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Nadia Yassine préfère la République à la Monarchie samir
Concernant l'enlévement de Hayat ( J.S ) par la DST ( Maroc ) , Nadia yassine a lancé :
" .. Hayat tu ne mesures pas encore assez la bravoure de ton acte ; l’histoire te le dira. Le pouvoir en persécutant les femmes du mouvement veut frapper une section féminine extrêmement dynamique qui dément tous les clichés qui veulent les islamistes absolument, inévitablement misogynes et donc fatalement extrémistes. Tu les déranges Hayat .." , nadia yassine.net . samir
" une section féminine extrêmement dynamique qui dément tous les clichés qui veulent les islamistes absolument, inévitablement misogynes .."
"Posté par Aouabi le 13/07/2006 00:10 IL ETAIT UNE FOIS UNE FEMME PRESIDENTE Madame wrisya , Chez certains oui .. la femme est une personne humiliée .. mais en Islam , chez les biens instruits et chez les modérés des islamistes c'est le contraire .. La femme islamiste , dans sa carrière politique et dans sa garde de sa famille , peut atteindre ou dépasser la présidentiable Ségolène Royal , la mère instruite des quatres enfants bien suivis et bien gardés .. souhaitons qu'elle arrive à connaitre Dieu de l'Islam , l'unique . Il est là , des textes prophètiques apocryphes ( domaine de la science de la garantie d'une tradition ) qu'on a pris comme appuis pour dénigrer la femme .. Il y'a aussi des textes qu'on doit adopter de façon particulière et ne pas les généraliser . L'exemple est : " Aucune réussite est du coté des gens qui ont nommé une femme à leur tête " , hadith vu Al Bukhari . Ce hadith est des "Ahades"/ monogaranties d'Al Bokhari . Sa cause était suite à une guerre faite par une troupe de Persans dont la tête est une femme . Le hadith s'est dit sous une forme de " douaa " d'invocation contre des gens dirigés par une femme et qu'on a voulu faire face à l'Islam d'aujourd'hui .. Et en adoptant ce raisonnement nous ne sortons jamais des avis de penseurs de la oumma : Mohammed Al Ghazali et identiques .. Aussi se trouve de mauvaises lectures de certains textes coraniques et prophètiques concernant " qiwama ar-rajoul " le souténement de l'homme de sa famille , et " hafidhiat al-mara' " la garde de la femme de ( et pas dans ) sa famille . là je vous renvois Mme wrisya à l' ouvrage " Toutes voiles dehors " de Mme Nadia Yassine , intellectuelle et porte-parole de l'ass. Justice et Spiritualité ( Maroc ) . Dans ce domaine et concernant le texte : 209 : abi Said al -khudri ( que Dieu l'agrée ) a rapporté : Le Messager de Dieu ( S.B sur lui ) sortit le jour d'al-fitr pour aller à l'oratoire et passa voir les femmes ;il leur dit : " O femmes , faites des aumônes , je vous ai vues ( en vision ) former la majorité des habitants de l'enfer ". Elles demandèrent : " Mais pour quels péchés , ô Messager de Dieu ? " Il dit : " Vous maudissez trop , vous êtes mécréantes à l'égart de l'époux , et je ne connais de femmes qui sont atteintes par une déficience en matière d'esprit et de religion et qui peuvent nuire à l'homme le plus ferme , plus que l'une de vous !" "Mais demandèrent-elles , quelle est la déficience dans nos esprits et dans notre religion , ô Messager de Dieu ? Il dit : " Le témoignage d'une femme , n'est-il pas considéré comme la moitié du témoignage d'un homme ? " " oui " , dirent-elles . " Cela , dit-il , est dû à la déficience dans son esprit . Aussi , lorsqu'elle a ses menstrues , ne doit-elle pas arreter de prier et de jeûner ? " " oui " dirent-elles . " Cela , dit-il , est dû à la déficience dans sa religion ." , Al Boukhari . Le dit du prophète ( saws ) : " Cela , dit-il , est dû à la déficience dans sa religion ." peut être que le prophète ( saws ) veut viser l'idée que la femme durant ses menstrues , ses rêgles est généralement incomprise, neveuse , de faibles rémunérations spirituelles de prière ; et ça pourrait qu'il voulait ( S. B. sur lui ) se plaisanter avec ses femmes vu l'habitude surtout en lisant : " et qui peuvent nuire à l'homme le plus ferme " .. Le dit du prophète ( saws ) : " et je ne connais de femmes qui sont atteintes par UNE DEFICIENCE EN MATIERE D'ESPRIT ET DE RELIGION et qui peuvent nuire à l'homme le plus ferme , plus que l'une de vous !" , le mot DEFICIENCE EN MATIERE D'ESPRIT là , ne vise pas que la femme est diminuée en matière d'esprit EN TOTALITE et que la femme , comme le croyait le fautif , est généralement passive . Le texte sujet de l'étude , faut qu'il soit lu dans la justice où la femme le juge / la pitié vers la mère et les enfants. Je pense que c'était cela qu'il en voulait viser , le prophète ( saws ) . La femme dans les adoptions des décisions , en voyant à sa structure naturelle du