Xavier Darcos, ministre de l'Education nationale
L'Education nationale compte 1 115 000 fonctionnaires, et selon le ministre Xavier Darcos, elle "représente à peu près la moitié de la fonction publique", et "participera pour moitié à l'allègement de 22.700 suppressions de postes dans l'Etat l'an prochain", en 2008.
"On ne manque pas de professeurs" a ssuré M. Darcos à Paris-Match, estimant que "c'est leur répartition qui pose problème". Il y a "83 enseignants pour 1.000 élèves dans le secondaire, contre 66 en Allemagne et 60 au Royaume-Uni" a précisé le ministre qui ajoute que "500 professeurs d'allemand" sont "sans élève".
Selon une source syndicale, "11 200 postes seraient supprimés, soit 9 800 dans le public et 1 400 dans l'enseignement privé". Dans le détail, ce sont les enseignants qui seront le plus touchés par ces suppressions, car sur les 9 800 emplois non remplacés dans le public, seuls 400 fonctionnaires administratifs, sur un total de 285 000, ne seront pas remplacés.
"On ne manque pas de professeurs" a ssuré M. Darcos à Paris-Match, estimant que "c'est leur répartition qui pose problème". Il y a "83 enseignants pour 1.000 élèves dans le secondaire, contre 66 en Allemagne et 60 au Royaume-Uni" a précisé le ministre qui ajoute que "500 professeurs d'allemand" sont "sans élève".
Selon une source syndicale, "11 200 postes seraient supprimés, soit 9 800 dans le public et 1 400 dans l'enseignement privé". Dans le détail, ce sont les enseignants qui seront le plus touchés par ces suppressions, car sur les 9 800 emplois non remplacés dans le public, seuls 400 fonctionnaires administratifs, sur un total de 285 000, ne seront pas remplacés.
Dans la même interview, Xavier Darcos a estimé qu'un "professeur doit être respecté comme un officier de police ou un magistrat", car il "a réussi des concours parfois aussi ardus que ceux de l'Ecole nationale de la magistrature et son autorité est la condition de toute transmission du savoir".
"Que les élèves soient mis en rang deux par deux ou se lèvent à l'arrivée de leurs professeurs, c'est indispensable", et "il n'y a pas besoin de décrets pour cela mais les professeurs peuvent compter sur mon soutien" a-t-il ajouté.
"Que les élèves soient mis en rang deux par deux ou se lèvent à l'arrivée de leurs professeurs, c'est indispensable", et "il n'y a pas besoin de décrets pour cela mais les professeurs peuvent compter sur mon soutien" a-t-il ajouté.