Art. 5. - Le dernier alinéa de l'article 416 du code pénal est abrogé. Art. 6. - Il est inséré, après l'article 416-1 du code pénal, un article 416-2 ainsi rédigé : "Art. 416-2. - En cas de condamnation prononcée en application des articles 416 et 416-1, le tribunal pourra ordonner : "1° La privation des droits mentionnés aux 2° et 3° de l'article 42, pour une durée de cinq ans au plus ; "2° L'affichage de sa décision dans les conditions prévues par l'article 51 ; "3° La publication de celle-ci ou l'insertion d'un communiqué dans les conditions prévues par l'article 51-1, sans que les frais de publication ou d'insertion puissent excéder le maximum de l'amende encourue. "Toutefois, en cas de condamnation en application des dispositions de l'article 416 relatives à l'état de santé ou au handicap, l'affichage ou la publication de la décision, ou l'insertion d'un communiqué, ne pourront comporter l'identité de la victime qu'avec son accord ou celui de son représentant légal." TITRE II MODIFICATIONS DE LA LOI DU 29 JUILLET 1881 SUR LA LIBERTE DE LA PRESSE Art. 7. - Il est inséré, après l'article 13 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, un article 13-1 ainsi rédigé : "Art. 13-1. - Le droit de réponse prévu par l'article 13 pourra être exercé par les associations remplissant les conditions prévues par l'article 48-1, lorsqu'une personne ou un groupe de personnes auront, dans un journal ou écrit périodique, fait l'objet d'imputations susceptibles de porter atteinte à leur honneur ou à leur réputation à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée. "Toutefois, quand la mise en cause concernera des personnes considérées individuellement, l'association ne pourra exercer le droit de réponse que si elle justifie avoir reçu leur accord. "Aucune association ne pourra requérir l'insertion d'une réponse en application du présent article des lors qu'aura été publiée une réponse à la demande d'une des associations remplissant les conditions prévues par l'article 48-1." Art. 8. - L'article 24 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse est complété par les dispositions suivantes : "En cas de condamnation pour l'un des faits prévus par l'alinéa précédent, le tribunal pourra en outre ordonner 1° Sauf lorsque la responsabilité de l'auteur de l'infraction est retenue sur le fondement de l'article 42 et du premier alinéa de l'article 43 de la présente loi ou des trois premiers alinéas de l'article 93-3 de la loi n° 82- 652 du 29 juillet 1982 sur la communication audiovisuelle, la privation des droits énumérés aux 2° et 3° de l'article 42 du code pénal pour une durée de cinq ans au plus ; "2° L'affichage de la décision dans les conditions prévues par l'article 51 du code pénal ; "3° La publication de sa décision ou l'insertion d'un communiqué dans les conditions prévues par l'article 51-1 du code pénal, sans que les frais de publication ou d'insertion puissent excéder le maximum de l'amende encourue." Art. 9. - Il est inséré, après l'article 24 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, un article 24 bis ainsi rédigé : "Art. 24 bis. - Seront punis des peines prévues par le sixième alinéa de l'article 24 ceux qui auront contesté, par un des moyens énoncés à l'article 23, l'existence d'un ou plusieurs crimes contre l'humanité tels qu'ils sont définis par l'article 6 du statut du tribunal militaire international annexé à l'accord de Londres du 8 août 1945 et qui ont été commis soit par les membres d'une organisation déclarée criminelle en application de l'article 9 dudit statut, soit par une personne reconnue coupable de tels crimes par une juridiction française ou internationale. "Le tribunal pourra en outre ordonner : "1° L'affichage de sa décision dans les conditions prévues par l'article 51 du code pénal ; "2° La publication de celle-ci ou l'insertion d'un communiqué dans les conditions prévues par l'article 51-1 du code pénal, sans que les frais de publication ou d'insertion puissent excéder le maximum de l'amende encourue." Art. 10. - L'article 32 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse est complété par les dispositions suivantes. "En cas de condamnation pour l'un des faits prévus par l'alinéa précédent, le tribunal pourra en outre ordonner. "1° L'affichage de sa décision dans les conditions prévues par l'article 51 du code pénal ; 2° La publication de celle-ci on l'insertion d'un communiqué dans les conditions prévues par l'article 51-1 du code pénal, sans que les frais de publication ou d'insertion puissent excéder le maximum de l'amende encourue." Art. 11. - L'article 33 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse est complété par les dispositions suivantes. "En cas de condamnation pour l'un des faits prévus par l'alinéa précédent, le tribunal pourra en outre ordonner : 1° L'affichage de sa décision dans les conditions prévues par l'article 51 du code pénal ; 2° La publication de celle-ci ou l'insertion d'un communiqué dans les conditions prévues par l'article 51-1 du code pénal, sans que les frais de publication ou d'insertion puissent excéder le maximum de l'amende encourue." Art. 12. - Dans le premier alinéa de l'article 48-1 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, après les mots " de combattre le racisme" sont insérés les mots : "ou d'assister les victimes de discrimination fondée sur leur origine nationale, ethnique, raciale ou religieuse". Art. 13. - Il est inséré, après l'article 48-1 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, un article 48-2 ainsi rédigé. "Art. 48-2. - Toute association régulièrement déclarée depuis au moins cinq ans à la date des fait, qui se propose, par ses statuts, de défendre les intérêts moraux et l'honneur de la Résistance ou des déportés peut exercer les droits reconnus à la partie civile en ce qui concerne l'apologie des crimes de guerre, des crimes contre l'humanité ou des crimes ou délits de collaboration avec l'ennemi et en ce qui concerne l'infraction prévue par l'article 24 bis." TITRE III DISPOSITIONS DIVERSES Art. 14. - L'article 6 de la loi n° 82-652 du 29 juillet 1982 sur la communication audiovisuelle est complété par un paragraphe ii ainsi rédigé : "II. Les associations remplissant les conditions fixées par l'article 48-1 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse peuvent également exercer le droit de réponse prévu par le présent article dans le cas ou des imputations susceptibles de porter atteinte à l'honneur ou à la réputation d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur origine, de leur appartenance ou de leur non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée auraient été diffusées dans le cadre d'une activité de communication audiovisuelle. "Toutefois, quand les imputations concerneront des personnes considérées individuellement, l'association ne pourra exercer le droit de réponse que si elle justifie avoir reçu leur accord. "Aucune association ne pourra requérir la diffusion d'une réponse en application du présent article dès lors qu'aura été diffusée une réponse à la demande d'une des associations remplissant les conditions prévues par l'article 48-1 précité." Art. 15. - I. - Le deuxième alinéa de l'article 8 de la loi n° 85-699 du 11 juillet 1985 tendant à la constitution d'archives audiovisuelles de la justice est complété par la phrase suivante : "Toutefois, la reproduction ou la diffusion, intégrale ou partielle, de l'enregistrement des audiences d'un procès pour crime contre l'humanité peut être autorisée des que ce procès a pris fin par une décision devenue définitive." II. - Le procès dont l'enregistrement aura été autorisé au jour de la promulgation de la présente loi pourront être reproduits ou diffusés en suivant la procédure prévue par l'article 8 modifié de la loi n° 85-699 du 11 juillet 1985 précitée. La présente loi sera exécutée comme loi de l'Etat. Assemblée nationale LOI n° 2004-1486 du 30 décembre 2004 portant création de la haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (JO du 31 décembre 2004) [sur le site Légifrance] Communiqué du conseil des ministres du 15 juillet 2004 [sur le site du Premier ministre] Le ministre de l’emploi, du travail et de la cohésion sociale a présenté un projet de loi portant création de la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité et transposant la directive 2000/43 du 29 juin 2000 relative à la mise en œuvre du principe d’égalité de traitement entre les personnes sans distinction de race ou d’origine ethnique. Cette nouvelle autorité administrative indépendante, voulue par le Président de la République, a fait l’objet d’une mission d’étude confiée à M. Bernard STASI, dont le projet de loi reprend les recommandations. Composée d’un collège de onze membres, elle aura compétence pour connaître de toutes les formes de discrimination prohibées par la loi ou par les engagements internationaux auxquels la France est partie. Elle pourra créer auprès d’elle tout organisme consultatif permettant d’associer à ses travaux des personnalités qualifiées et disposera de services placés sous l’autorité de son président. Toute personne qui s’estime victime de discrimination, qu’elle provienne du racisme, de l’intolérance religieuse, du sexisme, de l’homophobie ou du rejet des handicaps, pourra saisir la Haute