cerveau , selon les dernières découvertes de la fonction du cerveau , en voyant aux faits familiaux , s'incline le plus souvent vers la pitié à l'égart de la mère et des enfants , alors qu'elle doit se faire face , soit juste . Elle s'infliche toujours sauf si on l'avertirait ou elle s'en rendra compte . En Islam , à part le domaine de la justice sauf bien réglé , toutes les carrières sont ouvertes à la femme . Elle est là . La femme islamiste , dans sa carrière politique et dans sa garde de sa famille , peut atteindre ou dépasser la présidentiable française Ségolène Royal , la mère instruite des quatres enfants bien suivis et bien gardés .. souhaitons qu'elle arrive à connaitre Dieu de l'Islam , l'unique . Bon courage wrisya .. Aouabi le 12 juillet 2006 Mouvement Justice et Spiritualité " samir
LE MAKHZEN REVIENT AUX ANNEES DE PLOMB
Mehdi Ben Barka Mehdi Ben Barka (arabe: المهدي بن بركة), janvier 1920 à Rabat - disparu le 29 octobre 1965 à Fontenay-le-Vicomte était un homme politique marocain, principal opposant socialiste au roi Hassan II et leader du mouvement tiers-mondiste. Selon les informations disponibles en 2006, il aurait été traqué lors de ses déplacements internationaux par le Mossad israélien et la CIA, qui communiquait ces informations à Rabat et Paris [1]. L'affaire Ben Barka, symbole des années de plomb sous le roi Hassan II, a longtemps gelé les relations franco-marocaines. Sommaire 1 Biographie 1.1 Le principal opposant au roi Hassan II, leader du camp anti-impérialiste 1.2 L'exil 1.3 L'enlèvement devant la brasserie Lipp, à Paris le 29 octobre 1965 2 Les responsabilités marocaines 3 Les révélations d'Ahmed Boukhari 4 Les archives du SDECE et de la CIA 5 Les révélations de Lucien Aimé-Blanc 6 Références Biographie Le principal opposant au roi Hassan II, leader du camp anti-impérialiste D'une famille de petits fonctionnaires, il devient professeur de mathématiques. Il fonde, en 1950, l'Union nationale des forces populaires (UNFP), principal parti de gauche opposé au régime royal. Il préside l'Assemblée consultative mise en place après l'indépendance. Le 16 novembre 1962, il échappe déjà à un attentat fomenté par les services du général Oufkir et du commandant Dlimi. Le 16 juillet 1963, après que le roi Hassan II a décrété l’état de siège, Ben Barka se réfugie en Algérie, suivi une année plus tard par sa femme et ses enfants, qui ne voulaient pas « être pris en otages ». Il dénonce ensuite la "guerre d'agression" du Maroc contre l'Algérie lorsqu'éclate la "guerre des sables" en automne 1963 et prône la solidarité avec "la révolution algérienne". Le 22 novembre 1963, il est condamné à mort par contumace pour complot et tentative d'assassinat contre le roi. L'exil Medhi Ben Barka s'exile alors, devenant un "commis-voyageur de la révolution", selon l'expression de l'historien Jean Lacouture. Il part d'abord pour Alger, où il rencontre le Che, Amilcar Cabral et Malcolm X. Il s'en va ensuite pour Le Caire, Rome, Genève et La Havane, tentant de fédérer les mouvements révolutionnaires du tiers-monde en vue de la Tricontinentale devant se tenir en janvier 1966 à La Havane et où, affirmait-il dans une conférence de presse, "les deux courants de la révolution mondiale y seront représentés : le courant surgi avec la révolution d’Octobre et celui de la révolution nationale libératrice". Présidant la commission préparatoire, il y définit les objectifs, parmi lesquels l’aide aux mouvements de libération, le soutien à Cuba soumis à l’embargo américain, la liquidation des bases militaires étrangères et l’apartheid en Afrique du Sud... Pour l’historien René Galissot, "c’est dans cet élan révolutionnaire de la Tricontinentale que se trouve la cause profonde de l’enlèvement et de l’assassinat de Ben Barka" [2]. L'enlèvement devant la brasserie Lipp, à Paris le 29 octobre 1965 Chargé d'organiser la participation des mouvements révolutionnaires du tiers monde à la conférence tricontinentale qui devait se réunir à La Havane en 1966, il est enlevé à Paris devant le 151 boulevard Saint-Germain, le 29 octobre 1965, par le policier français Louis Souchon, accompagné de plusieurs collègues pour le compte du général Oufkir, chef de la police marocaine. Georges Boucheseiche, un truand (ancien membre de la Gestapo française sous l'Occupation, qui rallia le gang des Traction Avant à la libération, il fut également, dans les années 1960, un barbouze anti-OAS, puis un actif militant du Service d'Action Civique) a également participé à l'enlèvement. Lors de sa conférence de presse du 21 février 1966, le général de Gaulle déclare: «Du côté français que s'est-il passé? Rien que de vulgaire et de subalterne. Rien, absolument rien, n'indique que le