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Mercredi 6 Août
Ci-dessous, le communiqué d'un ami (que j'affectionne particulièrement) qui s'est fait agresser par des types qui se qualifient de "nazis".
Les médias n'en ont pas parlé c'est la raison pour laquelle, nous nous mobilisons pour que cette info soit communiquée au maximum de personnes. N'hésitez pas à faire du copier coller et l'envoyer à tous vos contacts.
Merci
Un musulman français gravement blessé
par deux jeunes se disant « nazis »
Guyancourt, le 4 août 2008
Je m’appelle Nouredine RACHEDI. Je suis Français, né en France, de confession
musulmane. Titulaire d’un DESS de l’Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines en traitement de l’information et exploitation de données, je travaille actuellement, en CDI, comme chargé d’études statistiques dans une entreprise de gestion de relations client. (Je ne donne pas ici le nom de mon entreprise uniquement parce que j’ai peur qu’ainsi mes agresseurs puissent me retrouver.)
Dans la nuit du jeudi 24 juillet au vendredi 25 juillet, un peu après minuit, en rentrant chez moi à Guyancourt (78280), j’ai été violemment agressé par deux jeunes de type dit
« européen ».
Ces deux jeunes m’ont d’abord demandé si j’étais musulman. Ayant reçu ma réponse
affirmative, ils se sont eux-mêmes identifiés comme étant des « nazis », avant de me rouer brutalement de coups de poing et de pieds, à la tête et au corps.
Par suite de cette agression, les médecins de l’Unité Médico-Légal des Yvelines m’ont
reconnu une incapacité totale de travail (I.T.T.) de 21 jours. Sur le plan psychologique, je n’arrête pas de repasser dans ma tête ce qui m’est arrivé.
J’ai très peur que mes agresseurs me retrouvent, mais je ne veux pas que cette agression reste impunie.
J’ai porté plainte contre mes agresseurs, le 25 juillet, au commissariat de Guyancourt. Elle a été enregistrée par les policiers comme une plainte pour « violences volontaires aggravées (en réunion) ».
Les policiers, malgré ma demande expresse, ont, pour le moment, manqué de constater
officiellement le caractère raciste de cette agression dans leur qualification du délit, qui
figure à l’en-tête de leur procès-verbal.
Pourtant, ce motif raciste constitue, juridiquement, une autre circonstance aggravante des violences, tout comme le fait qu’elles ont été commises « en réunion ».
Je tiens à faire reconnaître que j’ai été agressé pour des motifs racistes, en tant que
musulman.
Au commissariat, les policiers m’ont montré les photos d’une centaine de personnes. J’ai pu ainsi identifier formellement l’un de mes agresseurs, dont les policiers connaissent le nom.
Je me permets, en ce qui suit, de donner un récit plus détaillé de ce que j’ai vécu et ce que je vis.
Comme je l’ai dit, je réside à Guyancourt (78280). Le vendredi 25 juillet 2008, à 0h17, j’ai pris le train à la Défense pour rentrer chez moi. Je suis descendu vers 0h45 à la gare de Saint- Quentin-en-Yvelines, qui est la plus proche de mon appartement.
Devant rentrer à pied chez moi, j’ai décidé de couper par le parc du campus de l’université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines.
C'est alors que j’ai croisé deux individus qui m’ont accosté pour me demander une cigarette.
Je leur ai expliqué qu'il me serait difficile de leur en donner, car il ne m'en restait presque plus.
Le premier s’est alors approché de moi et m’a demandé si j’étais musulman. Ce à quoi j’ai répondu « oui ».
Il m’a ensuite demandé depuis combien de temps j’étais en France. Je lui ai répondu que j’étais né en France et que j’y avais toujours vécu.
Rendu inquiet par ses questions, je lui ai demandé pourquoi il voulait savoir tout cela.
Le second individu s’est alors approché de moi et m’a répondu « Parce que nous sommes des nazis ».
Il m’a demandé ensuite ce que je pensais de l’état de la Yougoslavie.
[Je rappelle que cet incident a eu lieu seulement quelques jours après l’arrestation le 21 juillet, à Belgrade, de Radovan Karadzic, responsable pour le meurtre de milliers de musulmans en Bosnie pendant la guerre en l’ex-Yougoslavie.]
