Les musulmans demeurent malheureusement les premières victimes du terrorisme dans le monde, en témoignent les nombreuses attentats qui ensanglantent des pays musulmans. Une attaque perpétrée lundi 2 novembre sur le campus de l’université de Kaboul, en Afghanistan, a fait 35 morts, des étudiants pour la plupart. Au moins une cinquantaine de blessés ont également été recensés.
L'attentat a été revendiqué par Daesh. Trois assaillants ont fait irruption dans l’établissement en fin de matinée et ont ouvert le feu « dans toutes les directions pendant six heures », rapporte Courrier International. Les terroristes semblaient toutefois cibler le département de droit de l’université en particulier, selon la presse locale.
Selon un porte-parole du ministère de l’Enseignement supérieur, des responsables gouvernementaux arrivaient sur le campus pour inaugurer une foire du livre iranien lorsque les tirs ont commencé. Dans un communiqué diffusé par son agence de propagande Amaq, l’organisation terroriste a affirmé que « deux combattants de l’Etat Islamique ont réussi à lancer une attaque lors d’un évènement organisé par le gouvernement afghan » afin de viser « des juges et des enquêteurs venant de terminer une formation ».
Face à l’effroi général engendré par ce deuxième acte de violence commis contre un établissement éducatif en moins de dix jours et qui avait alors fait plusieurs dizaines de morts, Ashraf Ghani, le président du pays, a présenté ses sincères condoléances aux familles des victimes et a décrété un jour de deuil national. Pour rendre hommage aux victimes tués dans la plus ancienne université du pays fréquentée par 17 000 étudiants, il a « ordonné que les drapeaux restent en berne mardi 3 novembre, y compris dans toutes les représentations diplomatiques à travers le monde ».
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Au Pakistan et en Afghanistan, des attentats contre des mosquées tuent en plein Ramadan
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Selon un porte-parole du ministère de l’Enseignement supérieur, des responsables gouvernementaux arrivaient sur le campus pour inaugurer une foire du livre iranien lorsque les tirs ont commencé. Dans un communiqué diffusé par son agence de propagande Amaq, l’organisation terroriste a affirmé que « deux combattants de l’Etat Islamique ont réussi à lancer une attaque lors d’un évènement organisé par le gouvernement afghan » afin de viser « des juges et des enquêteurs venant de terminer une formation ».
Face à l’effroi général engendré par ce deuxième acte de violence commis contre un établissement éducatif en moins de dix jours et qui avait alors fait plusieurs dizaines de morts, Ashraf Ghani, le président du pays, a présenté ses sincères condoléances aux familles des victimes et a décrété un jour de deuil national. Pour rendre hommage aux victimes tués dans la plus ancienne université du pays fréquentée par 17 000 étudiants, il a « ordonné que les drapeaux restent en berne mardi 3 novembre, y compris dans toutes les représentations diplomatiques à travers le monde ».
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