contre-espionnage et la police, en tant que tels et dans leur ensemble, aient connu l'opération, a fortiori qu'ils l'aient couverte.» Cette fameuse affirmation sera contredite par les découvertes ultérieures: le SDECE (ancêtre de la DGSE) était bien au courant de l'enlèvement projeté. Dès l'enlèvement du leader tiers-mondiste, cette affirmation péremptoire de De Gaulle est mise en doute: comment aurait-on pu transférer un cadavre (ou un homme inconscient) par avion de Paris à Rabat, sans se faire arrêter par la police aux frontières? En 2006, l'ex-commissaire Lucien Aimé-Blanc publie des écoutes téléphoniques de l'époque montrant clairement que les services français surveillaient tous les hommes ayant pris part à l'enlèvement (voir ci-dessus). Les responsabilités marocaines Suite à l'enlèvement du leader socialiste et anti-impérialiste Mehdi Ben Barka, une enquête est déclenchée en France. Quarante ans après, celle-ci reste en cours. Fin 2005, pour la troisième fois, un juge d'instruction français se rendait au Maroc afin d'enquêter sur place. Il fut rapidement confronté à l'absence de coopération de la part des autorités marocaines, et cela malgré la fin du règne de Hassan II, remplacé par son fils Mohammed VI. Après la tentative infructueuse du général Oufkir de coup d'État contre Hassan II, Rabat a toujours mis sur le dos d'Oufkir la responsabilité ultime de l'enlèvement et du meurtre de Medhi Ben Barka. A ce jour, la famille du leader assassiné continue à tenir pour véritable responsable le roi lui-même, ce que seule la continuation de l'enquête française pourrait prouver - ou, au contraire, réfuter [3]. Sur les hommes ayant participé à l'opération, seuls deux d'entre eux, Miloud Tounzi et Boubker Hassouni, sont encore en vie. L’étudiant Azzemouri, témoin de l’enlèvement de Ben Barka, a été retrouvé mort en 1971 dans une chambre à Paris : officiellement il s’est suicidé. Le truand George Figon est retrouvé mort le 17 janvier 1966 à Paris. Ses complices George Boucheseiche, Pierre Dubail et Julien Le Ny, qui ont été exfiltrés vers le Maroc en 1965 où ils dirigeaient un cabaret au nom évocateur : « le Bel Abri », sont morts assassinés entre octobre et novembre 1974. Entre-temps, le général Oufkir est mort lors du coup d’État raté contre le roi Hassan II en 1972. Le cinquième truand serait mort des suites d’un cancer en 1976 au Maroc. Enfin, le commandant Dlimi, devenu entre-temps le numéro 2 du régime, est mort en 1983, officiellement à la suite d’un accident de la circulation ! Le seul protagoniste français encore en vie est l’ex-agent secret Antoine Lopez, qui avait, dans un entretien accordé au Parisien daté du 6 février 2000, levé un coin du voile sur l’affaire Ben Barka [4]. Les révélations d'Ahmed Boukhari Selon les révélations de juin-juillet 2001 de l'ancien agent marocain Ahmed Boukhari, Medhi Ben Barka aurait été exfiltré vers le Maroc, torturé, puis son corps dissout dans une cuve d'acide. Toutefois, il n'a pas été encore entendu par la Justice sur ce dossier. Le dossier reste mystérieux et le gouvernement français détient certainement des pièces intéressantes sur le sujet. Selon Ahmed Boukhari, le corps de Ben Barka arrive en effet à l'aéroport de Rabat dans la nuit du 31 octobre. Il est alors emmené dans un centre de torture, Dar El-Mokri, où, sur les indications d’un certain colonel Martin, chef de l’antenne de la CIA au Maroc et qui avait accès directement au roi Hassan II, le corps du défunt leader marocain est dissous dans une cuve remplie d’acide. La scène est filmée, et une copie du film remise par le commandant Dlimi au roi Hassan II. Le colonel Martin aurait appris cet usage très particulier de l'acide pour faire disparaître les corps dans son précédent poste sous le régime du Shah d'Iran, après le renversement en 1953 de Mossadegh [5]. Ben Barka et Israël « Je sais qui a tué Ben Barka, je sais pourquoi et je sais où son corps se trouve aujourd'hui ». Yigal Bin-Nun dit ce qu'il veut bien dire de « l'affaire Ben Barka ». L'historien prépare un livre sur l'icône de la gauche marocaine et dit ne pas souhaiter voir ses révélations faire la Une des journaux sans véritable appareil argumentatif. Tout ce que l'on saura, c'est que Mehdi Ben Barka a été tué par erreur et que son corps repose quelque part en France. Que la fameuse histoire de la cuve est fausse et que le livre de Boukhari est un tissu de boniments. Qu'il n'y a rien sous la mosquée de Courcouronnes. Que Mohamed Oufkir n'a probablement rien à voir avec l'enlèvement et l'assassinat et que le seul nom récurrent est celui de Dlimi. Que tout a été organisé par Miloud Ettounsi, alias « Chtouki »… Bien plus que « saheb lihoud » Mais ce n'est pas tout. Yigal