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 François Carmignola
Mardi 18 Septembre 2018

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Naturellement, et cela est une conséquence directe du principe de laïcité,

article 2 :
"La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte"

les questions concernant "la précarité des imams, et la mauvaise gestion du financement des mosqués" sont ainsi donc entièrement à la charge des musulmans et de personne d'autre. Ca va mieux en le disant.