J’ai évité de répondre à cette question, et j’ai dit : « On ne se connaît pas, je suis fatigué, je veux rentrer chez moi. De toute façon, vous avez envie de me casser la gueule, c’est ça ? ».
« C’est possible », m’a-t-il dit « Mais que penses-tu de ce qui se passe en Yougoslavie ? ».
J’ai répondu que je ne savais pas. Soudainement, le premier d'entre eux m’a porté un violent coup de poing au visage. Je suis tombé à terre, et là tous deux ont commencé à m’asséner de nombreux coups de pied sur tout le corps et à la tête.
Je me suis protégé comme je pouvais, en m’allongeant sur le côté droit, recroquevillé sur moimême, avec mes mains me couvrant la poitrine.
Tout s’est passé très vite, dans une minute ou moins. Toujours par terre, j’ai entendu l’un d’eux dire : « C’est bon, on se casse ».
Quand ils sont partis, je me suis relevé avec difficulté. J’avais le visage complètement en sang et tout mon corps me faisait très mal.
Craignant qu'ils ne reviennent, j’ai couru, aussi vite que je pouvais vu mon état, jusqu’au
boulevard Beethoven, une avenue éclairée qui se trouve juste derrière le parc.
J’ai utilisé mon portable pour téléphoner aux « 112 », et j’ai expliqué que j’avais été victime d’une agression et que j’étais blessé.
Les sapeurs-pompiers sont arrivés dans une vingtaine de minutes, avec une ambulance et accompagnés d’une voiture de police. Les policiers m’ont très brièvement parlé, avant que les sapeurs-pompiers ne me transportent rapidement aux urgences.
Comme je l’ai déjà dit, vers midi le même jour, le 25 juillet 2008, je me suis présenté au
commissariat du Guyancourt afin de porter plainte contre mes agresseurs.
J’ai pu identifier l’un de ceux-ci sur une photographie que m’ont montrée les policiers.
Les policiers ont bien noté dans leur procès-verbal que mes agresseurs m’avaient demandé si j’étais musulman et ce que je pensais de la situation en Yougoslavie, ainsi que le fait qu’ils se sont eux-mêmes identifiés comme étant des « nazis ». Les policiers ont néanmoins manqué, pour le moment, de qualifier l’agression comme raciste, se limitant à décrire l’infraction comment étant de « violences volontaires aggravées en réunion ».
Suite à ma déposition, les policiers m’ont envoyé à l’Unité Médico-Légal des Yvelines pour un examen médical.
Le médecin, qui m’a examiné le 27 juillet 2008, m’a reconnu une incapacité totale de travail (I.T.T.) de 21 jours, sous réserve de complications ultérieures imprévisibles.
Selon son certificat, parfois difficilement lisible, le médecin a constaté, entre autres lésions :
Examens et retentissement fonctionnel :
• Hématome en cocarde de l’oeil droit avec hémorragie sous orbitale de l’angle
externe de l’oeil.
• Plaies du crâne :
1) Plaie frontale de 3 cm - 3 agrafes ;
2) Plaie pariétale de 2 cm – 2 agrafes.
• Contusion temporale droite avec dermabrasion – Pas de retentissement sur
l’ouverture buccale.
• Douleur à la palpation des 4e, 5e, 6e cotes, majorée à l’inspiration – Limitation de la
rotation du rachis dorsal et de flexion extension du thorax – Auscultation =
diminution murmure […] du sommet pulmonaire gauche.
• Hématome en voie d’amendement de l’épaule droite sans gêne fonctionnelle.
• Ecchymose de 2 cm x 2 cm du bras droit.
Radiographies :
• Rx thorax = pneumothorax du sommet gauche – Lésions costales non visibles.
• Rx contrôle = grill costal à refaire.
À présent, les gestes usuels tels que s’asseoir, se relever ou s’allonger me demandent toujours des efforts pénibles.
Je me sens encore très choqué par l’agression. Je n’arrête pas d’y penser et de me repasser le film dans ma tête.
Malgré mes peurs, je suis très attaché à ce que mes agresseurs « nazis » ne restent pas impunis et que le caractère raciste de cette agression soit reconnu.