Bin-Nun veut bien donner quelques détails sur un autre sujet explosif : les relations de Mehdi Ben Barka avec Israël et le Mossad. Il affirme que Ben Barka était bien plus que « Saheb Lihoud » ; il aurait eu des contacts presque quotidiens avec le Mossad, notamment avec le numéro 2, Yaakov Karoz. Des relations idylliques qui commencèrent à se ternir lorsque Ben Barka parla ouvertement de prendre le pouvoir au Maroc et demanda non seulement de l'argent, mais aussi des armes à Israël. De là date la rupture supposée entre le Mossad et lui, qui explique les propos véhéments contre la présence d'Israël dans les pays d'Afrique et d'Asie lors d'un discours qu'il a tenu au Caire en 1963. Mehdi Ben Barka, tel que le décrit Yigal Bin-Nun, était également attiré par le modèle de développement israélien. Il aurait demandé à ses interlocuteurs du Mossad des livres pour apprendre l'hébreu ainsi que des manuels concernant le développement rural et agricole en Israël afin de s'en inspirer au Maroc. Le chercheur israélien s'est basé sur des témoignages d'acteurs de l'époque toujours en vie, mais aussi et surtout sur les archives déclassifiées de l'Etat hébreu. La relation de Mehdi Ben Barka avec Israël, daterait de mars 1960. Deux documents des comptes rendus classés aux archives nationales du ministère israélien des Affaires étrangères Israélien, dont l'auteur est André Chouraqui, dirigeant de l'Agence juive, rapportent le contenu des rencontres entre ce même André Chouraqui et Mehdi Ben Barka à Paris en Mars 1960. Le contexte politique marocain est pour le moins tendu. Le gouvernement Abdallah Ibrahim et Mehdi Ben Barka sont en conflit ouvert avec le prince héritier Moulay Hassan. Dans l'un des comptes rendus, Chouraqui écrit : « Au cours de son voyage en Orient, le sultan a mis Ibrahim à l'écart des conversations avec Nasser et les autres souverains du Proche-Orient ». Le Sultan est revenu transformé au moins sur ce point. Il sait qu'on peut gouverner un Etat seul et « au besoin » en mettant en prison des milliers de personnes. Ibrahim, par contre, a vu que la politique arabe dont il était l'instigateur n'est plus payante et qu'elle se retourne actuellement contre lui ; d'où, pour lui et ses amis, la nécessité de trouver de nouvelles alliance. Il les cherche alors du côté de l'Occident, des juifs et des forces de gauche. « Selon ce document, Mehdi Ben Barka affirmait à ses interlocuteurs que le gouvernement Ibrahim avait pris position pour le général Kassem, président de l'Irak dans le conflit qui l'opposait à Gamal Abdenasser au sein de la Ligue Arabe. Mehdi Ben Barka aurait dit lors de ces rencontres que le mouvement qu'il représentait avait fait le choix de la démocratie que pouvait représenter le général Kassem et les pays africains qui se démocratisaient, plutôt que de suivre le modèle nassérien anti-démocratique. Rencontres soutenues D'après le document, Ben Barka aurait proposé une solution pratique à un problème qui embarrasse Israël et la communauté juive marocaine : la rupture des rapports postaux entre Israël et le Maroc. Résultat de l'adhésion du Maroc à la Ligue Arabe, cette rupture avait suscité la mobilisation des organisations juives. Un intense travail de lobbying avait été effectué. Pourquoi le leader du progressisme marocain fait-il autant d'efforts vis-à-vis des lobbies pro-israélien et d'Israël lui-même ? Dans ce fameux document, André Chouraqui écrit : « La deuxième chose qui résulte de ce premier entretien avec Ben Barka est que celui-ci a, avec empressement, accepté l'invitation de visiter Israël. Si cela se réalise, cela aura des conséquences lointaines non négligeables. Ben Barka, en s'ouvrant à nous, attend de nous un appui moral auprès des Juifs marocains et, très probablement aussi, un appui matériel s'il entre en guerre ouverte contre la monarchie. Il aura besoin d'argent et d'armes. Il m'a laissé entendre cela d'une manière assez claire ». Selon les archives israéliennes, André Chouraqui organisera, le 26 mars 1960 à Paris, une rencontre entre Mehdi Ben Barka et Yacoov Karoz , numéro deux du Mossad. Yigal Bin-Nun produit à l'appui de sa thèse un autre document d'archives provenant du Congrès mondial Juif (CMJ). Il s'agit là aussi d'un compte rendu d'une rencontre entre Mehdi Ben Barka et Alexandre Easterman du CJM, à Paris le mardi 5 avril 1960. Selon ce document, c'est à la demande du leader marocain que la rencontre eut lieu. Easterman y rapporte l'argumentaire déployé par Ben Barka pour s'assurer l'aide du CJM dans son combat contre le pouvoir réactionnaire représenté par la monarchie marocaine. Ben Barka aurait évoqué une fois encore, l'opposition de son mouvement à la politique anti-démocratique de Nasser, et