Face à la résurgence d’attaques terroristes dans le pays, 100 000 personnes, en majorité des imams et prêcheurs musulmans, ont battu le pavé, jeudi 6 avril à Dacca, capitale du Bangladesh.
Selon les organisateurs, cette marche avait pour but de protester contre « la prise de pouvoir » de l’extrémisme religieux. Mohammed bin Naser Al Khujaim, l'un des deux hauts responsables religieux saoudiens venus de La Mecque pour l’occasion, a déclaré qu’ « il n'y a pas de place pour la terreur et l'extrémisme dans l'islam ».
Le mois dernier, les autorités bangladaises ont mené plusieurs raids au cours desquels une vingtaine d’extrémistes présumés ont péri. Ces opérations se multiplient depuis la prise d’otages d’un café de Dacca qui a coûté la vie à 22 personnes en été 2016. L’Etat islamique avait revendiqué l’attaque tout comme d’autres ensuite, notamment une tentative d’attentat-suicide raté vendredi 24 mars à l’aéroport international de Dacca.
Le gouvernement de la Première ministre Sheikh Hasina est contesté par la Jamayetul Mujahideen Bangladesh (JMB), une organisation islamiste radicale, responsable d’attaques mortelles contre les minorités religieuses et étrangères. La chef du gouvernement a appelé, lors de cette marche, les pays musulmans à lancer une campagne commune contre l'extrémisme au nom de l'islam.
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