Les médias n'en ont pas parlé c'est la raison pour laquelle, nous nous mobilisons pour que cette info soit communiquée au maximum de personnes. N'hésitez pas à faire du copier coller et l'envoyer à tous vos contacts.
Merci
Un musulman français gravement blessé
par deux jeunes se disant « nazis »
Guyancourt, le 4 août 2008
Je m’appelle Nouredine RACHEDI. Je suis Français, né en France, de confession
musulmane. Titulaire d’un DESS de l’Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines en traitement de l’information et exploitation de données, je travaille actuellement, en CDI, comme chargé d’études statistiques dans une entreprise de gestion de relations client. (Je ne donne pas ici le nom de mon entreprise uniquement parce que j’ai peur qu’ainsi mes agresseurs puissent me retrouver.)
Dans la nuit du jeudi 24 juillet au vendredi 25 juillet, un peu après minuit, en rentrant chez moi à Guyancourt (78280), j’ai été violemment agressé par deux jeunes de type dit
« européen ».
Ces deux jeunes m’ont d’abord demandé si j’étais musulman. Ayant reçu ma réponse
affirmative, ils se sont eux-mêmes identifiés comme étant des « nazis », avant de me rouer brutalement de coups de poing et de pieds, à la tête et au corps.
Par suite de cette agression, les médecins de l’Unité Médico-Légal des Yvelines m’ont
reconnu une incapacité totale de travail (I.T.T.) de 21 jours. Sur le plan psychologique, je n’arrête pas de repasser dans ma tête ce qui m’est arrivé.
J’ai très peur que mes agresseurs me retrouvent, mais je ne veux pas que cette agression reste impunie.
J’ai porté plainte contre mes agresseurs, le 25 juillet, au commissariat de Guyancourt. Elle a été enregistrée par les policiers comme une plainte pour « violences volontaires aggravées (en réunion) ».
Les policiers, malgré ma demande expresse, ont, pour le moment, manqué de constater
officiellement le caractère raciste de cette agression dans leur qualification du délit, qui
figure à l’en-tête de leur procès-verbal.
Pourtant, ce motif raciste constitue, juridiquement, une autre circonstance aggravante des violences, tout comme le fait qu’elles ont été commises « en réunion ».
Je tiens à faire reconnaître que j’ai été agressé pour des motifs racistes, en tant que
musulman.
Au commissariat, les policiers m’ont montré les photos d’une centaine de personnes. J’ai pu ainsi identifier formellement l’un de mes agresseurs, dont les policiers connaissent le nom.
Je me permets, en ce qui suit, de donner un récit plus détaillé de ce que j’ai vécu et ce que je vis.
Comme je l’ai dit, je réside à Guyancourt (78280). Le vendredi 25 juillet 2008, à 0h17, j’ai pris le train à la Défense pour rentrer chez moi. Je suis descendu vers 0h45 à la gare de Saint- Quentin-en-Yvelines, qui est la plus proche de mon appartement.
Devant rentrer à pied chez moi, j’ai décidé de couper par le parc du campus de l’université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines.
C'est alors que j’ai croisé deux individus qui m’ont accosté pour me demander une cigarette.
Je leur ai expliqué qu'il me serait difficile de leur en donner, car il ne m'en restait presque plus.
Le premier s’est alors approché de moi et m’a demandé si j’étais musulman. Ce à quoi j’ai répondu « oui ».
Il m’a ensuite demandé depuis combien de temps j’étais en France. Je lui ai répondu que j’étais né en France et que j’y avais toujours vécu.
Rendu inquiet par ses questions, je lui ai demandé pourquoi il voulait savoir tout cela.
Le second individu s’est alors approché de moi et m’a répondu « Parce que nous sommes des nazis ».
Il m’a demandé ensuite ce que je pensais de l’état de la Yougoslavie.
[Je rappelle que cet incident a eu lieu seulement quelques jours après l’arrestation le 21 juillet, à Belgrade, de Radovan Karadzic, responsable pour le meurtre de milliers de musulmans en Bosnie pendant la guerre en l’ex-Yougoslavie.]
J’ai évité de répondre à cette question, et j’ai dit : « On ne se connaît pas, je suis fatigué, je veux rentrer chez moi. De toute façon, vous avez envie de me casser la gueule, c’est ça ? ».