le soutien dont il jouit auprès de nombreux pays africains. Alexandre Easterman écrit avoir questionné Ben Barka sur la rupture des rapports postaux entre le Maroc et Israël, le refus de permettre de délivrer des passeports aux Juifs marocains pour leur permettre d'émigrer en Israël et le refus d'Abdallah Ibrahim de le recevoir quand il s'était rendu au Maroc. Ben Barka aurait évoqué là aussi les forces réactionnaires qui rendent toute politique d'ouverture impossible vis-à-vis d'Israël. Il aurait promis à son interlocuteur qu'il s'arrangerait pour que Abdallah Ibrahim le rencontre lors de sa prochaine visite au Maroc. Selon ce compte rendu, Mehdi Ben Barka a réitéré sa demande d'assistance. « Il (Mehdi Ben Barka) espérait que le CJM allait se joindre aux autres éléments libéraux pour soutenir son groupe par tous les moyens, et que c'était dans l'intérêt des Juifs que le Congrès devait le faire. Je lui ai demandé ce qu'il entendait par soutien, et il a répondu : Soutien moral et matériel. Il n'a pas précisé ce qu'il entendait par là et je ne lui ai pas demandé », rapporte Easterman dans ce document. En conclusion, le dirigeant écrit très cyniquement : « J'ai appris à Paris que Ben Barka avait rencontré nombre de personnes et de délégations juives durant ces dernières semaines. Il apparaît donc qu'il ne m'a pas accordé un privilège spécial en me rencontrant si ce n'est le fait de s'être déplacé chez moi plutôt que le contraire. » Et d'ajouter : « La nouvelle, et sans précédente sollicitude de Ben Barka à l'égard des Juifs, montre indubitablement sa volonté de nous rassurer, à la lumière de ce qui s'est récemment passé au Maroc. Ses promesses de tout arranger signale son souhait d'obtenir un soutien juif, quel que soit le sens qu'il donne au mot soutien. D'un autre côté, tout ceci suggère que sa position est bien plus faible qu'il ne veut nous le laisser croire. » « Affirmations gratuites » « Tout cela est ridicule. Ce sont des affirmations gratuites qui ne se fondent sur aucune analyse historique ou sociale correcte. Tous ceux qui connaissaient Mehdi Ben Barka savent que c'est faux. Il a été l'un des premiers à ériger le problème palestinien en problème national. Nous n'accordons aucun crédit à ces élucubrations ». Béchir Ben Barka n'a pas de mots assez durs pour qualifier les affirmations de Yigal Bin-Nun. Même réaction chez Brahim Ouchelh, l'ancien adjoint du Fkih Basri, qui refuse catégoriquement l'éventualité d'une telle relation entre Mehdi Ben Barka et les Israéliens. Les archives du SDECE et de la CIA En 1976, le gouvernement des États-Unis a reconnu suite à des requêtes formulées dans le cadre du Freedom of Information Act que la CIA était en possession de 1800 documents sur Ben Barka, mais ils restent non publics. En 1982, suite à la victoire de la gauche, les archives françaises du SDECE (ancêtre de la DGSE) sont ouvertes, mais une grande partie a disparu. Le secret-défense est levé sur certains documents, mais la famille de Mehdi Ben Barka considère que ces documents déclassifiés n'apportent rien de véritablement nouveau, en particulier en ce qui concerne les complicités des services français. En 2001, d'autres sont déclassifiés. La ministre de la défense Michèle Alliot-Marie a accepté de déclassifier les 73 restants sur cette affaire qui reste trouble, sans susciter d'euphorie chez la famille Ben Barka. Les révélations de Lucien Aimé-Blanc L'ex-commissaire Lucien Aimé-Blanc fut numéro deux de la «Mondaine», de la brigade antigang, de l'office des stups, puis chef de l'office central de répression du banditisme de 1977 à 1980. En avril 2006, il publie L'Indic et le Commissaire et révèle que la totalité des agents impliqués dans l'enlèvement de Medhi Ben Barka était écouté par le SDECE. De fait, Aimé-Blanc publie dans son livre ces écoutes téléphoniques: "Adjoint de la brigade antigang en 1966, j'ai trouvé dans le coffre du patron une liasse de transcriptions d'une écoute téléphonique répertoriée «Orion 113» et posée par un service de la Sûreté nationale sur la ligne d'un hôtel de rendez-vous de l'avenue Niel à Paris (XVIIe). A la lecture de ces 40 feuillets, j'ai été stupéfait de constater que c'était le point de ralliement de toute la bande identifiée comme étant les ravisseurs de Ben Barka. Ils apparaissent tous sur ces écoutes, le chef d'escale d'Air France à Orly et indic du Sdece (ancienne DGSE, les services secrets, ndlr), Antoine Lopez, comme les truands Boucheseiche, Figon, Palisse... Il transparaît en filigrane de ces conversations, enregistrées tout le mois précédant la disparition de Ben Barka, que ces individus liés à un général marocain projettent l'enlèvement d'un homme qui doit arriver à Orly. Il est donc