autorité, laquelle pourra également se saisir d’office des cas de discrimination directe ou indirecte dont elle aura eu connaissance. Aux fins d’établir la réalité des faits portés à sa connaissance, la Haute autorité pourra demander des explications à toute personne privée mise en cause devant elle et demander communication d’informations et de documents quel qu’en soit le support. Les autorités publiques et les organismes chargés d’une mission de service public seront tenus d’autoriser les agents placés sous leur autorité à répondre à toute demande de la Haute autorité. Dans les cas où ses demandes ne seraient pas suivies d’effet, cette dernière pourra mettre en demeure les personnes intéressées de lui répondre et, en cas de refus, saisir le juge des référés aux fins d’ordonner toute mesure d’instruction. Elle favorisera la résolution amiable des différends portés à sa connaissance et pourra formuler des recommandations tendant à remédier à toute pratique discriminatoire ou à en prévenir le renouvellement. Elle pourra être invitée à présenter des observations devant les juridictions saisies de faits relatifs à des discriminations. Enfin, la Haute autorité assurera la promotion de l’égalité par un certain nombre d’actions : actions de communication et d’information, programmes de formation, travaux d’études et de recherches, reconnaissance des bonnes pratiques professionnelles. Elle pourra recommander toute modification législative ou réglementaire et remettra chaque année un rapport au Président de la République. Le projet de loi achève, par ailleurs, de transposer en droit interne la directive européenne 2000/43 du 20 juin 2000 relative à la mise en œuvre du principe de l’égalité de traitement entre les personnes sans distinction de race ou d’origine ethnique. Principales modifications adoptés par le Sénat en première lecture Article 2 : Les deux membres de la haute autorité désignés par le président de la République, les présidents de l’Assemblée et du Sénat et le premier ministre ne sont plus obligatoirement de sexes différents. Ces désignations doivent concourir « à une représentation équilibrée entre les femmes et les hommes et au respect du pluralisme ». Article 3 : Possibilité de saisine de la haute autorité par l’intermédiaire d’un parlementaire français ou européen et ouverture de la saisine aux associations conjointement à la saisine d’une victime. Article 17: Extension du champ des discriminations concernées par l’aménagement de la charge de la preuve. Articles 17 bis, 17 ter, 17 quater : Mesures renforçant la lutte contre les propos discriminatoires à caractère sexiste ou homophobe. Principaux amendements adoptés par la commission Article 17 :Retour au texte de l’Assemblée qui énumère les seules discriminations ethniques, raciales ou selon l’origine nationale (M. Pascal Clément, rapporteur). Article 17 quater : Seules les associations reconnues d’utilité publique peuvent exercer les droits de la partie civile pour les délits prévus aux articles 17 bis et 17 ter (M. Jean-Paul Garraud, UMP, Gironde). _________________ Un Mouloud délocalisé ! Dr.R
Je propose à tous les musulmans de boycotter également les produits français dans le monde entier, c'est ce que je fait avec mon entourage.
Il n'y a pas un pays dans le monde plus hypocrite que la France en commençant par ses dirigeants. blorg
Heureusement que l'immense majorité des musulmans sont simplement enervés par ces caricatures, ce qui est comprehensible , la liberté d'expression permettant de ne pas etre d'accord et donc parfois de s'engueuler, en famille ou en plublic , sans pour autant que les menaces de mort fusent . Quand je pense ( et je ne suis pas le seul ) que l'union europeennne est le premier donateur d'argent à la Palestine ... voilà comment on est remerciés ; arretons de donner de l'argent à ceux qui declarent fermés nos batiments et disent que nos ressortissants sont leurs cibles les terroristes mençant de mort doivent etre pourchassés & les interlocuteurs souhaitant construire un monde de paix doivent etre soutenus tout ça c'est du pain beni pour sarko et les partisans de la maniere forte . demandez vous pourquoi il prend 7 points dans les sondages cela suffit de ne jamais repondre aux menaces et à l'intimidation, cela ne fait qu'encourager les comportements extremes ; les extremistes doivent comprendre que pour l'immense majorté des français, la ligne rouge à ne pas franchir c'est la liberté de dire ce que l'on pense . mowglii
les dirigeants occidentaux ont raison de vouloir calmer les choses. ils sont responsables ; à l'inverses des dirigeants du proche orient qui excitent les foules.