« C’est possible », m’a-t-il dit « Mais que penses-tu de ce qui se passe en Yougoslavie ? ».
J’ai répondu que je ne savais pas. Soudainement, le premier d'entre eux m’a porté un violent coup de poing au visage. Je suis tombé à terre, et là tous deux ont commencé à m’asséner de nombreux coups de pied sur tout le corps et à la tête.
Je me suis protégé comme je pouvais, en m’allongeant sur le côté droit, recroquevillé sur moimême, avec mes mains me couvrant la poitrine.
Tout s’est passé très vite, dans une minute ou moins. Toujours par terre, j’ai entendu l’un d’eux dire : « C’est bon, on se casse ».
Quand ils sont partis, je me suis relevé avec difficulté. J’avais le visage complètement en sang et tout mon corps me faisait très mal.
Craignant qu'ils ne reviennent, j’ai couru, aussi vite que je pouvais vu mon état, jusqu’au
boulevard Beethoven, une avenue éclairée qui se trouve juste derrière le parc.
J’ai utilisé mon portable pour téléphoner aux « 112 », et j’ai expliqué que j’avais été victime d’une agression et que j’étais blessé.
Les sapeurs-pompiers sont arrivés dans une vingtaine de minutes, avec une ambulance et accompagnés d’une voiture de police. Les policiers m’ont très brièvement parlé, avant que les sapeurs-pompiers ne me transportent rapidement aux urgences.
Comme je l’ai déjà dit, vers midi le même jour, le 25 juillet 2008, je me suis présenté au
commissariat du Guyancourt afin de porter plainte contre mes agresseurs.
J’ai pu identifier l’un de ceux-ci sur une photographie que m’ont montrée les policiers.
Les policiers ont bien noté dans leur procès-verbal que mes agresseurs m’avaient demandé si j’étais musulman et ce que je pensais de la situation en Yougoslavie, ainsi que le fait qu’ils se sont eux-mêmes identifiés comme étant des « nazis ». Les policiers ont néanmoins manqué, pour le moment, de qualifier l’agression comme raciste, se limitant à décrire l’infraction comment étant de « violences volontaires aggravées en réunion ».
Suite à ma déposition, les policiers m’ont envoyé à l’Unité Médico-Légal des Yvelines pour un examen médical.
Le médecin, qui m’a examiné le 27 juillet 2008, m’a reconnu une incapacité totale de travail (I.T.T.) de 21 jours, sous réserve de complications ultérieures imprévisibles.
Selon son certificat, parfois difficilement lisible, le médecin a constaté, entre autres lésions :
Examens et retentissement fonctionnel :
• Hématome en cocarde de l’oeil droit avec hémorragie sous orbitale de l’angle
externe de l’oeil.
• Plaies du crâne :
1) Plaie frontale de 3 cm - 3 agrafes ;
2) Plaie pariétale de 2 cm – 2 agrafes.
• Contusion temporale droite avec dermabrasion – Pas de retentissement sur
l’ouverture buccale.
• Douleur à la palpation des 4e, 5e, 6e cotes, majorée à l’inspiration – Limitation de la
rotation du rachis dorsal et de flexion extension du thorax – Auscultation =
diminution murmure […] du sommet pulmonaire gauche.
• Hématome en voie d’amendement de l’épaule droite sans gêne fonctionnelle.
• Ecchymose de 2 cm x 2 cm du bras droit.
Radiographies :
• Rx thorax = pneumothorax du sommet gauche – Lésions costales non visibles.
• Rx contrôle = grill costal à refaire.
À présent, les gestes usuels tels que s’asseoir, se relever ou s’allonger me demandent toujours des efforts pénibles.
Je me sens encore très choqué par l’agression. Je n’arrête pas d’y penser et de me repasser le film dans ma tête.
Malgré mes peurs, je suis très attaché à ce que mes agresseurs « nazis » ne restent pas impunis et que le caractère raciste de cette agression soit reconnu.
Qui suis-je ?
Malika K.