clair que la brigade centrale de recherche criminelle, qui surveillait cet hôtel de passes sans avoir de compétence sur Paris, était au courant de ce projet. A l'époque, ces écoutes remontaient également au ministère de l'Intérieur et au conseiller de Matignon. J'en déduis que le service de la Sûreté nationale qui a branché cet hôtel savait ce qui se tramait, et s'il n'est pas intervenu pour déjouer cet enlèvement, c'est soit par négligence coupable, soit sur ordre." [6] Les écoutes en question, indique Lucien Aimé-Blanc, n'ont pas été communiquées au juge Zollinger, chargé de l'enquête sur la disparition de Ben Barka. L'Express écrit ainsi que "ces écoutes prouvent, en tout cas, que le ministre de l'Intérieur - au moins - savait qu'une mauvaise action se préparait contre Ben Barka. En outre, les doubles de ces écoutes étaient automatiquement transmis au cabinet du Premier ministre de l'époque, Georges Pompidou." [7]. Références ↑ "Un crime protégé par la raison d’État" in L'Humanité du 29 octobre 2005 ↑ "L'Affaire Ben Barka n'est toujours pas élucidée" in L'Humanité du 29 octobre 2005 ↑ "Un crime d'États", entretien avec Bachir Ben Barka publié par L'Humanité le 3 novembre 2005 ↑ "L'Affaire Ben Barka n'est toujours pas élucidée" in L'Humanité du 29 octobre 2005 ↑ "L'Affaire Ben Barka n'est toujours pas élucidée" in L'Humanité du 29 octobre 2005 ↑ "Mon indic a flingué Pierre Goldman", entretien avec Lucien Aimé-Blanc publié par Libération le 20 avril, 2006 ↑ "Affaire Ben Barka - Le pouvoir savait" publié par L'Express du 13 avril 2006 ibrahime
ASSALA MOU ALEYKHOUM : My name is EBRAHIM the Cheikh Of ABDALLAH SHERRIF the Cheikh tell me he want you call hime he has been see a lot of things juste wanna help you only for to help you because you are a Moslim and maight be or Moslim Only the moslim can help the moslim why he talk to talke is number quikly . This my Number 6 85 45 14 chhal ykhassak mnstaghfirallah al bayat bla 3cha
Monarchie*
Ramid appelle à la réforme Le député de Derb Soultane, Mustapha Ramid, a fait une sortie médiatique très remarquée. Dans une interview accordée à l'Hebdomadaire « Al Jarida Al Oukhra », Ramid revient sur le rôle de la monarchie et ses prérogatives. Il relève que la monarchie exécutive ne peut être démocratique et appelle les forces vives à militer pour l'instauration d'une monarchie constitutionnelle. En d'autres termes, à la diminution des prérogatives du Roi. Ramid relève que les décisions stratégiques émanent de l'entourage royal, ce qui marginalise le rôle des partis politiques et des institutions. Concernant les idées défendues par Nadia Yassine, le député de Derb Soltane regrette son rejet de la monarchie et précise que cette démarche va à l'encontre des intérêts de la religion. Ramid souhaite que le Roi devienne un arbitre et non un acteur politique * : lejournalhebdo.com msawri
L'auteur de cet article est un tout petit peu confus. Tout en ayant voulu se faire passer pour un impartial, il sème ici et là, sciemment ou inconsciemment, quelques vérulences. Tout d'abord, il donne de Nadia Yassine une image dépassant de loin les capacités in telectuelles de cette islamite, la traitant d'un haut responsable capable de remplacer son père pour continuer la marche de son mouvement. En agissant ainsi, il l'a remplie d'orgueil en lui faisant miroiter son rêve de république marorocaine. Nadia Yassine connait-elle le nombre d'éthnies dont est composé le Royaume pour nous parler d'une république ? A l'instar de son père, elle aime les coups de théatre pour attirer l'attention du pauvre gens sur elle. Son père, à une époque où les marocains respectaient leur Roi, comme ils l'aiment d'ailleurs maintenant, il a surpris les marocains en envoyant une lettre ouverte à S.M. Hassan 2 le traitant d'homme de peu de foi n'applicant pas la chariaa et ne répprimant pas assez la débauche et la corruption qui régnaient soit-disant au Maroc. Il a répété le même scénario avec S.M. Mohamed VI. Ce qu'ils cherchent par ces coups d'éclats, lui et sa fille rien d'autre que la publicité et drainer autour d'eux les pauvres gens auxquels ils inculquent les même méthodes : critiques négatifs et coups de théâtre sans violence sur la voie publique. Pourquoi sans violence ? Ils ne savent gérer que la parole et, tant qu'ils ne gèrent que la parole, leur mouvement marche bien sans efforts ni dégât. Leur apothéose étaient simentée de temps à autre par quelques arrestations auxquelles ils aspiraient pour renforcer encore plus leur publcité.
