Les musulmans de Clamart, en région parisienne, ont été expulsés fin septembre de leur préfabriqué qui leur servait de salle de prière, sur décision de justice en faveur du propriétaire, un gestionnaire immobilier qui souhaitait reprendre la main sur le terrain.
Depuis neuf ans, l'Association des Musulmans de Clamart (AMC) bénéficiait en effet d'un local accordé « à titre gracieux » après signature d'une convention avec la mairie. Cette convention, qui a pris fin en 2009, était « reconduite tacitement chaque année », nous expliquait alors Kamal Chemini, le président de l'AMC, en août dernier.
Depuis leur expulsion, les musulmans n’ont d’autres choix que d’aller dans les mosquées des villes avoisinantes comme Châtenay-Malabry, Boulogne ou Issy-les-Moulineaux, tous situées dans les Hauts-de-Seine. Des fidèles ont carrément fait le choix de prier dans la rue, à Clamart même, particulièrement lors de la prière collective du vendredi. Face à une situation aussi inconfortable, l’association redouble d’activité pour achever la construction de la mosquée qu’elle espère terminer courant avril 2014. « Le gros œuvre est terminé. Nous entamons les aménagements intérieurs. L'urgence est d'aménager les salles de prières », nous a-t-on indiqué début décembre.
Reste encore à collecter 210 000 € sur les 750 000 € nécessaires pour les travaux de cet espace, partie intégrante du futur centre qui s’étalera à terme sur un espace de 1 500m² mais qui coûte au total 3,5 millions d'euros. Pour les y aider et rassurer dans le même temps les donateurs, l’AMC a réalisé une vidéo pour exposer un bilan de mi-parcours auprès des internautes et les sensibiliser à leur cause.
Depuis neuf ans, l'Association des Musulmans de Clamart (AMC) bénéficiait en effet d'un local accordé « à titre gracieux » après signature d'une convention avec la mairie. Cette convention, qui a pris fin en 2009, était « reconduite tacitement chaque année », nous expliquait alors Kamal Chemini, le président de l'AMC, en août dernier.
Depuis leur expulsion, les musulmans n’ont d’autres choix que d’aller dans les mosquées des villes avoisinantes comme Châtenay-Malabry, Boulogne ou Issy-les-Moulineaux, tous situées dans les Hauts-de-Seine. Des fidèles ont carrément fait le choix de prier dans la rue, à Clamart même, particulièrement lors de la prière collective du vendredi. Face à une situation aussi inconfortable, l’association redouble d’activité pour achever la construction de la mosquée qu’elle espère terminer courant avril 2014. « Le gros œuvre est terminé. Nous entamons les aménagements intérieurs. L'urgence est d'aménager les salles de prières », nous a-t-on indiqué début décembre.
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