Bonjour,
afin de nous mettre, tous en relation pour discuter des nouvelles de malika K, je vous propose de nous rejoindre sur
www.Facebook.com
Pour cela, vous pouvez me communiquer votre mail pour que je puisse vous envoyer une invitation.
malika@takaclic.fr
A bientôt
-----------------------
Malika :
--------
a fait des études sup mais ça ne l’empêche pas de faire de grosses fautes d’orthographe
est née, en banlieue parisienne, en 1978 et est originaire du Maghreb
manage une équipe de 10 personnes dans une grosse boîte américaine
est très complice avec sa copine Stéphanie
possède une vieille voiture, année 85
est une fille ordinaire, avec une vie ordinaire
est toujours obligée de se justifier et expliquer qu’elle n’est pas une femme battue par ses frères et qu’elle n’est pas une fille soumise
n’aime pas Fadéla Amara, responsable de ce qui est cité ci-dessus
espère qu’un jour Word, reconnaîtra les prénoms maghrébins
cherche l’homme parfait.
Les parents de Malika sont :
--------------------------------
arrivés dans les années 60
n’égorgent pas le mouton dans la baignoire
ne force pas Malika à se marier
ne profite pas de l’économie souterraine
ne perçoivent plus les allocations familiales
n’ont jamais dégagés d’odeur
ont donné cinq enfants à la France
Ses frères :
-------------
sont compréhensifs
sont d’accord avec « il est interdit d’interdire »
ne vendent pas de la drogue
travaillent et gagnent bien leur vie
ne se plaignent pas des impôts qui les ruinent, ils comprennent que c’est le retour sur investissement des allocations familiales perçues pas leurs parents quand ils étaient mômes
sont toujours obligés de se justifier et expliquer qu’ils ne sont pas des Méchants
détestent Malek Boutih, responsable de ce qui est cité ci-dessus
L’auteur :
----------
issue d’une famille de 13 enfants (elle est placée en 7ème position)
études sup scientifiques.
loisirs : écriture, cinoche, sports et tout et tout
n’a pas reçu le droit d’utiliser le nom de Meetic pour sa pièce de théâtre : « Meetic Instinct »
s’en fiche parce quelle a trouvé un titre, beaucoup mieux : « un mythomane, des mythowoman’s »
afin de nous mettre, tous en relation pour discuter des nouvelles de malika K, je vous propose de nous rejoindre sur
www.Facebook.com
Pour cela, vous pouvez me communiquer votre mail pour que je puisse vous envoyer une invitation.
malika@takaclic.fr
A bientôt
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Malika :
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a fait des études sup mais ça ne l’empêche pas de faire de grosses fautes d’orthographe
est née, en banlieue parisienne, en 1978 et est originaire du Maghreb
manage une équipe de 10 personnes dans une grosse boîte américaine
est très complice avec sa copine Stéphanie
possède une vieille voiture, année 85
est une fille ordinaire, avec une vie ordinaire
est toujours obligée de se justifier et expliquer qu’elle n’est pas une femme battue par ses frères et qu’elle n’est pas une fille soumise
n’aime pas Fadéla Amara, responsable de ce qui est cité ci-dessus
espère qu’un jour Word, reconnaîtra les prénoms maghrébins
cherche l’homme parfait.
Les parents de Malika sont :
--------------------------------
arrivés dans les années 60
n’égorgent pas le mouton dans la baignoire
ne force pas Malika à se marier
ne profite pas de l’économie souterraine
ne perçoivent plus les allocations familiales
n’ont jamais dégagés d’odeur
ont donné cinq enfants à la France
Ses frères :
-------------
sont compréhensifs
sont d’accord avec « il est interdit d’interdire »
ne vendent pas de la drogue
travaillent et gagnent bien leur vie
ne se plaignent pas des impôts qui les ruinent, ils comprennent que c’est le retour sur investissement des allocations familiales perçues pas leurs parents quand ils étaient mômes
sont toujours obligés de se justifier et expliquer qu’ils ne sont pas des Méchants
détestent Malek Boutih, responsable de ce qui est cité ci-dessus
L’auteur :
----------
issue d’une famille de 13 enfants (elle est placée en 7ème position)
études sup scientifiques.
loisirs : écriture, cinoche, sports et tout et tout
n’a pas reçu le droit d’utiliser le nom de Meetic pour sa pièce de théâtre : « Meetic Instinct »
s’en fiche parce quelle a trouvé un titre, beaucoup mieux : « un mythomane, des mythowoman’s »
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