en effet , si jamais , par un grand malheur, des terroristes tuent un occidental à cause de quelques dessins, alors là, les europeens pourraient vraiment se mettre à penser que l'islam est devenu fou ; je ne vous parle meme pas des consequences en termes de votes ... mowglii
Trois exemples récents :
- élection de Benoît XVI; il est représenté façon Adolf Hitler par les Guignols de l'infos. Des plaintes devant la justice, un mini scandale, c'est tout. - combien de fois a t-on présenté Jean Paul II comme un vieillard gâteux, débile, bavant etc... ? - Benoît XVI, toujours, présenté sous l'aspect cadavérique d'un meneur de zombies, il y a quelques semaines par Charlie Hebdo. - décision récente du Vatican d'interdire aux homosexuels la prêtrise : Libé, via le dessinateur willem représente un supérieur éclésiastique avec une image porno dans les mains. Les séminaristes passent devant lui, en bandant (ou non, selon leurs inclinations...) - Act Up organise une parodie de mariage avec des travestis, à Notre Dame de Paris. Aucun poursuite réelle, aucune vague de critiques à ce sujet. Vous étiez où à ce moment ? Et Chirac ? Et Villepin ?Qui a condamné cet acte officiellement ? Qui condamne les incendies, les attaques contre des Eglises en France ? Contre des tombes chrétiennes ? A part l'extrême droite bien sûr. Et les autres partis ? Ce ne sont que quelques exemples de caricatures, bien plus violentes que celle concernant le "Prophète". Les médias n'en parlent pas, vous non plus, ne plaignant pas les catholiques des offenses qui leur sont faites constamment. J'en déduis donc qu'il y a bien un clientélisme envers la communauté musulmane. Qu'il ne faut surtout pas les critiquer, ni les moquer. Mais les cathos, pas de soucis... ils prendront pour les autres. Charles
Moowgli,
Une fois de plus tu fais erreur. Un pape ce n'est pas un prophète ! Un prophète est un envoyé de Dieu. Un pape est élu par des Cardinaux (qui ne sont pas Dieu). Ce prophète Muhammad (SAWS) est ce messager de Dieu et exemple pour tous les Musulmans. En Islam ça représentation imagée est un blasphème. Si pour les Catholiques la représentation imagé du pape n'est pas un blasphème, la question ne se pose donc pas. Ton amalgame est une nouvelle fondé sur l'ignorance. Et ce n'est pas la 1ere fois sur ce site. Charles mowglii
charles ( ca ca m'etonnerait , mais bon .. )
ce qui n'est pas nouveau c'est qu'un musulman n'ait comme seul argument "l'ignorance " de son contradicteur. c'est un peu court jeune homme ! et les musulmans vont nous obliger aussi à ne plus manger de porc ? je ne suis pas musulman donc je caricature qui je veut ; et dieu ou ses prophetes aussi je ne t'ai pas vu integrer dans ta " grande sagesse " le fait que des télés du moyen orient regorgeaient encore recemment de series où les rabbins etaient cannibales . si c'est pas pire que de la caricature ça ... la pensée musulmane complexe a bien regréssé, hein, elle est devenu completement binaire meme que toi il te soit interdit de caricaturer ton, prophete , je le comprends , enfin ca te regarde, mais moi j'en ai le droit . je ne brule pas des embassades quand Jesus , Ddieu , le saint esprit , ou la vierge marie sont caricaturés ; des musulmans eux le font en ce moment meme le resultat, c'est que je vais acheter plein d'exemplaires de charlie hebdo, journal satirique , pour leur temoigner de mon soutien . amicalement mais pas d'accord avec vous du tout. Charles
Mowglii,
Ton ignorance est justifiée puisqu'elle résulte d'un simple constat. Tes arguments ne sont pas du tout cohérant puisqu'entre autre ton rapprochement pape/prophète n'est pas comparable. Il ya une grande différence. Apparement tu ne le sais pas et ne pas le savoir c'est en être ignorant. Toi, tu défend la liberté d'expression. Certes, et c'est ton droit. Mais à quel point ?? Cette liberté n'aurait-elle pas des limites? Aurais-je le droit de t'insulter ou comparer ta mère à un âne ou a une meurtrière si on se connaissait ? Je pense pas et je n'oserai pas, tu m'attaquerais surement en justice et tu gagnerais. Pour plus d'1/5 de la pop. mondiale c'est la même chose et en pire. En Islam, les croyants aiment le prophète plus que leurs propres parents. Représenter des images du prophète de l'Islam c'est un blaphème, je te le répète. On le compare de surcroit à un vulguaire térroriste avec bombes et couteau à la main. Rend toi bien compte que le préjudice est odieux et surtout sans aucun génie (au nom de la liberté d'expression). Washington et le représentant même de ta religion cad le Pape, l'ont fermement condamné. Je suis d'accord avec toi pour les ambassades brulées mais compares-tu une nouvelle fois ces actes à l'Islam ou bien à tous les musulmans du monde ?? Ce serait une nouvelle fois une erreur de ta part. Je te citerais une des paroles du prophète de l'Islam : " l'homme fort n'est pas celui qui terrasse sont adversaire, seul est fort celui qui maîtrise sa colère". L'Islam c'est ça, et ça a 14 siècles d'âge. Et si tu te documentais, tu verrais que l'Islam rejète toute forme de violence et respecte profondément les autres religions. Pour terminer, qui t'a dit que j'étais Musulman ? Amicalement. Charles M.Aouabi-Casa-
Non aux athéo-juivo-integristes, aux integristo-athéesjuifs .Oui aux humains d'y , c'est la minorité sur bien .