M. l'auteur de cet article, depuis l'aube de l'indépendance, les gouvernants ont commis beaucoups d'erreurs mais également fait d'excellente choses.D'ailleurs dans quelles circonstances a évolué le Maroc ? Des oppositions vérulentes à la fois de mouvance marxiste-léniniste et islamistes dont la plupart étaient de mêche avec l'étranger, le problème crée de toutes pièces et injuste du Sahara marocain, des territoires occupés encore à récupérés, manque de compétence en hommes et métériel...Alors pourquoi critiquer négativement à sens unique ? Votre hypocrisie se manifeste surtout lorsque vous conseillez à notre amie Dadia Yassilne d'avancer dans la voie tracée, le Maroc étant tout à fait prédisposé par ses crises économiques et le mécontentement général à assurer son succès. Il suffit de savoir où mettre le pas et tendre même la main aux gouvernants. Tous les moyens sont bons pour arriver à ses fins. Les marocains se réveillent. Ils ne se laisseront plus berner par les écrits ou la bonne parole. Ils exigent des faits. AOUABI
Assalam ,
91. Posté par Aouabi le 17/10/2007 14:50 LE MAKHZEN : LA CRISE DES ABSTENTIONS ( 70 % ) ET LA RECHERCHE DU GOUVERNEMENT LEGAL / POPULAIRE CHEZ LES PARTIS HISTORIQUES DE TRES FAIBLES VOIX (USFP , ISTIQLAL , etc. ) / PARTIS DE L'ADAGE MAROCAIN : " SAM HATTA 'AYA WA FTAR ALA JRANA " / PARTIS DES ANCIENS OPPOSANTS QUI CEDENT ENFIN DE COMPTE ET QUI S'APPLATISSENT BETEMENT DEVANT LE DICTATEUR Dans ce gouvernement du palais/ Abbas Alfassi ,le palais apres setre decu à cause de la colère du peuple du boycott ( AL ADL WAL IHSAN à leur tête ) , cherche de trouver la légitimité du gouvernement suivant la manipulation des degats de symboles du reste du mouvement national d'un côté , et suivant aussi le profil d'essayer de marginaliser les partis du palais , les partis administratifs ( Mouvement populaire , Al ahrar , etc. ) bien sûr en laissant une certaine marge à lui pour profiter de leurs cadres makhzeniens ( Mezwar ( alhrar ) ministre des finances comme exemple .. ) ... ET QUOI D'AUTRE , après tout ce.. " tkharbiq ? Fa lawla sibyanon roddaa wa kohoul rokkaa wa nissaon dhiâaf wa bohomon îjaf wa dâawaton fi-ssamai khariqat lahalla bilmaghariba yawmon yakono fi mostawa istihtari ALMAKHZEN bi dini llah wa bi ibadi llah .. WA LAQAD KANA LILMAKHZEN akbar bayan minallah fi intikhabat 7 sep. FI qodratihi ala tanghissihi ( sobhanaho ) li moradati al makhzen .. FA HAL MIN ROJOUE ? -------------------------------------------------------------------------------- 92. Posté par Aouabi le 21/10/2007 17:16 Assalamo aleikom, Des excuses à nos chers lecteurs Encore une fois j'aimerais présenter mes excuses à mes chers lecteurs concernant mes fautes comises dans mes commentairse - surtout d'expressions - ( le palais ( cherchait) après ... cherchait de trouver ..; (de) pour profiter ..; ( ala ) fi mostawa ..; etc. ) : _ parce que , généralement , j'écris en arabe plus qu' en français et nul dédain ( izdiraa ) vis-à-vis de nos chers lecteurs .. _ parce qu'aussi je commente parfois au cyber-café, sans préparation prédédante c.à.d. automatiquement et en m'y trouvant sans monaie avec moi pour continuer et me débarrasser des fautes ( souvent de frappe ,de faible traduction ou d'expression , etc. ) je quitte .. ; _ et puis il est rare que certains de nous vise écrire " la faute " - notamment d'idée - et s'ils vont l'écrire , ils vont la choisir sous " ce n'était qu'une précaution que Jacob avait jugé ; il avait pleine connaissance de ce que nous lui avions enseigné ";68- Yûsuf ( Joseph ) . Ils vont le faire aussi suivant , bien-sûr , le beau geste d'Al-Khadr qui a troué le navire des pauvres gens en cherchant à " duper " le roi parce qu'il savait precedemment et " mystiquement " que ce roi va violer tout navire passant devant lui en bon état ; 79 - Al-Khahf ( la caverne ) . De choses auprés de leur Dieu , Soient les prophètes , soient les pieux ; Vont tous le voir et de sa lumière , Certes , mais de degrés divers , De degrés divers en grade et en clairvoyance , On radote ? Jamais et nul doute à notre sens . ( Enfin , mes excuses aux poêtes cette fois parce qu'en général j'écris pas la poêsie et j'apprends peu de leurs règles ..) . AWABI , AL ADL WAL IHSAN sami
E CROIS QUE NADIA N A DIT QUE LA STRICTE VERITE CONCERNANT L ETAT PITEUX DU MAROC ON VA VRAIMENT DE BAS EN BAS DANS ABSOLUMENT TOUS LES DOMAINES LE PAYS EST SUR LE POINT D EXPLOSER C EST LE VERITABLE CHAOS ICI LES RICHES SE FONT PLUS RICHES ET PLUS FORT LES PAUVRES S APPAUVRISSENT .
ALLER PAR EXEMPLE JETER UN COUP D OEIL AU TRIBUNAL IL N YA QUE LES RICHES QUI GAGNENT TOUJOURS LES PROCES ,QUELLE COICIDENCE !!!! meme quand il sagit de meurtre ,moi j applaudis fortement ceux qui disent la vrai verite . vivent la republique et a bat la monarchie azizi laurent
Lorsque les romains décidérent de crucifier le Christ,Iil déclara "Dieu pardonnez leur ils ne savent pas ce qu'ils font.
