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Je suis obligé d'utiliser le terme je pense que puisque ce que l'on exprime tant que ce n'est pas de la science n'est jamais qu'un point de vue, un sentiment qui nous est propre et qui n'est pas partagé par tous, qu'il s'agisse d'adultes ou qu'il s'agisse d'enfants.
J'aurais d'ailleurs pu écrire ma phrase avec les mots je pense en moins car il me semble qu'ils sont de critères essentiels bien que ce ne soit pas toujours le cas et que certains ont su se construire sans jamais avoir été aimé.
Ou le contraire. Un enfant ayant bénéficié de ces conditions mais qui éprouve malgré tout un mal etre.
L'intérêt de l'enfant peut aussi etre un tas d'autres choses. Etre scolarisé à égalité s'il est autiste par exemple (et vlan une pique au politique)
Et oui, l'intérêt de l'enfant ne se résume pas à une filiation. La non discrimination en est un aussi.
Les concernés ne peuvent s'exprimer qu'àprès, on ne peut pas anticiper. il faut qu'ils soient nés pour pouvoir le faire (lol)
On ne peut ni revenir en arrière ni prévoir.
Partant de ce principe il faudrait interdire tout ce qui pourrait entrainer des conséquences négatives, comme le divorce. Un retour en arrière donc.
Ou l'adoption pourquoi pas. Des enfants sans parents donc. On tombe dans l'absurdité.
Sachant qu'avoir un enfant n'est en vérité qu'une adoption, le fait de l'accepter (ou pas car c'est aussi avoir un enfant) pour préserver un enfant il ne faudrait donc pas avoir d'enfant en résumé.
Pour que les enfants disent leurs sentiments négatifs (puisque en vérité ce ne sont que ceux là qui semblent intéresser) il faut qu'ils refusent le principe qui lui vaut d'etre né. La gpa donc. Son adoption en bref puisqu'en vérité elle n'est que cela.
Avoir de "vrais" parents ou enfants n'est aussi qu'une affaire d'adoption mutuelle, je te reconnais, tu me reconnais et on s'adopte.
On choisi un compagnon, un ami mais pas un enfant qu'il s'agisse de "vrais" parents ou de gpa, l'enfant n'a pas le choix.
Et inversement, il ne choisit pas non plus ses parents.
Quand un parent n'accepte pas son enfant on l'y oblige juste. Dans le cas d'un père qui ne veut pas reconnaître "son" enfant mais que l'on oblige à se soumettre à un test de paternité par exemple. On lui impose des visites obligatoire pour le bien de l'enfant. Je n'ai jamais entendu parler d'un abandon sous X qui concernerait un père. Ou alors ça m'a échappé mais s'agissant des pères, je n'ai jamais entendu parler d'un tel droit.
Je pense qu'en vérité on a juste peur d'admettre et de valider que ce sur quoi est basée notre société n'est qu'une illusion. Comme le fait de croire qu'un enfant est le notre. Comme si l'on avait eu le choix entre dix enfants et que l'on est désigné celui-là. Et inversement. Comme si les enfants choisissaient leurs parents.
Ce n'est pas très bien rédigé, je ne sais pas si je me fais bien comprendre, mais réfléchissez y et vous verrez qu'en vérité on valide comme étant justes, vraies, des choses qui ne le sont pas.
Et qu'après tout ce que l'on veut c'est surement plus une société bien ordonnée, ayant des codes bien définis plus qu'autre chose.
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