Les intégristo-juifs de certaines nationalités saisissont notre situation étant musulman. Et on doit s'y ouvrir . Et poutant, on est d'accors de discuter sur. Les gens qui savent se calmer , s'interviewer et avec respect, le saisir . y compris les athées. Les etres qui participeront à de meilleurs discours devront y intégrer . Les combats d'haujourd'hui y sont de nature idéologiques mais pourtant on s'insultaient . La qualification des amalgames des pouvoirs musulmans en politique qu'en Islam sera choisie chez les integristo-occidentaux . Ce sont - LES STATO'S - . Et depuis la fin de la colonisation des pays arabes et musulmans . Pourtant ce sont les Démocrates Islamiques Turcs '1924' , comme exemple , qui se qualifiaient . Ainsi s'y adonner . Les athées d'aujourd'hui sont de descendance d'hier , pourtant on peut discuter sur de differents problématiques. Comme exemple , à la fin de l'intégrisme et historique des juivoamérico-impérialisme à la fédération mondiale islamique turco-arabe ; ou de la France les débaras de problémes qu ' a ammené depuis sa sortie de ses colonies. La France de sa colonie sur l' algérie a resté présque un siécle et trente deux années, cependant elle a fait main basse sur des algériens , sa fortune : son pétrole, sa culture turque, les vrais principes , la justice de Omar Ibn El khettab . Le dire d'Omar , que Dieu soit satisfait de lui : " Jusqu'à quand avez-vous enchaîné ce drame d'esclavage, et y sont libres ". Les faits de cultures soustraits de la nation algérienne ont été la pêrle blanche des musulmans et ont été l'esprit fondateur de philosophes français. Dieu Tout-Puissant dit : " In-nal-laha yamoro bil ad-li wal ihssani " . Le verset . Sourete En-nehl . Le dit du Seigneur Allah : " La justice et la spiritualité dues aux prophétes des nations soient de tolérance et de croyance ". Verset 48. Sourate L'abeille. M.Aouabi le 4 février 2006 M.Aouabi-Casa-
Non aux athéo-juivo-integristes, aux integristo-athéesjuifs .Oui aux humains d'y , c'est la minorité sur bien .
Les intégristo-juifs de certaines nationalités saisissont notre situation étant musulman. Et on doit s'y ouvrir . Et poutant, on est d'accors de discuter sur. Les gens qui savent se calmer , s'interviewer et avec respect, le saisir . y compris les athées. Les etres qui participeront à de meilleurs discours devront y intégrer . Les combats d'haujourd'hui y sont de nature idéologiques mais pourtant on s'insultaient . La qualification des amalgames des pouvoirs musulmans en politique qu'en Islam sera choisie chez les integristo-occidentaux . Ce sont - LES STATO'S - . Et depuis la fin de la colonisation des pays arabes et musulmans . Pourtant ce sont les Démocrates Islamiques Turcs '1924' , comme exemple , qui se qualifiaient . Ainsi s'y adonner . Les athées d'aujourd'hui sont de descendance d'hier , pourtant on peut discuter sur de differents problématiques. Comme exemple , à la fin de l'intégrisme et historique des juivoamérico-impérialisme à la fédération mondiale islamique turco-arabe ; ou de la France les débaras de problémes qu ' a ammené depuis sa sortie de ses colonies. La France de sa colonie sur l' algérie a resté présque un siécle et trente deux années, cependant elle a fait main basse sur des algériens , sa fortune : son pétrole, sa culture turque, les vrais principes , la justice de Omar Ibn El khettab . Le dire d'Omar , que Dieu soit satisfait de lui : " Jusqu'à quand avez-vous enchaîné ce drame d'esclavage, et y sont libres ". Les faits de cultures soustraits de la nation algérienne ont été la pêrle blanche des musulmans et ont été l'esprit fondateur de philosophes français. Dieu Tout-Puissant dit : " In-nal-laha yamoro bil ad-li wal ihssani " . Le verset . Sourete En-nehl . Le dit du Seigneur Allah : " La justice et la spiritualité dues aux prophétes des nations soient de tolérance et de croyance ". Verset 48. Sourate L'abeille. M.Aouabi le 4 février 2006 abdelkader
elle est belle la liberte d expression sarko et tous les journaleux vous avez ete les premiiers a crie au loup pour interdir 1 tv qui n est pas francaise en plus (al manar.)
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