Sur le vif
Jacques Chirac est venu dans le "chaudron" de Saint-Etienne apporter "les chaleureux encouragements de tous les Français" à l'équipe de France, qui affronte mercredi soir la Chine dans un dernier match de préparation avant le Mondial-2006 de football en Allemagne.
"Je suis venu apporter tout simplement mon soutien à l'équipe de France et surtout les chaleureux encouragements de tous les Français et de toutes les Françaises", a dit le chef de l'Etat à la presse.
"C'est une belle équipe de France qui a su allier à la fois la sagesse, la compétence et l'expérience des grands anciens et aussi le dynamisme des jeunes sélectionnés, la spontanéité", a assuré M. Chirac.
"J'ai tout à fait confiance, et je pense que sous l'impulsion de son capitaine Zinédine Zidane, notre équipe peut donner le meilleur", a-t-il souligné. "En tout cas ce qui est sûr, c'est qu'elle est soutenue par l'ensemble des Français et que nous l'aimons", a-t-il dit.
Interrogé pour savoir s'il avait réservé sa place pour la finale le 9 juillet, le président de la République a répondu: "naturellement". "Le seul problème c'est de savoir si c'est l'Allemagne ou le Brésil qui sera contre la France", a ajouté Jacques Chirac.
L'ultime match de préparation de l'équipe de France contre la Chine, au stade Geoffroy-Guichard à Saint-Etienne, devait permettre aux Bleus de se mettre en configuration Coupe du monde, avec sur le terrain les onze joueurs qui devaient débuter le tournoi contre la Suisse, avant que Djibril Cissé ne se blesse à la 10e minute sur un tacle.
Auparavant, il avait rencontré dans un gymnase quelque 200 jeunes footballeurs distingués pour leur fair-play. Il les a encouragés à porter le bracelet "Unit'aid", une opération lancée par la FIFA pendant le Mondial pour soutenir la campagne d'achats de médicaments pour lutter contre le sida, la malaria et la tuberculose dans les pays pauvres.
A l'issue de la rencontre, Jacques Chirac devait remettre ce bracelet rouge à tous les joueurs de l'équipe de France, à l'image des Brésiliens qui portent eux aussi cette marque de solidarité.
La France et le Brésil sont les principaux promoteurs de la taxe sur les billets d'avion, qui entrera le 1er juillet en vigueur sur le territoire national, pour financer l'achat de médicaments.
Avant la rencontre, M. Chirac a également rencontré à huis clos les élus de Saint-Etienne et de la région.
"Je suis venu apporter tout simplement mon soutien à l'équipe de France et surtout les chaleureux encouragements de tous les Français et de toutes les Françaises", a dit le chef de l'Etat à la presse.
"C'est une belle équipe de France qui a su allier à la fois la sagesse, la compétence et l'expérience des grands anciens et aussi le dynamisme des jeunes sélectionnés, la spontanéité", a assuré M. Chirac.
"J'ai tout à fait confiance, et je pense que sous l'impulsion de son capitaine Zinédine Zidane, notre équipe peut donner le meilleur", a-t-il souligné. "En tout cas ce qui est sûr, c'est qu'elle est soutenue par l'ensemble des Français et que nous l'aimons", a-t-il dit.
Interrogé pour savoir s'il avait réservé sa place pour la finale le 9 juillet, le président de la République a répondu: "naturellement". "Le seul problème c'est de savoir si c'est l'Allemagne ou le Brésil qui sera contre la France", a ajouté Jacques Chirac.
L'ultime match de préparation de l'équipe de France contre la Chine, au stade Geoffroy-Guichard à Saint-Etienne, devait permettre aux Bleus de se mettre en configuration Coupe du monde, avec sur le terrain les onze joueurs qui devaient débuter le tournoi contre la Suisse, avant que Djibril Cissé ne se blesse à la 10e minute sur un tacle.
Auparavant, il avait rencontré dans un gymnase quelque 200 jeunes footballeurs distingués pour leur fair-play. Il les a encouragés à porter le bracelet "Unit'aid", une opération lancée par la FIFA pendant le Mondial pour soutenir la campagne d'achats de médicaments pour lutter contre le sida, la malaria et la tuberculose dans les pays pauvres.
A l'issue de la rencontre, Jacques Chirac devait remettre ce bracelet rouge à tous les joueurs de l'équipe de France, à l'image des Brésiliens qui portent eux aussi cette marque de solidarité.
La France et le Brésil sont les principaux promoteurs de la taxe sur les billets d'avion, qui entrera le 1er juillet en vigueur sur le territoire national, pour financer l'achat de médicaments.
Avant la rencontre, M. Chirac a également rencontré à huis clos les élus de Saint-Etienne et de la région.
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