En tant que franco-marocain,vivant dans les deux pays je medis que certains marocains,mes compatriotes au même titre que les français,ne savent pas que le Maroc comparé aux pays arabo-musulmans et africains est le meilleur,qu'il fait bon vivre au Maroc,que n'importe qu'il ssoit musulman,chretien,juif ou athé,berbére,arabe,noir ou blanc,hétéro sexuel ou homosexuel,peut circuler librement,vivre pleinement sa vie sans aucun probléme alors je dis solennellement à Mme toutes voiles dehors,ma copine de classe au Lycée Victor Hugo(Bac A) Nadia Yassine épouse Chbani d'arréter ses hypocrisies et si c'est le pouvoir qui l'intéresse elle n'a qu'a se présenter aux élections comme tout le monde,en lui rappelant que quatorze de ses illuminés d'al Adl lui ont faussé compagnie en se présentant aux parlement sous l'étiquette de ses amis du PJD. C'est bien la fille de son pére qui a poussé l'illumination jusqu'à ,annoncer dans un journal francophone que son aieul a été persécuté par le Roi Mohammed Trois pour l'empécher d'accéder à un Trône imaginaire d'EL Haouz et que c'est lui qui devrait être le Commandeur des Croyants et qu'il était prêt à partager le pouvoir avec un roi laic,à Yassine le clergé et le pouvoir religieux et au Roi le pouvoir politique. Très chére Nadia je te reproche les attentats du 16 mai 2003,je te reproche l'assassinat de la grande tolérance culturelle,cultuelle et ethnique du Maroc qui a fait beaucoup de jaloux,tu fais sans le savoir le lit de l'extremisme et en un mot tu fais honte aux valeurs de ton pays et à celle que la république a essayé en vain de t'inculquer durant ta très moyenne scolarité au lycée Victor Hugo,cette même république française qui reconnait qu'au Maroc on est mieux que partout ailleurs dans la zone MENA. aouabi
salam si azizi ,
cher azizi vaut mieux garder tes insultes ... et si c nadia yassine l'intellect. qui t'intéresse tu n'a qu'à tenter ta chance parmis les oppos. les plus intellig ou ds les classes des 40 nouvelles" stars" du makhzen comme prefer les nommer le journal hebdo :chakib benmoussa,ali lhimma, chraibi,mo3tassim,... les 40 etc etc. (En fait c nadia yassine qui devrait te répondre à tes...,ou peut etre qu'elle ne trouve pas toujours de temp pr. repondre à des "pour"que de le gaspiller avec les moins intellig...). Et en qq.lignes et réponse à tes jugements les plus..."exploités" fton comm.qui st. en bref comme tu les preten: notre culpabilité fles attentas du 16 mai 2003 , fl'assassinat de la tolérence cultur du Maroc et fle lit de l'extrémism ,etc etc ..,je dis azizi que tu était trés loin de la réalité, de l'attenta par exemple,de l'analyse scientifikici et ailleurs;cett etude qui exige la preuve chez les magistra fles jugements contre la JS et y'en a pas...tu y étais loin aussi de l'etude scientifique qui oblige une chronologie de la vie politik des 14 illuminés d'al adl que tu pretends qu'ils ns ont fausses compagnie en se présentant au parlement,qui fait preuve à tes ..." exploit." et qui montre kil y a parmis les députés islamistes du PJD 14 adlistes. Cher laurent tu dis qu'il fait bon vivre au maroc que n'importe..comment et où ça ? qu'il fait bon vivre au maroc qu'ailleurs ,fles differences sociales entre une minorité darchimilliard. et et et qui domine tt, et entre une majorité de marocains chômeurs,malades et ignorants; ou qu'il fait bon vivre au maroc kailleur fles droits de l'homme avec ces discenies de plomb ou fla bien maquillee de" la nouvelle ere " ou encore qu'il fait bon vivre au maroc en voyant les libertes d1maroc makhzenienagressif ,des agressions fdes commissariat de bournazel de casa contre des femmes de la JS d'aladl et contre le bebe fl'uterus de la femme..??? Tu sais, V.Hugo s'il se trouvait avec ns aprés ce qu'il avu ds son tambeau,il va ns lancer que celui qui merite gouverner les humains pr leur bien ,cesont pas les laics (qui cherchent juste pour aider l'humain 00000contre le mal de la fain,de la maladie et celui de lignorance d'ici-bas,comparé aux prophetes avant ou aux pieux maintenant qui cherhent à laider non pas contre le mal de la fain d'ici-bas mais contre aussi le mal de la fain de l'autre vie, et àlaider pour son niveau de l'autre vie...). Et malgré cette verite eternell, ns avons lance pas mal de fois fnos ecrits qu'il faut laisser le peuple choisir en tt liberté ses gouvernants et que si nous perdons fle choix dialo nous retournerons à nos postes comme tt perdant ,à l'éduquer jusqu'à ce qu'il choisirait a travers nous Dieu et pas nous ,à ce qu'il choisirait à l'aide de nos connaisseurs sa place et son niveau eternel( 1niveau qui ne serait connu fla plus part du ten que par "hassat l'ihsan"/une sensation de l'ihsan,à'laide de la lumière de DIEU ( ...yara binouri lah!),qu'ell soit à soi-même,un don et1"maqam",ou serait informé par le prophète ou les ouleas d'"hassat l'ihsan" ).. awabi le 27 avril 2008 -JS Alami mehdi
Mr.Laurent,
Nous soutenons les propos de Nadia Yacine avec le soutien de SAR le prince Moulay Hicham, nous ne voulons pas de gouvérnement à l'Europénne, celui de certains dont les méres sont françaises et on en connait.......! Les véritables violations des droits de l'homme et de la constitution constituent maintenant les années de magnétisme et non de plomb, allez voir Raoul yacoubi et Othmani bourreaux charcutiers avec son énorme comprésseur à flux magnétique qui vous fait réspirer à distance le magnétisme au lieu de l'air libre, la région de casablanca est devenue irréspirable...! voir google un veritable procés de Nuremberg à faire à casablanca contre Said Benbiga et Othmani aux carriéres centrales et casa-anfa , lieu de subversion contre le régime même de SAM le roi Mohammed VI , cible des sionistes comme SAR le prince moulay Hicham a déclaré être objet de complot par le service de renseignement (aricle Bladi.net ) gwetyable
Nadia est une pisseuse transgénique sous cellophane dont le verbe est périmée depuis belle lurette.La masturbation intellectuelle ne nourrit plus sa femme.
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